Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
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Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
[ Suite du poste : Une arrivée peu joyeuse... ]
Ainsi donc, la tête baissée vers ses pieds, dans salissaient la belle neige blanche, son visage pâle caché par sa masse de cheveux, elle songeait. Un peu trop, probablement. Gardant le portable entre ses doigts et lâchant un bruyant soupire, elle ne fit plus attention au monde qui l’entourait, ne remarquant même pas l’arrivée brutale d’une voiture. Ce n’est qu’au moment où elle remarqua l’heure tardive, qu’elle se leva de son banc, hésitante. Même si ce n’était le temps d’y penser. Son attention de nouveau concentrée sur l’académie et sur le véhicule lui barrant la route, elle remarqua à travers la vitre, la silhouette de la gamine. Il était arrivé son George. La BMW partit alors, Kaori marcha donc et alla aux grilles de l’enceinte. Enlevant ses gants, continuant ses pas feutrés, l’adolescente se rendait à son premier et unique cours de la journée. Normal, c’était particulier aujourd’hui. Enfin, pas pour elle, mais pour les autres oui. Ce n’était qu’un, jour parmi tant d’autres dans le fond, en vérité, à ses yeux contrastés et frustrés qu’elle cachait sous sa frange. Pratique, dans ses moments là, il fallait l’avouer. Des mathématiques, ce n’était pas ce qu’elle préférait, mais avait-elle vraiment le choix ? Non, elle se devait d’y assister, et sa conscience la poussait à l’acte, sinon elle serait partie divaguer dans des lieux plus lugubres…
Assise donc, près d’une fenêtre, loin du couloir central où le professeur faisait des allers-retours, quand il n’était pas au tableau. Mademoiselle Keiichi, aussi étrange que ça puisse paraitre, se tenait en cours. Pas studieuse non plus, elle restait posée sans rien dire, notant quand il le fallait, travaillant difficilement. C’était particulier, de se retrouver sur les bancs de l’école, dans une salle de classe, avec ses autres élèves. Une jeune femme était même assise à ses côtés, et dessinait souvent, surtout en mathématique. Elles s’ignoraient un peu, mais il n’y avait rien de méchant. Faut dire, Kaori regardait souvent par la fenêtre et rêvassait plus qu’autre chose, la faisant à ses occupations, mais louchant de temps à autre sur sa feuille, elle avait un sacré coup de crayon. Un don, selon elle, qui n’avait aucune fibre artistique. Enfin, la fin du cours sonna, elle prit donc ses affaires, remit ses gants, sa grosse écharpe et elle était partit. La première comme souvent pour éviter les bains de foule dans l’école. Dehors, l’air ne s’était point réchauffé. A son grand regret, elle sortit alors son portable composa un numéro qu’elle connaissait par cœur.
Restant un bon moment avec cette personne, elle raccrochait et ajoutait qu’elle serait là dans cinq petites minutes. Passant devant l’Easter Compagny, puis se faufilant dans des ruelles peu rassurantes, elle passa devant ce bâtiment délabré, un silence pesant l’entourait. Personne n’aurait voulu mettre les pieds dans le labyrinthe de ruelles qui se dessinait devant elle. L’autre ville, la partie sombre, le revers de la médaille. Ça portait beaucoup de noms. Mais bon, elle arriva devant le bar. Quelle histoire, elle poussa les veilles portes et entra dans une grande pièce, éclairée par un ridicule lustre, et uniquement par le peu de lumière du jour. L’ambiance tapie, sa silhouette s’avançait vers le comptoir. Malgré l’heure, courant de l’après-midi, beaucoup des clients étaient soulés ou pires encore, à se laisser mourir sur les tables, à jouer sinon, parier des sommes considérables, ou autre action illégale et misérable. Elle passa derrière le comptoir, saluant une ou deux personnes et se dirigea à l’étage, où une pile de vêtements l’attendait, étant ici, elle ne voulait pas salir son uniforme. Ne sait-on jamais…Elle avait toujours du rechange. Rien de particulier, elle enfilait un jean, troué sur sa cuisse et sous son genou, un tee-shirt simple, puis elle mit un sweet à capuche noir, d’une célèbre marque…De la contrefaçon évidement, ne vous y méprenez pas.
Descendant et allant s’installer sur un des tabourets libres, elle ne prit rien à boire, mais discuta avec le gérant, celui qui tenait ce lieu avec difficulté, mais contraint en partie. Un marché comme un autre. Alors qu’il allait s’approvisionner en alcool avec l’un de ses fournisseurs, un peu plus en retrait, une rixe éclata. Un soupire, encore un, ne les comptez plus…Mamoru, l’homme avec qui elle parlait précédemment, un grand ami si on pouvait dire lui fait signe. Elle pourrait s’en changer, elle pouvait s’en occuper. Une diversion en réalité, car lorsqu’elle écartait le premier molosse, il s’inclina et alla vaquer à d’autres occupations, on la respectait énormément. Le second. Sortit un cutter, ou quelque de pointu qui ressemblait à cet objet et quand Kaori se retourna, plutôt lentement, c’est un coup, qui entailla sa joue qu’il fut. Une marque parfaite sous son œil, qui coupant sa peau de porcelaine du laquelle s’échappait alors un goute de sang, qui perlait sur sa joue. Son visage se crispa et avant qu’elle ne puisse rétorquer d’un quelque conque geste, l’homme baraqué en face d’elle, prit son menton entre ses doigts et alla lui murmurer :
" Bon baiser de votre père. "
Une rage, infinie soit-elle la prit, elle se détacha de son emprise, et sans retenue, elle balança son poing. Un coup particulièrement violent, sa main vint s’abattre contre sa mâchoire. Avec une puissance masculine, il bascula et tomba sur le côté. La vie s’arrêtait alors et tous les regards étaient posés sur elle, des étonnements, comment avait-on pu frapper la jeune femme qu’elle était. Tous, craignaient le pire, et redoutaient ce qui allait se produire. Il gémissait au sol, et commençait ses jérémiades et ses plaintes. Demandant pardon, et qu’il puisse partir. C’est Mamoru, arrivant, qui était vraisemblablement le seul à pouvoir l’arrêter qui l’attrapa et la serra contre lui, la calmant, il l’emmena dans l’arrière-boutique. On entendait qu’elle se débâtait et qu’elle frappait la porte de ses mains serrées. Au bout d’un moment, elle lâcha prise et elle renonçait à la violence. Il lui sourit et la laissa de nouveau libre. S’excusant pour tout ce qui c’était passé, Kaori fit un signe de la tête et il posa sa main sur son épaule avant de la quitter, retournant à la gestion des commandes. Elle cogna une dernière fois contre l’un des murs et sentait que ça allait mieux, elle prit une grande inspiration et sortit par l’une des portes donnant sur une ruelle, plus qu’assombrie. La jeune femme s’appuya contre l’un des murs des vieux bâtiments fuient de toutes populations descentes.
Elle resta un long moment ici, à ne rien faire. Elle aimait ça aussi, observer le ciel, innocemment, fermant les yeux parfois pour laisser d’autres images lui venir en tête. Au calme, sans personne, sa blessure saignait toujours, mais elle ne la ressentait pas, c’était tellement minime que voilà. Alors qu’elle s’apprêtait à aller boire un verre, histoire de dire, d’avoir la compagnie d’une personne à qui elle faisait à peu près confiance. Un bruit attira son attention. Allant dans une rue parallèle, elle vit qu’elle n’était pas si seule. Ses yeux vifs virent une silhouette frêle, petite et bien féminine, elle s’avança sans un bruit. Une voix roque, venait alors interpeller la petite visiblement perdue, un groupe de motard ou on ne sait trop quoi, lui tournait alors autour, lui demandant qui elle était, et ce qu’elle faisait ici. Pas de doute, d’où elle était, elle reconnaissait des vraies chaussures de marque, un beau manteau et des bijoux…Et surtout, cette tête blonde. La fille de tout à l’heure, décidément. Mais qu’est-ce qu’elle venait faire à six pieds sous terre, avait-elle perdu la raison. Ni une, ni deux, même si Kaori n’était pas du genre à jouer les chevaliers servants et les héros. Au fond elle, elle savait qu’elle ne pouvait rester passive devant cette scène. L’enfant vivant, enfoui, ne pouvait laisser quelqu’un tomber dans ses bas fonds, ne souhaitant à personne la vie qu’elle menait…Qu’elle avait dû subir.
" Elle est avec moi…"
Elle se glissait au bras de la blondinette et souriait aux hommes qui firent un pas en arrière. Ils savaient qui elle était, et passant ses doigts alors sur l’entaille, elle essuyait le sang. Quelques mots échangés, ils partaient. Et tenant toujours le bras de la jeune fille, elle l’entraina un peu plus au jour, plus proche de L’Easter Company que du vieux bâtiment. Son regard strict, se posait sur ses traits et Kaori lui demanda :
" Mais avez-vous perdu l’esprit ? "
Elle la laissa alors, je veux dire elle ne la tenait plus et la jeune fille était libre de ses mouvements à présent, un silence s’installa. Kaori n’attendait pas vraiment de réponse, mais elle allait bientôt la raccompagner dans des lieux plus corrects…
Ainsi donc, la tête baissée vers ses pieds, dans salissaient la belle neige blanche, son visage pâle caché par sa masse de cheveux, elle songeait. Un peu trop, probablement. Gardant le portable entre ses doigts et lâchant un bruyant soupire, elle ne fit plus attention au monde qui l’entourait, ne remarquant même pas l’arrivée brutale d’une voiture. Ce n’est qu’au moment où elle remarqua l’heure tardive, qu’elle se leva de son banc, hésitante. Même si ce n’était le temps d’y penser. Son attention de nouveau concentrée sur l’académie et sur le véhicule lui barrant la route, elle remarqua à travers la vitre, la silhouette de la gamine. Il était arrivé son George. La BMW partit alors, Kaori marcha donc et alla aux grilles de l’enceinte. Enlevant ses gants, continuant ses pas feutrés, l’adolescente se rendait à son premier et unique cours de la journée. Normal, c’était particulier aujourd’hui. Enfin, pas pour elle, mais pour les autres oui. Ce n’était qu’un, jour parmi tant d’autres dans le fond, en vérité, à ses yeux contrastés et frustrés qu’elle cachait sous sa frange. Pratique, dans ses moments là, il fallait l’avouer. Des mathématiques, ce n’était pas ce qu’elle préférait, mais avait-elle vraiment le choix ? Non, elle se devait d’y assister, et sa conscience la poussait à l’acte, sinon elle serait partie divaguer dans des lieux plus lugubres…
Assise donc, près d’une fenêtre, loin du couloir central où le professeur faisait des allers-retours, quand il n’était pas au tableau. Mademoiselle Keiichi, aussi étrange que ça puisse paraitre, se tenait en cours. Pas studieuse non plus, elle restait posée sans rien dire, notant quand il le fallait, travaillant difficilement. C’était particulier, de se retrouver sur les bancs de l’école, dans une salle de classe, avec ses autres élèves. Une jeune femme était même assise à ses côtés, et dessinait souvent, surtout en mathématique. Elles s’ignoraient un peu, mais il n’y avait rien de méchant. Faut dire, Kaori regardait souvent par la fenêtre et rêvassait plus qu’autre chose, la faisant à ses occupations, mais louchant de temps à autre sur sa feuille, elle avait un sacré coup de crayon. Un don, selon elle, qui n’avait aucune fibre artistique. Enfin, la fin du cours sonna, elle prit donc ses affaires, remit ses gants, sa grosse écharpe et elle était partit. La première comme souvent pour éviter les bains de foule dans l’école. Dehors, l’air ne s’était point réchauffé. A son grand regret, elle sortit alors son portable composa un numéro qu’elle connaissait par cœur.
Restant un bon moment avec cette personne, elle raccrochait et ajoutait qu’elle serait là dans cinq petites minutes. Passant devant l’Easter Compagny, puis se faufilant dans des ruelles peu rassurantes, elle passa devant ce bâtiment délabré, un silence pesant l’entourait. Personne n’aurait voulu mettre les pieds dans le labyrinthe de ruelles qui se dessinait devant elle. L’autre ville, la partie sombre, le revers de la médaille. Ça portait beaucoup de noms. Mais bon, elle arriva devant le bar. Quelle histoire, elle poussa les veilles portes et entra dans une grande pièce, éclairée par un ridicule lustre, et uniquement par le peu de lumière du jour. L’ambiance tapie, sa silhouette s’avançait vers le comptoir. Malgré l’heure, courant de l’après-midi, beaucoup des clients étaient soulés ou pires encore, à se laisser mourir sur les tables, à jouer sinon, parier des sommes considérables, ou autre action illégale et misérable. Elle passa derrière le comptoir, saluant une ou deux personnes et se dirigea à l’étage, où une pile de vêtements l’attendait, étant ici, elle ne voulait pas salir son uniforme. Ne sait-on jamais…Elle avait toujours du rechange. Rien de particulier, elle enfilait un jean, troué sur sa cuisse et sous son genou, un tee-shirt simple, puis elle mit un sweet à capuche noir, d’une célèbre marque…De la contrefaçon évidement, ne vous y méprenez pas.
Descendant et allant s’installer sur un des tabourets libres, elle ne prit rien à boire, mais discuta avec le gérant, celui qui tenait ce lieu avec difficulté, mais contraint en partie. Un marché comme un autre. Alors qu’il allait s’approvisionner en alcool avec l’un de ses fournisseurs, un peu plus en retrait, une rixe éclata. Un soupire, encore un, ne les comptez plus…Mamoru, l’homme avec qui elle parlait précédemment, un grand ami si on pouvait dire lui fait signe. Elle pourrait s’en changer, elle pouvait s’en occuper. Une diversion en réalité, car lorsqu’elle écartait le premier molosse, il s’inclina et alla vaquer à d’autres occupations, on la respectait énormément. Le second. Sortit un cutter, ou quelque de pointu qui ressemblait à cet objet et quand Kaori se retourna, plutôt lentement, c’est un coup, qui entailla sa joue qu’il fut. Une marque parfaite sous son œil, qui coupant sa peau de porcelaine du laquelle s’échappait alors un goute de sang, qui perlait sur sa joue. Son visage se crispa et avant qu’elle ne puisse rétorquer d’un quelque conque geste, l’homme baraqué en face d’elle, prit son menton entre ses doigts et alla lui murmurer :
" Bon baiser de votre père. "
Une rage, infinie soit-elle la prit, elle se détacha de son emprise, et sans retenue, elle balança son poing. Un coup particulièrement violent, sa main vint s’abattre contre sa mâchoire. Avec une puissance masculine, il bascula et tomba sur le côté. La vie s’arrêtait alors et tous les regards étaient posés sur elle, des étonnements, comment avait-on pu frapper la jeune femme qu’elle était. Tous, craignaient le pire, et redoutaient ce qui allait se produire. Il gémissait au sol, et commençait ses jérémiades et ses plaintes. Demandant pardon, et qu’il puisse partir. C’est Mamoru, arrivant, qui était vraisemblablement le seul à pouvoir l’arrêter qui l’attrapa et la serra contre lui, la calmant, il l’emmena dans l’arrière-boutique. On entendait qu’elle se débâtait et qu’elle frappait la porte de ses mains serrées. Au bout d’un moment, elle lâcha prise et elle renonçait à la violence. Il lui sourit et la laissa de nouveau libre. S’excusant pour tout ce qui c’était passé, Kaori fit un signe de la tête et il posa sa main sur son épaule avant de la quitter, retournant à la gestion des commandes. Elle cogna une dernière fois contre l’un des murs et sentait que ça allait mieux, elle prit une grande inspiration et sortit par l’une des portes donnant sur une ruelle, plus qu’assombrie. La jeune femme s’appuya contre l’un des murs des vieux bâtiments fuient de toutes populations descentes.
Elle resta un long moment ici, à ne rien faire. Elle aimait ça aussi, observer le ciel, innocemment, fermant les yeux parfois pour laisser d’autres images lui venir en tête. Au calme, sans personne, sa blessure saignait toujours, mais elle ne la ressentait pas, c’était tellement minime que voilà. Alors qu’elle s’apprêtait à aller boire un verre, histoire de dire, d’avoir la compagnie d’une personne à qui elle faisait à peu près confiance. Un bruit attira son attention. Allant dans une rue parallèle, elle vit qu’elle n’était pas si seule. Ses yeux vifs virent une silhouette frêle, petite et bien féminine, elle s’avança sans un bruit. Une voix roque, venait alors interpeller la petite visiblement perdue, un groupe de motard ou on ne sait trop quoi, lui tournait alors autour, lui demandant qui elle était, et ce qu’elle faisait ici. Pas de doute, d’où elle était, elle reconnaissait des vraies chaussures de marque, un beau manteau et des bijoux…Et surtout, cette tête blonde. La fille de tout à l’heure, décidément. Mais qu’est-ce qu’elle venait faire à six pieds sous terre, avait-elle perdu la raison. Ni une, ni deux, même si Kaori n’était pas du genre à jouer les chevaliers servants et les héros. Au fond elle, elle savait qu’elle ne pouvait rester passive devant cette scène. L’enfant vivant, enfoui, ne pouvait laisser quelqu’un tomber dans ses bas fonds, ne souhaitant à personne la vie qu’elle menait…Qu’elle avait dû subir.
" Elle est avec moi…"
Elle se glissait au bras de la blondinette et souriait aux hommes qui firent un pas en arrière. Ils savaient qui elle était, et passant ses doigts alors sur l’entaille, elle essuyait le sang. Quelques mots échangés, ils partaient. Et tenant toujours le bras de la jeune fille, elle l’entraina un peu plus au jour, plus proche de L’Easter Company que du vieux bâtiment. Son regard strict, se posait sur ses traits et Kaori lui demanda :
" Mais avez-vous perdu l’esprit ? "
Elle la laissa alors, je veux dire elle ne la tenait plus et la jeune fille était libre de ses mouvements à présent, un silence s’installa. Kaori n’attendait pas vraiment de réponse, mais elle allait bientôt la raccompagner dans des lieux plus corrects…
Dernière édition par Kaori Keiichi le Sam 9 Jan - 19:10, édité 1 fois
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
Age : 31
Date d'inscription : 14/06/2009
Carnet de liaison
Relations*}.:
Un petit mot*}.:
Vos/Votre Shugo Chara(s)*}.: [ Lazuli ]
Re: Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
Leïla souffla :
*Dans quel trou pommé ai-je atterrie ?*
Le vent avait redoublé d’intensité et la jeune héritière commençait sérieusement à avoir froid dans sa robe de soirée, ses escarpins et son manteau serte sa tenue était splendide mais elle n’était pas vraiment bien adaptée à la situation, prenant son courage à deux mains, la jeune héritière commença à marcher dans la neige, les flocons blancs s’accrochaient à son manteau, elle n’avait parcourue que deux rues quand un gang de motard arrivèrent de nulle part et l’encerclèrent, crachant un juron elle cria :
Laisser moi passer !
-Mais pourquoi tu es sur notre territoire ici.
-Vous appelez ça un territoire vous, moi je dirai plutôt un taudis, il n’y a vraiment aucun prestige à avoir cet endroit comme territoire et encore une fois laissé moi passer ou vous aurez plutôt du mal à enfanter.
Le motard qui c’était adressé à Leïla perdit son sourire apparemment énervé par les paroles de la jeune fille. Il s’apprêtait à répliquer quand dune voix d’un coup.
Elle est avec moi…
Leïla se retourna et découvrit que la voix appartenait à la jeune fille à la peau pâle et aux cheveux bleus de ce matin, celle-ci s’approcha, passa un bras autour de celui de la Hyunima, les motards grognèrent puis partir, la blondinette ne put s’empêcher de pousser un soufflement de soulagement
*au moins je n’aurai abimé ma tenue*
La voix sec de sa sauveuse la ramena sur la planète terre :
Mais avez-vous perdu l’esprit ?
La jeune blonde réfléchie :
*Je ne vais tout de même pas lui raconter ma vie, je n’ai cas lui dire le stricte minimum pourquoi aurait-elle besoin d’en savoir plus.
Après une courte hésitation elle se mit face à la mystérieuse fille et dit :
A vrai dire je n’ai pas regardé ou j’allai et je me suis retrouvé ici et ses motards me sont tombés dessus pendant que tentais de retrouver mon chemin.
Et elle attendit la réponse de son interlocutrice mais au lieu de parler elle lui répondre elle lui fit signe de la suivre, Leïla hésita en instant elle ne la connaissait pas mais d’un autre coté elle semblait connaître le coin comme sa poche et elle pourrait lui indiquer le chemin vers le centre-ville d’où elle pourrait appeler George pour qu’il vienne la chercher. Et la blondinette couru pour rattrapé la jeune fille aux cheveux bleus, elles marchèrent pendant une durée que Leïla ne put identifier exactement et ce ne fut que à un croisement que la jeune blonde rompit la silence :
Excusez-moi mais ou allons nous et est-ce que vous pourriez m’indiquer le chemin le plus court pour rejoindre le centre-ville. Ah et merci pour tout à l’heure.
La Hyunima la vouvoyait car elle lui avait évité de passer un sale quart d’heure et dans son monde cela vos du respect donc le vouvoiement, et le remerciement. Son interlocutrice prit la parole.
*Dans quel trou pommé ai-je atterrie ?*
Le vent avait redoublé d’intensité et la jeune héritière commençait sérieusement à avoir froid dans sa robe de soirée, ses escarpins et son manteau serte sa tenue était splendide mais elle n’était pas vraiment bien adaptée à la situation, prenant son courage à deux mains, la jeune héritière commença à marcher dans la neige, les flocons blancs s’accrochaient à son manteau, elle n’avait parcourue que deux rues quand un gang de motard arrivèrent de nulle part et l’encerclèrent, crachant un juron elle cria :
Laisser moi passer !
-Mais pourquoi tu es sur notre territoire ici.
-Vous appelez ça un territoire vous, moi je dirai plutôt un taudis, il n’y a vraiment aucun prestige à avoir cet endroit comme territoire et encore une fois laissé moi passer ou vous aurez plutôt du mal à enfanter.
Le motard qui c’était adressé à Leïla perdit son sourire apparemment énervé par les paroles de la jeune fille. Il s’apprêtait à répliquer quand dune voix d’un coup.
Elle est avec moi…
Leïla se retourna et découvrit que la voix appartenait à la jeune fille à la peau pâle et aux cheveux bleus de ce matin, celle-ci s’approcha, passa un bras autour de celui de la Hyunima, les motards grognèrent puis partir, la blondinette ne put s’empêcher de pousser un soufflement de soulagement
*au moins je n’aurai abimé ma tenue*
La voix sec de sa sauveuse la ramena sur la planète terre :
Mais avez-vous perdu l’esprit ?
La jeune blonde réfléchie :
*Je ne vais tout de même pas lui raconter ma vie, je n’ai cas lui dire le stricte minimum pourquoi aurait-elle besoin d’en savoir plus.
Après une courte hésitation elle se mit face à la mystérieuse fille et dit :
A vrai dire je n’ai pas regardé ou j’allai et je me suis retrouvé ici et ses motards me sont tombés dessus pendant que tentais de retrouver mon chemin.
Et elle attendit la réponse de son interlocutrice mais au lieu de parler elle lui répondre elle lui fit signe de la suivre, Leïla hésita en instant elle ne la connaissait pas mais d’un autre coté elle semblait connaître le coin comme sa poche et elle pourrait lui indiquer le chemin vers le centre-ville d’où elle pourrait appeler George pour qu’il vienne la chercher. Et la blondinette couru pour rattrapé la jeune fille aux cheveux bleus, elles marchèrent pendant une durée que Leïla ne put identifier exactement et ce ne fut que à un croisement que la jeune blonde rompit la silence :
Excusez-moi mais ou allons nous et est-ce que vous pourriez m’indiquer le chemin le plus court pour rejoindre le centre-ville. Ah et merci pour tout à l’heure.
La Hyunima la vouvoyait car elle lui avait évité de passer un sale quart d’heure et dans son monde cela vos du respect donc le vouvoiement, et le remerciement. Son interlocutrice prit la parole.
Leïla hyunima- Nombre de messages : 88
Age : 28
Localisation : Yerres
Date d'inscription : 21/12/2009
Re: Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
" Vous me vouvoyiez à présent, cela m’en ravie... "
N’y voyez aucune moquerie, ni ironie de la situation. Kaori contestait un fait qui réellement faisait qu’elle serait peut être moins dure avec cette jeune femme qui semblait lui avoir offrit une part de respect. Les notes de sa voix se voulait dès lors moins rude, un ton plus léger mais pas encore satisfaisant pour avoir une conversation dite normale. Enfin, quelques rayons lumineux parvenaient sur son visage blessé, observant la jeune femme puis les alentours et enfin son portable, elle ne chercherait pas à savoir le pourquoi du comment elle fut arrivée en ces lieux. Une chose était sure, la blondinette avait mentit, mais il semblait qu’elle faisait bien, ce que bon lui semblait. Regardant maintenant l’heure puis plus concrètement le reste de l’écran, elle le rangea, sans un mot. Sachant qu’elle était nouvelle ici, l’emmenait en plein milieu de la ville, ou près de l’Easter Compagny qui était à quelques longues minutes, était moins avantageux que la mettre à l’abri et lui laisser passer un appel pour qu’on vienne la récupérer entre ses murs salis…Un bref coup d’œil sur le ciel, sur les toits qui les cachaient dans l’obscurité et discrètement, elle lui fit un autre signe et commença à marcher.
Marcher…Elle savait que la petite blonde observait toujours l’endroit avec probablement ses yeux naïfs, de plus elle hésitait mais c’était normal dans une telle situation, dans les ruelles désertiques de la ville, dépeuplées avec une jeune femme nommée Keiichi qui faisait peur à des motards trois grands, gros et impressionnants qu’elle quand on ne la connait pas réellement. Logique donc, qu’elle reste perplexe, mais au bout d’un moment, elle l’entendit, ses pas vers elle, elle courrait pour revenir près d’elle. Sage décision. Marchant quelques secondes, elles prient une nouvelle rue, devant elle, Kaori avait l’habitude de vaquer dans ce grand labyrinthe, pour la demoiselle cela devait être plus coton. Si bien quand s’approchant dans la gueule des ténèbres, sa petite voix, brisa le silence environnant, lui posant une interrogation. Elle se retourna alors et la regarda de son regard singulier, avant de soulever la réponse à sa question, elle montra non loin d’elle, vraiment à une dizaine de pas, des portes qui donnaient à travers elles, une lumière faible, mais une quand même, où venaient sur elles, des ombres se dessiner :
" Là-bas…"
Ah mais oui, ce n’était pas suffisant, mais à se moment là Kaori affichait une mine plus rassurante, pas souriante mais calme, posée et moins sévère. Elle poursuivit en restant à sa place :
" N’ayez crainte, je connais bien l’endroit. Si vous regardez bien votre portable, il n’y pas de réseau ici ou très peu entre les venelles. Vous allez pouvoir appeler votre George de cet endroit…"
Ecoutant également ses remerciements, Kaori lui tourna le dos et dit un peu plus doucement :
" Ce n’est rien, après tout, qui laisserait quelqu’un dans une telle situation après y avoir vécue autant de temps… "
Elle reprit le pas et n’attendait aucun commentaire de sa part. L’adolescente la suivait de nouveau. Et une fois proche du lieu, l’enfant si connue qu’était la fille de Keiichi, poussait une nouvelle fois les portes, pour la énième fois depuis son arrivée. Mamoru se tourna vers les arrivantes, ne reconnaissant pas la blonde il le fit à Kaori qui demanda à la jeune femme d’approcher parmi tout ce monde, qui regardait d’un œil Kaori puis qui recommençait leurs diverses activités pas forcement recommandées. Arrivée près du comptoir, elle expliqua au jeune homme la situation et sur le fait qu’elle n’était pas du coin, il ne valait mieux pas qu’elle reste en plein milieu de cette pièce, devant toute cette perversité, violence et autre chose qui en émanait subtilement. Le beau brun lui fit de venir derrière en sécurité derrière le comptoir, posant son regard sombre sur elle. Il l’accompagna jusqu’au téléphone qui se trouvait non loin d’une veille caisse enregistreuse, il n’était pas très vieux et fonctionnait bien. Et elle pouvait téléphoner tranquillement sans être dérangée. Kaori sourit à Mamoru, il était bien l’un des seuls à avoir ce privilège. Puis elle dit à la blondinette qui prenait le téléphone en main.
" Dites lui que nous l’attendrons devant l’Easter Compagny. "
Oui, elle ne savait pas trop si elle habitait loin ou non, mais elles étaient proches du bâtiment. Il n’y avait donc aucun problème. En attendant, Kaori demandait à l’oreille de Mamoru s’il savait quelque chose sur ce qui s’était passé un peu plus tôt, répondant que non, il lui proposa ensuite de soigner sa joue. Elle refusa une première fois mais fut contrainte d’accepter. Ça n’avait rien d’agréable. Il grattait la plaie pour retirer les saletés qu’avait laissé la rouille de la lame puis un vieux chiffon de l’alcool fort, il le plaqua contre sa joue, ça brulait mais c’était le meilleur moyen, elle sera son poignet en l’injuriant, il riait de sa réaction. Puis se détacha d’elle en voyant que la blondinette avait finit et qu’elle revenait vers eux pour certainement dire quelques mots à Kaori…
N’y voyez aucune moquerie, ni ironie de la situation. Kaori contestait un fait qui réellement faisait qu’elle serait peut être moins dure avec cette jeune femme qui semblait lui avoir offrit une part de respect. Les notes de sa voix se voulait dès lors moins rude, un ton plus léger mais pas encore satisfaisant pour avoir une conversation dite normale. Enfin, quelques rayons lumineux parvenaient sur son visage blessé, observant la jeune femme puis les alentours et enfin son portable, elle ne chercherait pas à savoir le pourquoi du comment elle fut arrivée en ces lieux. Une chose était sure, la blondinette avait mentit, mais il semblait qu’elle faisait bien, ce que bon lui semblait. Regardant maintenant l’heure puis plus concrètement le reste de l’écran, elle le rangea, sans un mot. Sachant qu’elle était nouvelle ici, l’emmenait en plein milieu de la ville, ou près de l’Easter Compagny qui était à quelques longues minutes, était moins avantageux que la mettre à l’abri et lui laisser passer un appel pour qu’on vienne la récupérer entre ses murs salis…Un bref coup d’œil sur le ciel, sur les toits qui les cachaient dans l’obscurité et discrètement, elle lui fit un autre signe et commença à marcher.
Marcher…Elle savait que la petite blonde observait toujours l’endroit avec probablement ses yeux naïfs, de plus elle hésitait mais c’était normal dans une telle situation, dans les ruelles désertiques de la ville, dépeuplées avec une jeune femme nommée Keiichi qui faisait peur à des motards trois grands, gros et impressionnants qu’elle quand on ne la connait pas réellement. Logique donc, qu’elle reste perplexe, mais au bout d’un moment, elle l’entendit, ses pas vers elle, elle courrait pour revenir près d’elle. Sage décision. Marchant quelques secondes, elles prient une nouvelle rue, devant elle, Kaori avait l’habitude de vaquer dans ce grand labyrinthe, pour la demoiselle cela devait être plus coton. Si bien quand s’approchant dans la gueule des ténèbres, sa petite voix, brisa le silence environnant, lui posant une interrogation. Elle se retourna alors et la regarda de son regard singulier, avant de soulever la réponse à sa question, elle montra non loin d’elle, vraiment à une dizaine de pas, des portes qui donnaient à travers elles, une lumière faible, mais une quand même, où venaient sur elles, des ombres se dessiner :
" Là-bas…"
Ah mais oui, ce n’était pas suffisant, mais à se moment là Kaori affichait une mine plus rassurante, pas souriante mais calme, posée et moins sévère. Elle poursuivit en restant à sa place :
" N’ayez crainte, je connais bien l’endroit. Si vous regardez bien votre portable, il n’y pas de réseau ici ou très peu entre les venelles. Vous allez pouvoir appeler votre George de cet endroit…"
Ecoutant également ses remerciements, Kaori lui tourna le dos et dit un peu plus doucement :
" Ce n’est rien, après tout, qui laisserait quelqu’un dans une telle situation après y avoir vécue autant de temps… "
Elle reprit le pas et n’attendait aucun commentaire de sa part. L’adolescente la suivait de nouveau. Et une fois proche du lieu, l’enfant si connue qu’était la fille de Keiichi, poussait une nouvelle fois les portes, pour la énième fois depuis son arrivée. Mamoru se tourna vers les arrivantes, ne reconnaissant pas la blonde il le fit à Kaori qui demanda à la jeune femme d’approcher parmi tout ce monde, qui regardait d’un œil Kaori puis qui recommençait leurs diverses activités pas forcement recommandées. Arrivée près du comptoir, elle expliqua au jeune homme la situation et sur le fait qu’elle n’était pas du coin, il ne valait mieux pas qu’elle reste en plein milieu de cette pièce, devant toute cette perversité, violence et autre chose qui en émanait subtilement. Le beau brun lui fit de venir derrière en sécurité derrière le comptoir, posant son regard sombre sur elle. Il l’accompagna jusqu’au téléphone qui se trouvait non loin d’une veille caisse enregistreuse, il n’était pas très vieux et fonctionnait bien. Et elle pouvait téléphoner tranquillement sans être dérangée. Kaori sourit à Mamoru, il était bien l’un des seuls à avoir ce privilège. Puis elle dit à la blondinette qui prenait le téléphone en main.
" Dites lui que nous l’attendrons devant l’Easter Compagny. "
Oui, elle ne savait pas trop si elle habitait loin ou non, mais elles étaient proches du bâtiment. Il n’y avait donc aucun problème. En attendant, Kaori demandait à l’oreille de Mamoru s’il savait quelque chose sur ce qui s’était passé un peu plus tôt, répondant que non, il lui proposa ensuite de soigner sa joue. Elle refusa une première fois mais fut contrainte d’accepter. Ça n’avait rien d’agréable. Il grattait la plaie pour retirer les saletés qu’avait laissé la rouille de la lame puis un vieux chiffon de l’alcool fort, il le plaqua contre sa joue, ça brulait mais c’était le meilleur moyen, elle sera son poignet en l’injuriant, il riait de sa réaction. Puis se détacha d’elle en voyant que la blondinette avait finit et qu’elle revenait vers eux pour certainement dire quelques mots à Kaori…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
Leïla prit le téléphone et tapa rapidement ce numéro qu’elle connaissait par coeur la voix de son chauffeur lui répondit :
Oui
-George c’est moi venez me chercher dans une vingtaine de minutes devant l’easter company.
-Bien mademoiselle mais…
La Hyunima avait déjà raccroché le combiné et elle chercha des yeux la jeune fille aux cheveux bleu, elle la trouva dans un recoin reculé avec un jeune homme, lorsque celui-ci s’écarta pour la regarder en face ses yeux s’agrandir il lui ressemblait les mêmes cheveux brun, les mêmes yeux noir envoutant le même sourire, elle mit quelques secondes à retrouver ses esprits non il était loin désormais il appartenait à son passé à cause de ses maudits parents. Remarquant un piano sur une estrade au fond de la pièce principal elle le désigna du doigt et demanda au jeune homme :
Je peux ?
Mais sans attendre sa réponse elle se dirigea vers l’instrument de musique et s’assit devant, elle souffla et se mit à jouer une mélodie douce mais entrainante, soudain le silence s’installa sur l’assemblé plus un bruit ne dérangeai la jeune fille alors elle fermi les yeux et se mit à chanter :
Here standing
I've waited a lifetime to feel the way that I feel now
But I never imagined feels like walking on the clouds
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing right
You drained me of sadness and filled me back up with love
No room left for the madness that once my world was made up of
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing right here
Standing up for what I believe
The reason I'm here
Being the best that you made me be
I promise that I will not let you down
After all
You're the reason that I'm here standing
Oh
Yeah
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing right
Tout en chantant la jeune fille se remémorait un souvenir, un souvenir enfoui au plus profond de sa mémoire:FLASH BACK :
En cette journée ensoleillée Leïla Hyunima marche rapidement dans une grande allée de marbre qui faisait partie de la villa d’un de ses amis les plus proche elle entra salua les parents de son ami et se dirigea vers la salle de musique qui se trouvait au milieu d’un immense jardin, elle entra les murs de la salle étaient en fait des bée vitrées qui laissaient filtré la lumière dans la pièce, au centre un jeune homme jouait de la guitare il avait de soyeux cheveux brun et des yeux envoutants noir bien bati et grand il n’entendit pas arrivé la jeune fille qui lui couvrit les yeux en disant :
Devine qui sait Hito ?!
-Euh Leïla je dirais !
-Gagné c’est injuste tu trouve à chaque fois !
-En même temps je savais que tu devais passer, bon tien prend ça c’est la chanson que tu m’as donné la semaine dernière j’ai fait la musique installe toi au piano que l’on voit se que cela donne.
La jeune blonde s’empara de la partition que lui tendait son ami et s’installa sur le siège devant l’imposant piano blanc, Hito entama la mélodie et la jeune fille le suivit accompagnant la musique de sa voix et chanta Here standing, il continuèrent ainsi pendant plus de trois heures continuant de jouer toujours mieux pour atteindre la perfection, lorsque les dernières note furent joué Leïla dit :
Waw c’est génial se que tu as fait avec les paroles que je t’ai donné j’adore !
-Merci c’est vrai que cela rend super bien je me demande comment tu feras sans moi quand tu auras déménagé.
A ces mots le visage de la jeune fille se ferma, partir oui bientôt elle allait partir dans un endroit inconnu que ses parents avaient choisi de faire vivre leur fille, oui bientôt elle allait dire adieu à tout cela à ses amis à sa vie à Hito son ami depuis le jardin d’enfant avec Saya.
Leïla pardon c’était stupide je n’aurais pas du en parler.
-Oui peut être mais c’est la vérité je vais partir et je ne reverrais ni Saya ni toi.
-Mais non ont viendra te voir et puis ont gardera contact ne t’inquiète ont ne t’oubliera pas jamais.
FIN DU FLASH BACK :
Leïla rouvrit les yeux à la fin de la chanson et sourie sous les applaudissements du public, puis e descendant de l’estrade elle décida d’aller prendre l’air alors qu’elle allait franchir la porte une main s’empara de son bras elle cracha à un homme de carrure très imposante et qui n’avait pas l’air d’être très sobre :
Lâche-moi !
-Surement pas !
D’un coup la main de la chanteuse partit et s’écrasa sur la joue de l’homme un énorme CLAC avait retentit dans toute la salle, la joue rouge et le tête tourné sous l’impact l’homme n’avait pas encore comprit ce qui venait de lui arriver que Leïla se dégagea et partit par la porte fière avec une démarche gracieuse et supérieur, une fois dehors elle s’appuya contre le mur et sorti son portabl le fond d’écran s’afficha il représentait trois adolescent un brun au yeux noir Hito, une rousse au yeux vert Saya et entre les deux une blonde au yeux saphir Leïla, celmle-ci murmura :
Non Hito tu n’as pas pu tenir ta promesse.
Une larme coula sur sa joue, la porte s’ouvrit et quelqu’un s’approcha d’elle essuyant sa larme, elle attendit, une voix retentit.
Oui
-George c’est moi venez me chercher dans une vingtaine de minutes devant l’easter company.
-Bien mademoiselle mais…
La Hyunima avait déjà raccroché le combiné et elle chercha des yeux la jeune fille aux cheveux bleu, elle la trouva dans un recoin reculé avec un jeune homme, lorsque celui-ci s’écarta pour la regarder en face ses yeux s’agrandir il lui ressemblait les mêmes cheveux brun, les mêmes yeux noir envoutant le même sourire, elle mit quelques secondes à retrouver ses esprits non il était loin désormais il appartenait à son passé à cause de ses maudits parents. Remarquant un piano sur une estrade au fond de la pièce principal elle le désigna du doigt et demanda au jeune homme :
Je peux ?
Mais sans attendre sa réponse elle se dirigea vers l’instrument de musique et s’assit devant, elle souffla et se mit à jouer une mélodie douce mais entrainante, soudain le silence s’installa sur l’assemblé plus un bruit ne dérangeai la jeune fille alors elle fermi les yeux et se mit à chanter :
Here standing
I've waited a lifetime to feel the way that I feel now
But I never imagined feels like walking on the clouds
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing right
You drained me of sadness and filled me back up with love
No room left for the madness that once my world was made up of
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing right here
Standing up for what I believe
The reason I'm here
Being the best that you made me be
I promise that I will not let you down
After all
You're the reason that I'm here standing
Oh
Yeah
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing
You're the reason I'm here
I'm not moving
I'm not leaving
Can't believe you're the reason that I'm standing right here
I'm not moving
Finally breathing
Can't you see you're the reason that I'm standing right
Tout en chantant la jeune fille se remémorait un souvenir, un souvenir enfoui au plus profond de sa mémoire:FLASH BACK :
En cette journée ensoleillée Leïla Hyunima marche rapidement dans une grande allée de marbre qui faisait partie de la villa d’un de ses amis les plus proche elle entra salua les parents de son ami et se dirigea vers la salle de musique qui se trouvait au milieu d’un immense jardin, elle entra les murs de la salle étaient en fait des bée vitrées qui laissaient filtré la lumière dans la pièce, au centre un jeune homme jouait de la guitare il avait de soyeux cheveux brun et des yeux envoutants noir bien bati et grand il n’entendit pas arrivé la jeune fille qui lui couvrit les yeux en disant :
Devine qui sait Hito ?!
-Euh Leïla je dirais !
-Gagné c’est injuste tu trouve à chaque fois !
-En même temps je savais que tu devais passer, bon tien prend ça c’est la chanson que tu m’as donné la semaine dernière j’ai fait la musique installe toi au piano que l’on voit se que cela donne.
La jeune blonde s’empara de la partition que lui tendait son ami et s’installa sur le siège devant l’imposant piano blanc, Hito entama la mélodie et la jeune fille le suivit accompagnant la musique de sa voix et chanta Here standing, il continuèrent ainsi pendant plus de trois heures continuant de jouer toujours mieux pour atteindre la perfection, lorsque les dernières note furent joué Leïla dit :
Waw c’est génial se que tu as fait avec les paroles que je t’ai donné j’adore !
-Merci c’est vrai que cela rend super bien je me demande comment tu feras sans moi quand tu auras déménagé.
A ces mots le visage de la jeune fille se ferma, partir oui bientôt elle allait partir dans un endroit inconnu que ses parents avaient choisi de faire vivre leur fille, oui bientôt elle allait dire adieu à tout cela à ses amis à sa vie à Hito son ami depuis le jardin d’enfant avec Saya.
Leïla pardon c’était stupide je n’aurais pas du en parler.
-Oui peut être mais c’est la vérité je vais partir et je ne reverrais ni Saya ni toi.
-Mais non ont viendra te voir et puis ont gardera contact ne t’inquiète ont ne t’oubliera pas jamais.
FIN DU FLASH BACK :
Leïla rouvrit les yeux à la fin de la chanson et sourie sous les applaudissements du public, puis e descendant de l’estrade elle décida d’aller prendre l’air alors qu’elle allait franchir la porte une main s’empara de son bras elle cracha à un homme de carrure très imposante et qui n’avait pas l’air d’être très sobre :
Lâche-moi !
-Surement pas !
D’un coup la main de la chanteuse partit et s’écrasa sur la joue de l’homme un énorme CLAC avait retentit dans toute la salle, la joue rouge et le tête tourné sous l’impact l’homme n’avait pas encore comprit ce qui venait de lui arriver que Leïla se dégagea et partit par la porte fière avec une démarche gracieuse et supérieur, une fois dehors elle s’appuya contre le mur et sorti son portabl le fond d’écran s’afficha il représentait trois adolescent un brun au yeux noir Hito, une rousse au yeux vert Saya et entre les deux une blonde au yeux saphir Leïla, celmle-ci murmura :
Non Hito tu n’as pas pu tenir ta promesse.
Une larme coula sur sa joue, la porte s’ouvrit et quelqu’un s’approcha d’elle essuyant sa larme, elle attendit, une voix retentit.
Leïla hyunima- Nombre de messages : 88
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Re: Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
Il hocha la tête, tandis que Kaori haussa un sourcil, ce piano était plus que vieux et personne ne savait réellement en jouer ici, c’était plus décoratif qu’autre chose, opposé en hauteur, dans une lumière plus forte, un espoir parmi la déchéance. Mais pas sur que ce dernier fonctionne correctement, elle était même persuader qu’il lui manquait l’une de ses touches. Enfin s’en suivit d’un sourire de Mamoru, elle joua. Bien, il fallait le reconnaitre, puis sa petite et fine voix s’élevait dans l’air harmonieusement avec les notes. C’est vrai, la scène était belle à voir. Alors que l’attention se portait vers son être, chacun se stoppait et tournait les yeux sur le prodige, sur la blondinette, cette gamine si différente que la descendante Keiichi avait ramené en ses lieux, une certaine fascination de leurs parts se fit sentir, ils l’écoutaient, mais cela n’aurait pu être possible si ça avait été une autre personne. Non là, il s’agit d’une fille que Kaori avait volontairement protégée aux regards de ses compagnons. Ils le savaient et la respectant, il respectera cette gamine. Même si elle ne la comprenait pas, et qu’elle était inapte à comprendre son talent. Elle la fixait, sans un mot, sans une expression, les plus curieux venaient l’observer avec discrétion. Elle essayait de se faire une idée sur ce personnage, remarquant qu’elle savait côtoyer l’anglais, le parler était assez difficile alors le chanter, était une tache encore plus délicate.
Affichant cette mine neutre, Mamoru vient se glisser derrière elle et posa ses mains sur ses épaules. Il lui chuchota que ce n’était son habitude de lui apporter des jolies musiciennes. Chose à laquelle, elle ne rétorquait pas. En scrutant les traits du visage de l’enfant, elle remarquait un sentiment ou une expression qui la dérangeait.
" Ne boude pas, Keiichi-sama…"
Elle se retourna alors à l’aide du tabouret qui tournait sur lui-même. Gardant son regard naturellement strict sur celui sombre de son ami, un jeu, une lueur de défi se dessinait alors qu’elle ajoutait en souriant vaguement :
" Arrête de m’appeler ainsi…"
Puis elle lui tourna le dos de nouveau et fut attentive au reste de la symphonie. Keiichi-sama…C’était encore son père qui portait ce titre, et les rares personnes d’ici, des habitants des bas fonds qui la nommaient ainsi. Mais pas lui, il fut autorisé d’utiliser le -san. Quand ses gammes prient fin, elle détourna le regard, faisant comme si de rien était, ne montrant rien. Les autres montraient leurs gratitudes et admirations pour les arts. Et elle partit. Kaori ne s’en souciait guère pour le moment, elle portait une tasse à ses fines lèvres et croisaient les jambes, posant l’un de ses coudes sur le comptoir. Les événements qui suivaient…La gifle et le départ de l’adolescente, elle n’y prêtait encore aucune attention digne de son nom. Elle n’irait pas très loin, elle l’attendrait sûrement devant. Mais par précaution, elle se retourna vers l’assemblé démoniaque et jeta un regard froid, faisant comprendre qu’il n’y aurait aucune riposte, ni autre. L’action était finie. Elle fut surtout surprise quand Mamoru lui dit :
" Laisse, j’y vais. "
Etrange mais bon, mouvement vaste des épaules, elle attendrait qu’ils reviennent. Le jeune homme ouvrit alors la porte et la trouva, observatrice d’une photo, elle murmurait quelques mots qu’il parvint à entendre. Il s’approcha et essuya la larme qui coulait le long de sa joue. Il sourit alors, malgré tout cet homme était une personne souriante et allègre de nature. Il aurait mérité mieux. Mamoru était aussi quelqu’un de très compréhensif et qui prenait en compte pas mal de facteurs dans ses raisonnements. Il s’appuya sur le mur à coté de l’adolescente. L’observant longuement, son regard bien que sombre n’était pas comme celui de Kaori, il n’était pas lourd, plutôt doux même. C’était à ce demander comment si opposés qu’ils étaient, ils puissent être aussi proches. Le passé. Mettant les mains dans les poches et en sortant un mouchoir blanc neige, il lui tendit en parlant :
" Vous savez, les promesses sont dures à tenir…Il faut parfois du temps, beaucoup de temps pour qu’elles soient tenues. "
Coté promesse, il ne s’y connaissait pas vraiment, proprement dit, il en avait déjà fait avant, et en avait tiré des leçons dont une en particulier, pour une seconde. Et pas que, aujourd’hui des promesses il en voyait beaucoup mais peu arrivait vraiment à terme. Mais il n’était pas surpris.
" Même si certaines sont plus importantes que d’autres…"
Oui, en effet, mais il se tourna plus vers elle et inclina légèrement la tête en guise de salutation, il se présenta alors :
" Suu Mamoru, c’est une chance de rencontrer une personne sachant jouer de piano. C’est bien rare dans le quartier. "
Sinon, ça se saurait…Lui savait en jouer mais pas aussi bien et aussi longtemps. Et il s’adonnait à ce genre de chose que rarement. Il regarda ensuite par la fenêtre pour regarder Kaori qui bientôt finira sa tasse et viendrait raccompagner la blondinette…
Affichant cette mine neutre, Mamoru vient se glisser derrière elle et posa ses mains sur ses épaules. Il lui chuchota que ce n’était son habitude de lui apporter des jolies musiciennes. Chose à laquelle, elle ne rétorquait pas. En scrutant les traits du visage de l’enfant, elle remarquait un sentiment ou une expression qui la dérangeait.
" Ne boude pas, Keiichi-sama…"
Elle se retourna alors à l’aide du tabouret qui tournait sur lui-même. Gardant son regard naturellement strict sur celui sombre de son ami, un jeu, une lueur de défi se dessinait alors qu’elle ajoutait en souriant vaguement :
" Arrête de m’appeler ainsi…"
Puis elle lui tourna le dos de nouveau et fut attentive au reste de la symphonie. Keiichi-sama…C’était encore son père qui portait ce titre, et les rares personnes d’ici, des habitants des bas fonds qui la nommaient ainsi. Mais pas lui, il fut autorisé d’utiliser le -san. Quand ses gammes prient fin, elle détourna le regard, faisant comme si de rien était, ne montrant rien. Les autres montraient leurs gratitudes et admirations pour les arts. Et elle partit. Kaori ne s’en souciait guère pour le moment, elle portait une tasse à ses fines lèvres et croisaient les jambes, posant l’un de ses coudes sur le comptoir. Les événements qui suivaient…La gifle et le départ de l’adolescente, elle n’y prêtait encore aucune attention digne de son nom. Elle n’irait pas très loin, elle l’attendrait sûrement devant. Mais par précaution, elle se retourna vers l’assemblé démoniaque et jeta un regard froid, faisant comprendre qu’il n’y aurait aucune riposte, ni autre. L’action était finie. Elle fut surtout surprise quand Mamoru lui dit :
" Laisse, j’y vais. "
Etrange mais bon, mouvement vaste des épaules, elle attendrait qu’ils reviennent. Le jeune homme ouvrit alors la porte et la trouva, observatrice d’une photo, elle murmurait quelques mots qu’il parvint à entendre. Il s’approcha et essuya la larme qui coulait le long de sa joue. Il sourit alors, malgré tout cet homme était une personne souriante et allègre de nature. Il aurait mérité mieux. Mamoru était aussi quelqu’un de très compréhensif et qui prenait en compte pas mal de facteurs dans ses raisonnements. Il s’appuya sur le mur à coté de l’adolescente. L’observant longuement, son regard bien que sombre n’était pas comme celui de Kaori, il n’était pas lourd, plutôt doux même. C’était à ce demander comment si opposés qu’ils étaient, ils puissent être aussi proches. Le passé. Mettant les mains dans les poches et en sortant un mouchoir blanc neige, il lui tendit en parlant :
" Vous savez, les promesses sont dures à tenir…Il faut parfois du temps, beaucoup de temps pour qu’elles soient tenues. "
Coté promesse, il ne s’y connaissait pas vraiment, proprement dit, il en avait déjà fait avant, et en avait tiré des leçons dont une en particulier, pour une seconde. Et pas que, aujourd’hui des promesses il en voyait beaucoup mais peu arrivait vraiment à terme. Mais il n’était pas surpris.
" Même si certaines sont plus importantes que d’autres…"
Oui, en effet, mais il se tourna plus vers elle et inclina légèrement la tête en guise de salutation, il se présenta alors :
" Suu Mamoru, c’est une chance de rencontrer une personne sachant jouer de piano. C’est bien rare dans le quartier. "
Sinon, ça se saurait…Lui savait en jouer mais pas aussi bien et aussi longtemps. Et il s’adonnait à ce genre de chose que rarement. Il regarda ensuite par la fenêtre pour regarder Kaori qui bientôt finira sa tasse et viendrait raccompagner la blondinette…
Dernière édition par Kaori Keiichi le Mer 30 Déc - 20:24, édité 2 fois
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
Une voix retentit dans l’air glacé de décembre :
Vous savez, les promesses sont dures à tenir…Il faut parfois du temps, beaucoup de temps pour qu’elles soient tenues.
L’inconnu était en faite le jeune garçon du bar qui ressemblai tellement à Hito, il lui tendit un mouchoir, elle hésita un moment puis le prit essuyant ses larmes elle fit attention de ne pas abimé son maquillage, le jeune brun continua :
Même si certaines sont plus importantes que d’autres…
Ensuite il hocha la tête comme pour saluer et dit :
Suu Mamoru, c’est une chance de rencontrer une personne sachant jouer de piano. C’est bien rare dans le quartier.
Leïla lui fit face et dit :
Hyunima Leïla, c’est rare de rencontrer un garçon qui ressemble tellement à Hito.
Sortant son portable elle désigna le garçon brun qui était à sa droite. Un faible sourire s’imprima sur ses lèvres, puis elle continua :
Mais tu as tors les promesses si elles sont vraiment sincère et que tu les à faites à des personnes auxquelles tu tiens alors elles doivent ne pas être dur à tenir de plus je ne suis pas d’ici j’habite à la villa de la famille Hyunima près du lac, je suis arrivée ici part hasard cet endroit est indigne de moi, regarde ma tenue je ne pense pas avoir l’air d’être de se trou.
Avec une moue dégoutée elle jeta un regard circulaire autour d’elle, la puanteur était omniprésente et les lieux n’avaient vraiment rien d’accueillant, la ruelle était sombre, de la fumée s’échappait des toits, la route mal entretenue laissait de grosse mare d’eau se former un peu partout et les bâtiments étaient dans un état piteux, des bouteilles de bières jonchaient le sol boueux, non vraiment dans sa robe christian dior dos nu, légèrement décolleté et qui lui arrivais un peu au-dessus des genoux, ses escarpins jimmy choo, et ses bijoux incrustés de diamant elle détonnait dans ce triste tableau une fille de bonne famille perdue dans le quartier le plus mal famé de la ville que pouvait-on rêvé de pire pour un noël, Leïla était plutôt habitué à la vie de château, aux limousines, voitures privées, personnels privé, chef français, grande réception avec de grande personnalité, carte bleu au plafond illimité, stylistes, défilés et avant premières, grand évènements et villa, vacances dans les plus beaux endroits du monde et yacht privé, oui le monde auquel princesse Leïla fait partie est bien différent de celui-ci, oui ils sont comme l’eau et le feu ou le jour et la nuit tellement différent l’un de l’autre et en même temps si semblable on n’y retrouve les mêmes inégalités et injustices et comme dans l’un comme dans l’autre le loi du plus fort règne dans son monde Leïla est au sommet la princesse de ce monde mais dans l’autre elle est en danger comme chien et chat ces deux peuples se font une guerre sans merci chacun d’entre eux portant une haine sans limite l’un envers l’autre, chaque oiseaux tombe du nid se retrouvant à atterrir dans le camp adverse est en danger de mort et leurs chance de survie son faible mais tout est possible pour la princesse et cela n’est pas près de changer. Leïla releva la tête et elle remarqua le regard insistant du jeune homme, le dévisagent avec un regard interrogateur elle n’était pas vraiment de sorte de ne pas réagir ou à baisser la tête un fuyant non une Hyunima regarde en face et avance fière elle ne se laisse pas marcher sur les pieds ou intimidé et encore moins rabaissé. Soutenant son regard elle lui fit comprendre en un regard de s’expliquer sans plus tarder et de n’oublier aucun détail. Il attendit quelques secondes avant de ce lancer, la Hyunima tendit l’oreille avide d’avoir enfin une explication.
Vous savez, les promesses sont dures à tenir…Il faut parfois du temps, beaucoup de temps pour qu’elles soient tenues.
L’inconnu était en faite le jeune garçon du bar qui ressemblai tellement à Hito, il lui tendit un mouchoir, elle hésita un moment puis le prit essuyant ses larmes elle fit attention de ne pas abimé son maquillage, le jeune brun continua :
Même si certaines sont plus importantes que d’autres…
Ensuite il hocha la tête comme pour saluer et dit :
Suu Mamoru, c’est une chance de rencontrer une personne sachant jouer de piano. C’est bien rare dans le quartier.
Leïla lui fit face et dit :
Hyunima Leïla, c’est rare de rencontrer un garçon qui ressemble tellement à Hito.
Sortant son portable elle désigna le garçon brun qui était à sa droite. Un faible sourire s’imprima sur ses lèvres, puis elle continua :
Mais tu as tors les promesses si elles sont vraiment sincère et que tu les à faites à des personnes auxquelles tu tiens alors elles doivent ne pas être dur à tenir de plus je ne suis pas d’ici j’habite à la villa de la famille Hyunima près du lac, je suis arrivée ici part hasard cet endroit est indigne de moi, regarde ma tenue je ne pense pas avoir l’air d’être de se trou.
Avec une moue dégoutée elle jeta un regard circulaire autour d’elle, la puanteur était omniprésente et les lieux n’avaient vraiment rien d’accueillant, la ruelle était sombre, de la fumée s’échappait des toits, la route mal entretenue laissait de grosse mare d’eau se former un peu partout et les bâtiments étaient dans un état piteux, des bouteilles de bières jonchaient le sol boueux, non vraiment dans sa robe christian dior dos nu, légèrement décolleté et qui lui arrivais un peu au-dessus des genoux, ses escarpins jimmy choo, et ses bijoux incrustés de diamant elle détonnait dans ce triste tableau une fille de bonne famille perdue dans le quartier le plus mal famé de la ville que pouvait-on rêvé de pire pour un noël, Leïla était plutôt habitué à la vie de château, aux limousines, voitures privées, personnels privé, chef français, grande réception avec de grande personnalité, carte bleu au plafond illimité, stylistes, défilés et avant premières, grand évènements et villa, vacances dans les plus beaux endroits du monde et yacht privé, oui le monde auquel princesse Leïla fait partie est bien différent de celui-ci, oui ils sont comme l’eau et le feu ou le jour et la nuit tellement différent l’un de l’autre et en même temps si semblable on n’y retrouve les mêmes inégalités et injustices et comme dans l’un comme dans l’autre le loi du plus fort règne dans son monde Leïla est au sommet la princesse de ce monde mais dans l’autre elle est en danger comme chien et chat ces deux peuples se font une guerre sans merci chacun d’entre eux portant une haine sans limite l’un envers l’autre, chaque oiseaux tombe du nid se retrouvant à atterrir dans le camp adverse est en danger de mort et leurs chance de survie son faible mais tout est possible pour la princesse et cela n’est pas près de changer. Leïla releva la tête et elle remarqua le regard insistant du jeune homme, le dévisagent avec un regard interrogateur elle n’était pas vraiment de sorte de ne pas réagir ou à baisser la tête un fuyant non une Hyunima regarde en face et avance fière elle ne se laisse pas marcher sur les pieds ou intimidé et encore moins rabaissé. Soutenant son regard elle lui fit comprendre en un regard de s’expliquer sans plus tarder et de n’oublier aucun détail. Il attendit quelques secondes avant de ce lancer, la Hyunima tendit l’oreille avide d’avoir enfin une explication.
Leïla hyunima- Nombre de messages : 88
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Re: Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
" Hito ? "
Il la regardait avec une grande curiosité dans les yeux. Qui était cette dénommée personne Hito, dont il n’avait jamais entendu parler ? Pourquoi discuter de ça, pourquoi l’évoquer ? Il comprit quand elle prit son portable et lui mettant sous le nez, il peut observer avec surprise un adolescent, bien plus jeune, mais très ressemblant. Gardant la sombre couleur de ses yeux sur les traits du visage de ce jeune homme sur cette photo, il n’avait pas de famille, enfin un père en vie mais on ne sait où et une mère décédée dès suite de l’accouchement, impossible d’avoir un quelque conque lien de sang aux premiers abords. C’était absurde, une simple ressemblance et rien de plus, après tout il existait des sosies. Il sourit légèrement amusé par cela, il n’aurait jamais cru possible de voir de ce genre de chose, surtout aujourd’hui. Dans cette ruelle quotidienne mais en compagnie d’une blondinette venant des hauts rangs de la ville. Il en jugeait par ses affaires, son timbre de voix et son attitude. C’était si marquant, remarquant que tout le monde aurait pu le deviner. Et le devinait sûrement, mais vu qu’elle était en bonne compagnie des deux plus grands, des enfants des supérieurs, personne ne ferait de remarque ou de geste allant à l’encontre des règles, sauf exception, comme un individu possédé par un divers paradis artificiel, si bon mais poignant qu’il serait, si mauvais en vérité dans l’idéal. Dans un spleen baudelairien en revanche, c’était un moyen comme un autre de s’en échapper.
Ses yeux furent ensuite sur la jeune femme, qui lui faisait face et qui s’était présentée à lui, comme il avait fait. Son nom lui revenait en tête et Mamoru dans un bref murmure, le répéta pour s’assurer de la bonne sonorité si on pouvait dire. Il s’avait beaucoup de chose, et cette particule d’identité semblait lui être parlant…Hyumina…Hyumina. Bien sur ! Il n’était donc pas surpris de voir cette petite avec de tels vêtements. Elle était donc la descendante du luxe aussi grand que la notoriété de ses produits. Il prenait alors une mine pensive. Avait-il déjà eu affaire à eux dans le passé. Pas d’après sa mémoire, mais ça restait à vérifier, quoi qu’il en soit, il ne lui en parlerait pas. Déjà car ça le mettrait en danger et en second pour ne pas briser le monde dans lequel elle avait grandit. Il espérait qu’elle ne fut pas l’une de ses enfants à grandir dans une ombre de ses parents, mais dans la lumière de l’opulence, entouré en réalité d’un tissu de mensonge. Elle tomberait de haut alors. Le brun fut sortit dans ses songes quand elle reprit la parole, s’adressant avec conviction, elle exposait une façon de pensée. Affirmant qu’il avait tort, un nouveau sourire se dessinait sur ses lèvres, tandis que ses mots passaient, s’élevant jusqu’à ses oreilles puis au dessus des toits, vers les cieux, ses paroles se répercutaient vaguement sur son être. Raisonnant même aux oreilles de Kaori près de la fenêtre maintenant, se tenant vers la porte, cachée à son insu, sa main s’avançait sur la vitre pour pousser ses lourdes portes, elle attendit quelques instants ne voulant pas, encore, les déranger dans un débat philosophique.
Mamoru fit volte face, posant une main sur le mur, son bras tendu, emprisonnait la petite blonde sur le coté gauche, elle pouvait prendre fuite du coté droit, le but n’était pas de l’effrayer, juste de capter fermement son attention. Elle avait fini de déblatérer et il remarquait le dégoût sur son visage. Normal pour elle, habituel pour lui, pour Kaori. Il la fixait alors avec une instante étonnante. Elle soutenait avec facilité son regard, et elle remarquait sa position. Affichant son air sérieux, il se pencha un peu vers elle, elle tendait l’oreille pour avoir une explication à son comportement, il lui donnerait. Le plus naturellement du monde, ses lèvres venaient lui dire doucement mais avec des sentiments, une vague de souvenirs en lui, une once de son passé dans la voix :
" C’est indigne, pour n’importe quel être qu’il soit. "
Il désignait le rab de la tête, il était lui et malgré ses airs vieux, son obscurité, les gens affames qui animaient l’endroit, il y avait de tout et de n’importe quoi. Mais alors que Kaori murmurait les mêmes mots de son ami, sa voix plus forte la couvrait :
" On a rarement le choix. "
Il sourit, avant de poursuivre :
" Chère princesse, bon nombre d’entre Vous, sont tombés jusqu’à moi. Jusqu’à nous. Vos yeux vous trompent, ici, peut être que nous n’avons pas ou très peu de vertus, nous vivons dans le vice plus obscène qu’il soit…Mais nous ne sommes jamais seul…Mais vous ? Est-ce vraiment un hasard que vous soyez ici…N’étiez vous pas seule quelques moments avant ? Pensez-y…"
Mamoru était un être extrêmement rationnelle, sensé et maniant agilement l’art de la rhétorique, il continuait :
" Une promesse a tellement de sens, je pourrais vous parlez de contrat, d’obligation, d’espérance…Chaque mot a son poids, si on vous a fait une promesse, et qu’elle n’est pas tenue à votre guise, deux choix s’offre à vous : Vous vous y régniez, vous laissez passer, vous patientez ou alors vous allez à la rencontre des contractants et vous demandez pourquoi ce n’est pas tenu. Vous avez le choix, ne le gâchez pas. Quoi qu’il advienne ne vous fermez pas aux autres. "
Toujours souriant, il se détacha d’elle, faisant quelques pas, dos tourné :
" Une promesse, quelque qu’elle soit, dépend, du pourquoi, du comment, à qui, quand. Tant de facteurs rentrent en compte. C’est pour cela qu’elles sont plus ou moins importantes. "
Il se retourna brusquement et dit avec sincérité :
" J’ai fais exactement deux promesses dans ma vie, je n’ai pas pu tenir la première pour sauver la deuxième…"
Son regard se levait et allait chercher celui de Kaori par delà la fenêtre.
" Je n’ai pas de crainte de vous parlez de chose qui viendrait affecter ma vie personnelle, car vous êtes une tierce personne, que je ne connais point, et que je ne reverrais probablement pas. "
C’était toujours plus facile de se confesser, confier à une personne inconnue telle qu’elle est. Il marcha vers la porte et l’ouvrit laissant Kaori sortir, comme si de rien n’était, comme si cette conversation n’avait pas eu lieu, la jeune femme le regardait avant de se concentrer sur la blondinette plus en retrait, elle marchait vers elle. Il fit un simple signe de la main pour la saluer, il ne savait pas si elle répondrait avant de partir, mais la demoiselle Keiichi, proche d’elle maintenant, observait la route, et attendant quelques secondes avant de dire :
" Nous allons nous mettre en route, sinon George risque de perdre son temps. "
Se tournant vers Mamoru en souriant, un signe de la tête, la jeune femme reprenait son air neutre, faisant un premier pas, elle attendait le second de celle qu’elle escortait hors de cet endroit cauchemardesque…
Il la regardait avec une grande curiosité dans les yeux. Qui était cette dénommée personne Hito, dont il n’avait jamais entendu parler ? Pourquoi discuter de ça, pourquoi l’évoquer ? Il comprit quand elle prit son portable et lui mettant sous le nez, il peut observer avec surprise un adolescent, bien plus jeune, mais très ressemblant. Gardant la sombre couleur de ses yeux sur les traits du visage de ce jeune homme sur cette photo, il n’avait pas de famille, enfin un père en vie mais on ne sait où et une mère décédée dès suite de l’accouchement, impossible d’avoir un quelque conque lien de sang aux premiers abords. C’était absurde, une simple ressemblance et rien de plus, après tout il existait des sosies. Il sourit légèrement amusé par cela, il n’aurait jamais cru possible de voir de ce genre de chose, surtout aujourd’hui. Dans cette ruelle quotidienne mais en compagnie d’une blondinette venant des hauts rangs de la ville. Il en jugeait par ses affaires, son timbre de voix et son attitude. C’était si marquant, remarquant que tout le monde aurait pu le deviner. Et le devinait sûrement, mais vu qu’elle était en bonne compagnie des deux plus grands, des enfants des supérieurs, personne ne ferait de remarque ou de geste allant à l’encontre des règles, sauf exception, comme un individu possédé par un divers paradis artificiel, si bon mais poignant qu’il serait, si mauvais en vérité dans l’idéal. Dans un spleen baudelairien en revanche, c’était un moyen comme un autre de s’en échapper.
Ses yeux furent ensuite sur la jeune femme, qui lui faisait face et qui s’était présentée à lui, comme il avait fait. Son nom lui revenait en tête et Mamoru dans un bref murmure, le répéta pour s’assurer de la bonne sonorité si on pouvait dire. Il s’avait beaucoup de chose, et cette particule d’identité semblait lui être parlant…Hyumina…Hyumina. Bien sur ! Il n’était donc pas surpris de voir cette petite avec de tels vêtements. Elle était donc la descendante du luxe aussi grand que la notoriété de ses produits. Il prenait alors une mine pensive. Avait-il déjà eu affaire à eux dans le passé. Pas d’après sa mémoire, mais ça restait à vérifier, quoi qu’il en soit, il ne lui en parlerait pas. Déjà car ça le mettrait en danger et en second pour ne pas briser le monde dans lequel elle avait grandit. Il espérait qu’elle ne fut pas l’une de ses enfants à grandir dans une ombre de ses parents, mais dans la lumière de l’opulence, entouré en réalité d’un tissu de mensonge. Elle tomberait de haut alors. Le brun fut sortit dans ses songes quand elle reprit la parole, s’adressant avec conviction, elle exposait une façon de pensée. Affirmant qu’il avait tort, un nouveau sourire se dessinait sur ses lèvres, tandis que ses mots passaient, s’élevant jusqu’à ses oreilles puis au dessus des toits, vers les cieux, ses paroles se répercutaient vaguement sur son être. Raisonnant même aux oreilles de Kaori près de la fenêtre maintenant, se tenant vers la porte, cachée à son insu, sa main s’avançait sur la vitre pour pousser ses lourdes portes, elle attendit quelques instants ne voulant pas, encore, les déranger dans un débat philosophique.
Mamoru fit volte face, posant une main sur le mur, son bras tendu, emprisonnait la petite blonde sur le coté gauche, elle pouvait prendre fuite du coté droit, le but n’était pas de l’effrayer, juste de capter fermement son attention. Elle avait fini de déblatérer et il remarquait le dégoût sur son visage. Normal pour elle, habituel pour lui, pour Kaori. Il la fixait alors avec une instante étonnante. Elle soutenait avec facilité son regard, et elle remarquait sa position. Affichant son air sérieux, il se pencha un peu vers elle, elle tendait l’oreille pour avoir une explication à son comportement, il lui donnerait. Le plus naturellement du monde, ses lèvres venaient lui dire doucement mais avec des sentiments, une vague de souvenirs en lui, une once de son passé dans la voix :
" C’est indigne, pour n’importe quel être qu’il soit. "
Il désignait le rab de la tête, il était lui et malgré ses airs vieux, son obscurité, les gens affames qui animaient l’endroit, il y avait de tout et de n’importe quoi. Mais alors que Kaori murmurait les mêmes mots de son ami, sa voix plus forte la couvrait :
" On a rarement le choix. "
Il sourit, avant de poursuivre :
" Chère princesse, bon nombre d’entre Vous, sont tombés jusqu’à moi. Jusqu’à nous. Vos yeux vous trompent, ici, peut être que nous n’avons pas ou très peu de vertus, nous vivons dans le vice plus obscène qu’il soit…Mais nous ne sommes jamais seul…Mais vous ? Est-ce vraiment un hasard que vous soyez ici…N’étiez vous pas seule quelques moments avant ? Pensez-y…"
Mamoru était un être extrêmement rationnelle, sensé et maniant agilement l’art de la rhétorique, il continuait :
" Une promesse a tellement de sens, je pourrais vous parlez de contrat, d’obligation, d’espérance…Chaque mot a son poids, si on vous a fait une promesse, et qu’elle n’est pas tenue à votre guise, deux choix s’offre à vous : Vous vous y régniez, vous laissez passer, vous patientez ou alors vous allez à la rencontre des contractants et vous demandez pourquoi ce n’est pas tenu. Vous avez le choix, ne le gâchez pas. Quoi qu’il advienne ne vous fermez pas aux autres. "
Toujours souriant, il se détacha d’elle, faisant quelques pas, dos tourné :
" Une promesse, quelque qu’elle soit, dépend, du pourquoi, du comment, à qui, quand. Tant de facteurs rentrent en compte. C’est pour cela qu’elles sont plus ou moins importantes. "
Il se retourna brusquement et dit avec sincérité :
" J’ai fais exactement deux promesses dans ma vie, je n’ai pas pu tenir la première pour sauver la deuxième…"
Son regard se levait et allait chercher celui de Kaori par delà la fenêtre.
" Je n’ai pas de crainte de vous parlez de chose qui viendrait affecter ma vie personnelle, car vous êtes une tierce personne, que je ne connais point, et que je ne reverrais probablement pas. "
C’était toujours plus facile de se confesser, confier à une personne inconnue telle qu’elle est. Il marcha vers la porte et l’ouvrit laissant Kaori sortir, comme si de rien n’était, comme si cette conversation n’avait pas eu lieu, la jeune femme le regardait avant de se concentrer sur la blondinette plus en retrait, elle marchait vers elle. Il fit un simple signe de la main pour la saluer, il ne savait pas si elle répondrait avant de partir, mais la demoiselle Keiichi, proche d’elle maintenant, observait la route, et attendant quelques secondes avant de dire :
" Nous allons nous mettre en route, sinon George risque de perdre son temps. "
Se tournant vers Mamoru en souriant, un signe de la tête, la jeune femme reprenait son air neutre, faisant un premier pas, elle attendait le second de celle qu’elle escortait hors de cet endroit cauchemardesque…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
Age : 31
Date d'inscription : 14/06/2009
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Re: Avez-vous dit Noël ? [ Suite ...Leïla Hyunima ] Terminé.
Mamoru se tourna et plaquant sa main contre le mur son bras faisant barrage, nullement impressionné elle soutint son regard tendit qu’il disait.
C’est indigne, pour n’importe quel être qu’il soit. On a rarement le choix. Chère princesse, bon nombre d’entre Vous, sont tombés jusqu’à moi. Jusqu’à nous. Vos yeux vous trompent, ici, peut être que nous n’avons pas ou très peu de vertus, nous vivons dans le vice plus obscène qu’il soit…Mais nous ne sommes jamais seul…Mais vous ? Est-ce vraiment un hasard que vous soyez ici…N’étiez vous pas seule quelques moments avant ? Pensez-y… Une promesse a tellement de sens, je pourrais vous parlez de contrat, d’obligation, d’espérance…Chaque mot a son poids, si on vous a fait une promesse, et qu’elle n’est pas tenue à votre guise, deux choix s’offre à vous : Vous vous y régniez, vous laissez passer, vous patientez ou alors vous allez à la rencontre des contractants et vous demandez pourquoi ce n’est pas tenu. Vous avez le choix, ne le gâchez pas. Quoi qu’il advienne ne vous fermez pas aux autres.
Se détachant de la jeune blonde il se retourna fit quelques pas avant de continuer :
J’ai fais exactement deux promesses dans ma vie, je n’ai pas pu tenir la première pour sauver la deuxième… Je n’ai pas de crainte de vous parlez de chose qui viendrait affecter ma vie personnelle, car vous êtes une tierce personne, que je ne connais point, et que je ne reverrais probablement pas.
Leïla allait répondre quand le jeune homme se tourna vers la porte rentra à l’intérieur du bar laissant place à Kaori sa voix retentit :
Nous allons nous mettre en route, sinon George risque de perdre son temps.
Acquiesçant d’un signe de tête la jeune chanteuse se mit en marche derrière la jeune fille aux cheveux bleu et à la peau pâle qui se nommait Kaori Keichii apparemment et après les évènements de ce soir la Hyunima était sur qu’elle était très respecté dans ce quartier surement autant qu’elle dans son monde, réfléchissant aux paroles de Mamoru, indigne de tout être humain non elle ne pensait pas certain être méritait d’être en ces lieux même si ce n’étaient pas les bonnes personnes, ses yeux la trompait elle en était parfaitement consciente elle était seule et elle le savait mais refusait de vraiment l’admettre, allez les revoir ses amis pourquoi ils n’avaient pas tenu leur promesse et ce serait à elle Leïla Hyunima de leur rappeler non mais pour qui la prenait-elle ? Une promesse ne s’oubli pas et encore moins si elle est faite à une personne qui nous est chère, le visage de Leïla s’assombrit un instant sa mère avait raison ils n’étaient pas son amis ils l’avaient déjà oublié aussitôt qu’elle fut parti et oui c’est comme cela que fonctionnait son monde on oubliait les personnes qui avait fait parti de son monde et on les remplaçait par des nouvelles qui nous servait, bien qu’elle pourrait toujours faire appelle à eux ils seraient obligé de s’exécuter sinon leur statu social et leur relation se dégraderait rapidement alors qu’elle pouvait faire se qui lui plaisait il n’y aurait jamais aucun effet négatif encore un avantage de faire parti de prestigieuse famille Hyunima. La jeune blonde ne sorti de ses pensées que lorsque l’imposante bâtisse de l’easter company. S’arrêtant elle vit sa BMW noire si familière apparaitre au coin de la rue et se stopper quelques secondes plus tard devant l’héritière, George descendit du véhicule pressant le pas de peur de se faire réprimander encore une fois.
Mademoiselle ou étiez-vous ? Nous vous avons changé partout.
Ouvrant la portière il laissa passer la jeune fille, s’asseyant dans sa voiture de luxe elle tourna la tête vers Kaori et dit :
Merci pour tout.
La portière se referma sur la Hyunima et son chauffeur se mit au volant puis démarra en trombe, la jeune fille ferma les yeux jusqu’à son arrivé chez elle, descendant de la voiture elle monta dans sa salle de bain pris un bain chaud puis se mit en pyjama et se coucha après s’être démaquillé, brossé les dents, coiffé et mit diverses crème elle ferma les yeux se laissant gagner par le sommeil.
C’est indigne, pour n’importe quel être qu’il soit. On a rarement le choix. Chère princesse, bon nombre d’entre Vous, sont tombés jusqu’à moi. Jusqu’à nous. Vos yeux vous trompent, ici, peut être que nous n’avons pas ou très peu de vertus, nous vivons dans le vice plus obscène qu’il soit…Mais nous ne sommes jamais seul…Mais vous ? Est-ce vraiment un hasard que vous soyez ici…N’étiez vous pas seule quelques moments avant ? Pensez-y… Une promesse a tellement de sens, je pourrais vous parlez de contrat, d’obligation, d’espérance…Chaque mot a son poids, si on vous a fait une promesse, et qu’elle n’est pas tenue à votre guise, deux choix s’offre à vous : Vous vous y régniez, vous laissez passer, vous patientez ou alors vous allez à la rencontre des contractants et vous demandez pourquoi ce n’est pas tenu. Vous avez le choix, ne le gâchez pas. Quoi qu’il advienne ne vous fermez pas aux autres.
Se détachant de la jeune blonde il se retourna fit quelques pas avant de continuer :
J’ai fais exactement deux promesses dans ma vie, je n’ai pas pu tenir la première pour sauver la deuxième… Je n’ai pas de crainte de vous parlez de chose qui viendrait affecter ma vie personnelle, car vous êtes une tierce personne, que je ne connais point, et que je ne reverrais probablement pas.
Leïla allait répondre quand le jeune homme se tourna vers la porte rentra à l’intérieur du bar laissant place à Kaori sa voix retentit :
Nous allons nous mettre en route, sinon George risque de perdre son temps.
Acquiesçant d’un signe de tête la jeune chanteuse se mit en marche derrière la jeune fille aux cheveux bleu et à la peau pâle qui se nommait Kaori Keichii apparemment et après les évènements de ce soir la Hyunima était sur qu’elle était très respecté dans ce quartier surement autant qu’elle dans son monde, réfléchissant aux paroles de Mamoru, indigne de tout être humain non elle ne pensait pas certain être méritait d’être en ces lieux même si ce n’étaient pas les bonnes personnes, ses yeux la trompait elle en était parfaitement consciente elle était seule et elle le savait mais refusait de vraiment l’admettre, allez les revoir ses amis pourquoi ils n’avaient pas tenu leur promesse et ce serait à elle Leïla Hyunima de leur rappeler non mais pour qui la prenait-elle ? Une promesse ne s’oubli pas et encore moins si elle est faite à une personne qui nous est chère, le visage de Leïla s’assombrit un instant sa mère avait raison ils n’étaient pas son amis ils l’avaient déjà oublié aussitôt qu’elle fut parti et oui c’est comme cela que fonctionnait son monde on oubliait les personnes qui avait fait parti de son monde et on les remplaçait par des nouvelles qui nous servait, bien qu’elle pourrait toujours faire appelle à eux ils seraient obligé de s’exécuter sinon leur statu social et leur relation se dégraderait rapidement alors qu’elle pouvait faire se qui lui plaisait il n’y aurait jamais aucun effet négatif encore un avantage de faire parti de prestigieuse famille Hyunima. La jeune blonde ne sorti de ses pensées que lorsque l’imposante bâtisse de l’easter company. S’arrêtant elle vit sa BMW noire si familière apparaitre au coin de la rue et se stopper quelques secondes plus tard devant l’héritière, George descendit du véhicule pressant le pas de peur de se faire réprimander encore une fois.
Mademoiselle ou étiez-vous ? Nous vous avons changé partout.
Ouvrant la portière il laissa passer la jeune fille, s’asseyant dans sa voiture de luxe elle tourna la tête vers Kaori et dit :
Merci pour tout.
La portière se referma sur la Hyunima et son chauffeur se mit au volant puis démarra en trombe, la jeune fille ferma les yeux jusqu’à son arrivé chez elle, descendant de la voiture elle monta dans sa salle de bain pris un bain chaud puis se mit en pyjama et se coucha après s’être démaquillé, brossé les dents, coiffé et mit diverses crème elle ferma les yeux se laissant gagner par le sommeil.
Leïla hyunima- Nombre de messages : 88
Age : 28
Localisation : Yerres
Date d'inscription : 21/12/2009
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