Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
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Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[ Keiichi Kaori…Episode 1 ^^ ]
Elle songeait, allongée sur un lit qui n’était pas le sien. Elle n’avait pas beaucoup de souvenir, et quoi qu’il arrive, la jeune fille ne voulait plus y repenser. C’était donc ici, que son corps s’était étendue sans plus aucune force, ses yeux avaient du trouver assez de repos pour pouvoir se fermer autant de temps. Kaori passa une main sur sa joue et soupira. Elle était seule, dans cette pièce qu’elle connaissait à peine. Les bras le long de son corps maintenant, le regard rivé vers le plafond. C’était lugubre, une planque à tous les coups pensa t-elle en pinçant les lèvres. Elle approcha ses mains de son cou. Comme cherchant quelque chose autour de celui-ci, elle tâtait sa peau et constata que la chaine en argent massif était toujours là. Elle passa sa main sous son vêtement et attrapa le bijou. Jouant avec du bout de ses fins doigts, doucement, comme si elle ne voulait pas la casser. Elle fut plus brutale par la suite. Empoignant fermement l’ornement qui décorait son buste, les mains l’entourant. Kaori tira d’un coup violent la parure. Cette dernière, alors se brisa sous ses doigts, les mailes se déchirant. Ces unités de motif se laissaient choir sur sa poitrine et dans sa chevelure sombre. Scintillantes dans cette obscurité, comme les étoiles le seraient dans le firmament. Cela faisait dix sept ans, qu’elle attendait de pouvoir faire ça. Elle venait d’anéantir le seul cadeau que lui avait fait son père. Ce lien qui les reliait n’était maintenant plus. Cependant, elle savait que ce n’était pas finit. L’adolescente referma les yeux se cachant dans l’obscurité comme elle en avait l’habitude, et eut un sourire mélancolique. Ses lèvres dessinant un éclat de sentiment, chose bien rare, qu’elle effaça rapidement. Pour le moment, elle était toujours en enfer, loin d’un beau pays emplit de merveilles.
Les rayons du soleil venaient caresser son visage, l’habillant de sa lumière. Le regard perdu dans le vide, elle se leva alors. S’avançant d’un pas lent en direction d’un miroir, les jambes un peu engourdies, elle connaissait cette sensation. Une fois devant, elle observa son reflet. La pièce était close, plongée dans une ambiance calme et paisible, trop à son goût. Les volets étaient fermées, enfin pas totalement mais quasiment. D’où cette impression de tranquillité. Quelqu’un entra alors. Elle resta de marbre, en silence. Un homme, vêtu d’un beau costume, un brun aux yeux verts. Un flic…Kaori le sentait à l’odeur, à la présence, à l’attitude. Elle croisa les bras et l’observa indirectement dans la glace. Il posa sur le lit un dossier, et des vêtements. Il s’adressa alors à elle :
" Vous êtes affectez à Seiyo, mademoiselle…"
Seiyo ? C’est quoi ça ? ...Pas un remerciement, pas un geste de reconnaissance ni quoi que se soit. Oui, elle était arrogante. Il partit, la laissant seule, peu lui importait, elle était toujours seule. Comme elle s’en doutait, on ne la connaissait pas ici. Ou alors, ces personnes étaient sous l’influence de son père, ce qui était possible malgré leur statut de force de l’ordre, il fallait savoir qu’au sein de certaine brigade, il, son paternel, reléguait des fonctions à des personnes qui infiltraient ces escouades et pas pour faire le bien. La jeune fille, prit le dossier et le feuilleta, ses yeux parcourant les mots, ses doigts sur les feuilles. Elle en apprit plus sur son lycée. L’adolescente, changea alors d’habits, elle enfila l’uniforme qu’on lui avait fait parvenir. Elle ferma les derniers boutons de sa veste et elle s’éclipsa des lieux. Sans rien laisser derrière elle, elle sortit d’une ruelle sombre après quelques secondes de marche. Elle constata qu’elle n’était pas loin, car elle remarqua un garçon et une jeune fille portant le même style de vêtement qu’elle, en repensant à ça. Elle se regarda rapidement, trouvant que se genre de vêtement ne lui allait pas du tout. Une fois au cœur de la ville, elle fut éblouit par toute cette luminosité.
En effet, la ville était claire ce jour-ci, le ciel dégagé, un soleil y prenait place de roi, sans aucun nuage, il était un despotique dictateur qui avec la chaleur, sa suite logique, se faisaient alors ressentir dans les rues. Elle ferma les yeux puis les rouvrit. Elle se remit à son excursion, à sa recherche du bâtiment. Elle se sentait mal, toute cette lumière, elle ne vivait que rarement le jour. La nuit, voila son terrain de jeu. Elle avait toujours vécue dans les ténèbres et voila qu’elle montait aujourd’hui sur une première marche de l’escalier qui la conduirait peut être vers un paradis. L’obscurité, c’était dedans qu’elle avait grandit, et la pénombre qui l’avait toujours protégée dans son manteau d’ombre se dissipait à présent. Mise à nue dans un monde qui n’était pas le sien, elle n’aimait cette perception d’elle-même. Mais elle ne fit rien paraître comme à son habitude. La demoiselle arriva alors devant la Seiyo Académy. Elle regarda l’heure, qui affichait dix heures et quelques. Elle croisa les bras et scruta les lieux discrètement comme si de rien n’était.
Des élèves étaient dehors, d’autres encore à l’extérieur de l’enceinte. Elle en conclut, qu’elle pourrait facilement se glisser dans la masse, sans être remarquée. Enfin, où avait-elle la tête. Ses cheveux nuits, ses yeux azurs, d’un bleu peu qualifiable dans son intensité, sa silhouette de femme et surtout le fait d’être nouvelle. Ils allaient tous le voir. Kaori fit un premier pas, puis un deuxième et ainsi de suite. Se frayant un passage. Cette froideur dans le regard, avec l’insolence qu’elle portait, attirait et suscitait la curiosité de certain. Mais faisant semblant de ne rien remarquer, elle continua sa route d’un pas décidé. C’est alors qu’on l’interpella, elle ne savait pas trop s’il s’agissait d’elle véritablement, alors elle ne prit pas la peine de se retourner, en premier lieu. En revanche dans un second. Voyant que c’était bien à elle qu’on s’adressait, elle se mit face à la personne et fixa cette dernière. Sans expression apparente, ce qui lui était singulier, elle posa ses mains sur ses hanches, élégante dans la posture, son regard perçant venant alors dans celui de l’individu…
Elle songeait, allongée sur un lit qui n’était pas le sien. Elle n’avait pas beaucoup de souvenir, et quoi qu’il arrive, la jeune fille ne voulait plus y repenser. C’était donc ici, que son corps s’était étendue sans plus aucune force, ses yeux avaient du trouver assez de repos pour pouvoir se fermer autant de temps. Kaori passa une main sur sa joue et soupira. Elle était seule, dans cette pièce qu’elle connaissait à peine. Les bras le long de son corps maintenant, le regard rivé vers le plafond. C’était lugubre, une planque à tous les coups pensa t-elle en pinçant les lèvres. Elle approcha ses mains de son cou. Comme cherchant quelque chose autour de celui-ci, elle tâtait sa peau et constata que la chaine en argent massif était toujours là. Elle passa sa main sous son vêtement et attrapa le bijou. Jouant avec du bout de ses fins doigts, doucement, comme si elle ne voulait pas la casser. Elle fut plus brutale par la suite. Empoignant fermement l’ornement qui décorait son buste, les mains l’entourant. Kaori tira d’un coup violent la parure. Cette dernière, alors se brisa sous ses doigts, les mailes se déchirant. Ces unités de motif se laissaient choir sur sa poitrine et dans sa chevelure sombre. Scintillantes dans cette obscurité, comme les étoiles le seraient dans le firmament. Cela faisait dix sept ans, qu’elle attendait de pouvoir faire ça. Elle venait d’anéantir le seul cadeau que lui avait fait son père. Ce lien qui les reliait n’était maintenant plus. Cependant, elle savait que ce n’était pas finit. L’adolescente referma les yeux se cachant dans l’obscurité comme elle en avait l’habitude, et eut un sourire mélancolique. Ses lèvres dessinant un éclat de sentiment, chose bien rare, qu’elle effaça rapidement. Pour le moment, elle était toujours en enfer, loin d’un beau pays emplit de merveilles.
Les rayons du soleil venaient caresser son visage, l’habillant de sa lumière. Le regard perdu dans le vide, elle se leva alors. S’avançant d’un pas lent en direction d’un miroir, les jambes un peu engourdies, elle connaissait cette sensation. Une fois devant, elle observa son reflet. La pièce était close, plongée dans une ambiance calme et paisible, trop à son goût. Les volets étaient fermées, enfin pas totalement mais quasiment. D’où cette impression de tranquillité. Quelqu’un entra alors. Elle resta de marbre, en silence. Un homme, vêtu d’un beau costume, un brun aux yeux verts. Un flic…Kaori le sentait à l’odeur, à la présence, à l’attitude. Elle croisa les bras et l’observa indirectement dans la glace. Il posa sur le lit un dossier, et des vêtements. Il s’adressa alors à elle :
" Vous êtes affectez à Seiyo, mademoiselle…"
Seiyo ? C’est quoi ça ? ...Pas un remerciement, pas un geste de reconnaissance ni quoi que se soit. Oui, elle était arrogante. Il partit, la laissant seule, peu lui importait, elle était toujours seule. Comme elle s’en doutait, on ne la connaissait pas ici. Ou alors, ces personnes étaient sous l’influence de son père, ce qui était possible malgré leur statut de force de l’ordre, il fallait savoir qu’au sein de certaine brigade, il, son paternel, reléguait des fonctions à des personnes qui infiltraient ces escouades et pas pour faire le bien. La jeune fille, prit le dossier et le feuilleta, ses yeux parcourant les mots, ses doigts sur les feuilles. Elle en apprit plus sur son lycée. L’adolescente, changea alors d’habits, elle enfila l’uniforme qu’on lui avait fait parvenir. Elle ferma les derniers boutons de sa veste et elle s’éclipsa des lieux. Sans rien laisser derrière elle, elle sortit d’une ruelle sombre après quelques secondes de marche. Elle constata qu’elle n’était pas loin, car elle remarqua un garçon et une jeune fille portant le même style de vêtement qu’elle, en repensant à ça. Elle se regarda rapidement, trouvant que se genre de vêtement ne lui allait pas du tout. Une fois au cœur de la ville, elle fut éblouit par toute cette luminosité.
En effet, la ville était claire ce jour-ci, le ciel dégagé, un soleil y prenait place de roi, sans aucun nuage, il était un despotique dictateur qui avec la chaleur, sa suite logique, se faisaient alors ressentir dans les rues. Elle ferma les yeux puis les rouvrit. Elle se remit à son excursion, à sa recherche du bâtiment. Elle se sentait mal, toute cette lumière, elle ne vivait que rarement le jour. La nuit, voila son terrain de jeu. Elle avait toujours vécue dans les ténèbres et voila qu’elle montait aujourd’hui sur une première marche de l’escalier qui la conduirait peut être vers un paradis. L’obscurité, c’était dedans qu’elle avait grandit, et la pénombre qui l’avait toujours protégée dans son manteau d’ombre se dissipait à présent. Mise à nue dans un monde qui n’était pas le sien, elle n’aimait cette perception d’elle-même. Mais elle ne fit rien paraître comme à son habitude. La demoiselle arriva alors devant la Seiyo Académy. Elle regarda l’heure, qui affichait dix heures et quelques. Elle croisa les bras et scruta les lieux discrètement comme si de rien n’était.
Des élèves étaient dehors, d’autres encore à l’extérieur de l’enceinte. Elle en conclut, qu’elle pourrait facilement se glisser dans la masse, sans être remarquée. Enfin, où avait-elle la tête. Ses cheveux nuits, ses yeux azurs, d’un bleu peu qualifiable dans son intensité, sa silhouette de femme et surtout le fait d’être nouvelle. Ils allaient tous le voir. Kaori fit un premier pas, puis un deuxième et ainsi de suite. Se frayant un passage. Cette froideur dans le regard, avec l’insolence qu’elle portait, attirait et suscitait la curiosité de certain. Mais faisant semblant de ne rien remarquer, elle continua sa route d’un pas décidé. C’est alors qu’on l’interpella, elle ne savait pas trop s’il s’agissait d’elle véritablement, alors elle ne prit pas la peine de se retourner, en premier lieu. En revanche dans un second. Voyant que c’était bien à elle qu’on s’adressait, elle se mit face à la personne et fixa cette dernière. Sans expression apparente, ce qui lui était singulier, elle posa ses mains sur ses hanches, élégante dans la posture, son regard perçant venant alors dans celui de l’individu…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
Chikane était également nouvelle dans ce lycée, elle portait l'uniforme même si elle détestait cela, elle préférai s'habiller à sa manière. Après avoir quitter sa maison, elle se dirigeai vers le lycée. Une fois la-bas, elle s'aperçut qu'il y avait déjà beaucoup de monde, ce qui ne l'enchantait guère. Elle décida d'ignorer la présence des autres personnes présentes comme elle en avait l'habitude. Son visage ne laissait paraître aucune expression, ses yeux un bleu aussi profond que l'océan lançait des regards froid, qui conque les aurai croiser se serai probablement éloignée d'elle, enfin, c'était le but de la manœuvre même si elle comme ça la plus part du temps.Sa peau était aussi blanche que la neige, ses lèvres semblait glacée, ces longs cheveux bleus flottaient au gré du vent. Malheureusement, malgré son comportement, au lieu de la fuir, les autres avaient tendance a vouloir s'approcher d'elle, lui faire des lettres d'admirations... Dans son autre lycée, elle était rapidement devenue populaire à son plus grand malheur et elle se disait que dans ce lycée, sa allait se répéter et qu'elle n'allait pas encore réussir à se faire des amis. Alors qu'elle se faufilait rapidement avec élégance, elle croisa le regard d'un jeune fille aux longs cheveux bleus, avec un regard froid comme le sien, cela l'avait surprise mais également rendue heureuse de voir qu'il y avait quelqu'un dans ce bahut qui était similaires à elle, bien évidemment, elle ne le montra pas. Mais inconsciemment, elle ne put s'empêcher d'appeler la jeune fille qui s'était à présent retournée et qui la fixait d'un regard perçant. Cependant Chikane n'était pas le moins du monde intimidée, et répliqua par un regard perçant et froid, mais c'était habituelle, elle était toujours ainsi.
*J'ai l'aire fine moi, maintenant... Moi qui n'est plus relation amicale avec les autres depuis longtemps, elle va trouver mon comportement bizarre, surtout que je l'ai abordé sans la connaître et pour une raison et je vais pas le lui expliquer.*
Chikane continuait de fixer la jeune fille de ses yeux bleu, et se décida à rompre le silence à près avoir un peu réfléchit.
-Bonjour... Je m'appelle Chikane Hoshi. Et je suis nouvelle, je me demandais si vous saviez ou se trouvait le panneau d'affichage pour les classes ?
*Bravo Chikane, ta rien trouver de mieux à dire. En plus, je pense qu'elle s'en moque de comment tu t'appelles, tant pis.*
Chikane fixait, toujours la jeune fille et commença à la détailler, Elle avait de beaux cheveux couleur nuit, des yeux azurs qui rappelaient la couleur du ciel et qui dégageaient une grande mélancolie. Elle ne pouvait s'empêcher de penser que cette jeune fille avait vécu un passé douloureux comme elle, ou peut être était ce encore le cas.
*J'ai l'aire fine moi, maintenant... Moi qui n'est plus relation amicale avec les autres depuis longtemps, elle va trouver mon comportement bizarre, surtout que je l'ai abordé sans la connaître et pour une raison et je vais pas le lui expliquer.*
Chikane continuait de fixer la jeune fille de ses yeux bleu, et se décida à rompre le silence à près avoir un peu réfléchit.
-Bonjour... Je m'appelle Chikane Hoshi. Et je suis nouvelle, je me demandais si vous saviez ou se trouvait le panneau d'affichage pour les classes ?
*Bravo Chikane, ta rien trouver de mieux à dire. En plus, je pense qu'elle s'en moque de comment tu t'appelles, tant pis.*
Chikane fixait, toujours la jeune fille et commença à la détailler, Elle avait de beaux cheveux couleur nuit, des yeux azurs qui rappelaient la couleur du ciel et qui dégageaient une grande mélancolie. Elle ne pouvait s'empêcher de penser que cette jeune fille avait vécu un passé douloureux comme elle, ou peut être était ce encore le cas.
Chikane Hoshi- Nombre de messages : 95
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[J'arriiiive x') Désolée,c'est court,c'est à chier,mais j'avais trop pas d'idées ><]
The Rose pina les lèvres et jeta un coup d'oeil critique sur la glace qui surplombait le meuble dans le couloir.Elle fit quelques pas,mima de parler à quelqu'un en étant assise.Puis elle sourit et,satisfaite,elle dit un dernier "au revoir" à sa mère et quitta précipitemment le palier pour courir.Evidemment,elle était en retard au travail.Son patron était indulgent,mais ça faisait quand même la troisième fois de la semaine - et on était jeudi.Mais elle avait eu subitement envie d'arranger sa tenue.Ce ne serait pas très bien vu - déja,s'habiller à la garçonne de cette manière...De toute façons,elle avait horreur de ce qui pouvait exhiber un peu plus ses courbes féminines.Le fait d'avoir déchiré les manches,laissant ses tatouages à découvert,d'entrouvir sa chemise et d'éclabousser d'encre son pantalon n'allait pas inciter les gens à l'approcher,loin de là.Elle haussa les épaules,fataliste.Qu'est-ce qu'elle en avait à faire ?
Elle laissa ses doigts de neige glisser sur les briques rouge de sa petite rue modeste,avançant d'une démarche dansante et les yeux rivés sur le soleil,clignant à peine des yeux face à son dure éclat.Elle n'avait même pas chaud,mais cela était peut-être due au fait qu'elle était bien trop occuper à penser.Son train-train quotidien différait en tout point avec celui d'une personne de son âge normal.De meilleures horaires,certes,mais pas de vacances scolaires.Alors qu'elle traversait un passage piéton,elle s'arrêta soudainement.Un coup de klaxon accueillit son indécision a poursuivre sa route,et elle se dépêcha de finir de traverser,pour ensuite se plaquer face contre le mur de la maison d'en face.Ellle attendit,le souffle court,et,nerveuse,elle reprit son chemin peu après.L'espace d'un instant,un éclat blanc avait traversé son regard sombre,et il avait pris une teitne opale,pour ne pas dire blanche.Bien sûr,qu'on se poserait des questions si on la voyait avec des yeux comme ça.Cela la rendit moins avenante encore,surtout que ces temps-ci ils avaient une facheuse tendance à se transformer ainsi plus que souvent.Cela la prenait parfois tellement au dépourvu qu'elle devait fermer les yeux soudainement,à la plus grande incompréhension des personnes qui la voyait à ce moment là.Elle passa devant les grilles de son ancien lycée et aperçut deux jeunes filles,appremment en train de discuter.The Rose jeta un coup d'oeil à sa montre et les aiguilles lui indiquèrent que la sonnerie avait déja retentie.Voilà bien longtemps qu'elle ne l'avait pas entendu,et peut-être avait-elle changé d'heure depuis son départ,mais elle conclut cela en voyant que les deux lycéennes étaient seules dans la cour.Des nouvells sûrement,ça se voyait comme le nez au milieu de la figure.Elle s'approcha à pas léger et éleva la voix pour se faire entendre.
-Eh,vous deux ! Vous feriez mieux de vous dépêchez de rentrer en cours,ce serait con de vous attirer des ennuis dès votre premier jour !
Elle était mal placé pour dire ça,mais c'était dans leur propre intérêt.Comme d'habitude,sa voix grave et légèrement enroué avait résonné.Elle s'en serait tapé les doigts à coups de règle en fer d'avoir une voix aussi forte.Elle pressa son front contre les barreaux froids,et ce contact tiède la répugna presque.Son visage de marbre se retourna encore une fois vers les deux filles,qui n'avaient pas bougé.Elle leva le menton dans une attitude de défi et croisa les bras.Quand allaient-elles se décidaient à bouger ?
[...]
The Rose pina les lèvres et jeta un coup d'oeil critique sur la glace qui surplombait le meuble dans le couloir.Elle fit quelques pas,mima de parler à quelqu'un en étant assise.Puis elle sourit et,satisfaite,elle dit un dernier "au revoir" à sa mère et quitta précipitemment le palier pour courir.Evidemment,elle était en retard au travail.Son patron était indulgent,mais ça faisait quand même la troisième fois de la semaine - et on était jeudi.Mais elle avait eu subitement envie d'arranger sa tenue.Ce ne serait pas très bien vu - déja,s'habiller à la garçonne de cette manière...De toute façons,elle avait horreur de ce qui pouvait exhiber un peu plus ses courbes féminines.Le fait d'avoir déchiré les manches,laissant ses tatouages à découvert,d'entrouvir sa chemise et d'éclabousser d'encre son pantalon n'allait pas inciter les gens à l'approcher,loin de là.Elle haussa les épaules,fataliste.Qu'est-ce qu'elle en avait à faire ?
Elle laissa ses doigts de neige glisser sur les briques rouge de sa petite rue modeste,avançant d'une démarche dansante et les yeux rivés sur le soleil,clignant à peine des yeux face à son dure éclat.Elle n'avait même pas chaud,mais cela était peut-être due au fait qu'elle était bien trop occuper à penser.Son train-train quotidien différait en tout point avec celui d'une personne de son âge normal.De meilleures horaires,certes,mais pas de vacances scolaires.Alors qu'elle traversait un passage piéton,elle s'arrêta soudainement.Un coup de klaxon accueillit son indécision a poursuivre sa route,et elle se dépêcha de finir de traverser,pour ensuite se plaquer face contre le mur de la maison d'en face.Ellle attendit,le souffle court,et,nerveuse,elle reprit son chemin peu après.L'espace d'un instant,un éclat blanc avait traversé son regard sombre,et il avait pris une teitne opale,pour ne pas dire blanche.Bien sûr,qu'on se poserait des questions si on la voyait avec des yeux comme ça.Cela la rendit moins avenante encore,surtout que ces temps-ci ils avaient une facheuse tendance à se transformer ainsi plus que souvent.Cela la prenait parfois tellement au dépourvu qu'elle devait fermer les yeux soudainement,à la plus grande incompréhension des personnes qui la voyait à ce moment là.Elle passa devant les grilles de son ancien lycée et aperçut deux jeunes filles,appremment en train de discuter.The Rose jeta un coup d'oeil à sa montre et les aiguilles lui indiquèrent que la sonnerie avait déja retentie.Voilà bien longtemps qu'elle ne l'avait pas entendu,et peut-être avait-elle changé d'heure depuis son départ,mais elle conclut cela en voyant que les deux lycéennes étaient seules dans la cour.Des nouvells sûrement,ça se voyait comme le nez au milieu de la figure.Elle s'approcha à pas léger et éleva la voix pour se faire entendre.
-Eh,vous deux ! Vous feriez mieux de vous dépêchez de rentrer en cours,ce serait con de vous attirer des ennuis dès votre premier jour !
Elle était mal placé pour dire ça,mais c'était dans leur propre intérêt.Comme d'habitude,sa voix grave et légèrement enroué avait résonné.Elle s'en serait tapé les doigts à coups de règle en fer d'avoir une voix aussi forte.Elle pressa son front contre les barreaux froids,et ce contact tiède la répugna presque.Son visage de marbre se retourna encore une fois vers les deux filles,qui n'avaient pas bougé.Elle leva le menton dans une attitude de défi et croisa les bras.Quand allaient-elles se décidaient à bouger ?
[...]
The Rose- Nombre de messages : 340
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
Dans sa démarche, elle cherchait à infiltrer la foule, mais elle voyait bien, que pour le moment ça ne marchait guère. Alors bon, elle cherchait son chemin comme si de rien était, en vérité, elle était là pour découvrir les lieux. Genre une visite quoi, visite improvisée et sous son propre commandement, comme elle le disait souvent, on est toujours mieux servit que par soit même. La Seiyo Academy était peut être grande et impressionnante, normal, c’était un complexe. Mais le lycée seul, n’était pas si confondant. Elle continua de marcher, et sentit quelques regards sur elle. Elle ne fit rien apparaitre, il ne fallait surtout pas. Pendant qu’elle marchait, elle songeait…A quoi ? Beaucoup de chose. Le regard dans le vide, un mince sourire se dessina presque invisible, elle savait déjà se qu’elle ferait pour mettre les nerfs de son cher père en pelote. Le pauvre étant en cavale, ce ne devait pas être facile. Mais il l’avait cherché et bien mérité. On la tira alors de ses pensées…Ce qui n'était pas plus mal, ce n'était pas le moment pour préparer ce genre de chose.
En temps normal, elle ne se serait pas retournée. Mais voila, décidée à faire un effort, elle s’était dirigé vers la personne. Sa voix l’interpella aussi. Pourquoi ? Le ton neutre surement, voir froid. Kaori observa l’individu, une jeune femme, qui semblait avoir à peu près le même âge. Les cheveux de couleur nuit presque noir, un regard particulier, glacé d’un bleu diamant, profond. Vêtue d’un même uniforme qu’elle, logique, elle aussi était élève ici à tous les coups. Elle se présenta. Mademoiselle Keiichi comprit que malgré son apparence et sa présence touchant l’indifférence, elle faisait un pas vers les autres, un premier effort de sa part à elle aussi ? C’est vrai, que les deux jeunes filles face à face se ressemblaient, et ce qu’elles dégageaient visiblement de nouveau pour les autres, attiraient l’attention générale. L’une était déjà plus sociale que l’autre. La preuve était qu’elle se présentait par politesse puis elle demandait son chemin. Leurs regards étincelants ne se quittant pas, Kaori savait que malgré ce détail, Chikane Hoshi comme elle se prénommait était différente parmi toutes ses petites têtes blondes. Ses personnes souriantes, aimant la vie, candides, naïfs, mais tant mieux pour eux. C’était un pressentiment, comme si cette personne là avait pu ressentir un quelque conque sentiment, une certaine douleur. C’est pour cela qu’elle se décidait à lui répondre, au lieu de l’ignorer et aller vers les portes du lycée pour trouver ce qu’elle cherchait :
" Malheureusement pour vous, Hoshi-san, je suis également nouvelle."
Elle ne pouvait pas lui apporter d’aide, et c’était comme ainsi. Loin d’être impolie, elle se surprenait elle-même. Enfin ici, elle ne pouvait plus se permettre de partir au quart de tour, et d’avoir un langage vulgaire. Heureusement que Kaori savait s’adapter, ce n’était pas une brute non plus, quoi que…Non, elle savait faire preuve de finesse et d’élégance quand elle s’en donnait la peine et même sans, c’était l’attraction qu’on lui vouait qui faisait cela. Elle se retourna alors, elle ne pouvait rien pour elle alors pourquoi rester ? De toute façon, elle serait surement amener à se revoir, peut être seraient-elles dans une même classe. Et dire que demain, elle avait devoir se présenter devant toute une ribambelle d’étudiant. Keiichi Kaori au lycée, qui l’aurait cru. Et dire aussi, qu’elle n’avait rien, du moins, elle n’avait pu rien. Pas d’affaire pour suivre, aucun crayon, aucun cahieret autre. Voila un détail fâcheux auquel elle n’avait pas pensé. Pas d’autres vêtements que son uniforme, ça aussi, ça allait poser problème. Elle se fit penser, à aller chercher un peu d’argent et aller acheter quelques trucs, car elle n’allait pas arriver les mains dans les poches. Si, elle en aurait été capable mais il lui fallait absolument d’autres fringues, car elle trouvait que les uniformes ne lui allaient pas du tout.
Non, mais vraiment. Du rouge en plus, une couleur vive, chose qu’elle ne portait jamais. Elle s’y habituerait de toute façon, à la longue, mais bon en attendant ça ne la réjouissait pas plus que ça. La jeune fille regarda autour d’elle, et vit que l’endroit se vidait rapidement. Elle allait devoir y aller, sans jeter d’autre regard, elle fit un premier pas, avant d’entendre quelqu’un. Kaori se demandait tout d’un coup se que s’il se passait. Tout le monde allait lui adresser la parole aujourd’hui ? Elle haussa un sourcil et se retourna, Chikane Hoshi toujours là, elle était pensante, mais elle semblait être déranger par l’autre adolescente se trouvant de l’autre coté de la grille. Les Keiichi étaient connu par leur impulsivité et leur attitude de hâblerie acceptant tout pari ou défi qu’il soit. Mais elle, était différente, ne l’avait-elle pas assez répété ? Elle passa une main dans ses cheveux. Le regard électrique maintenant scrutait celle qui l’avait interpellée pour la deuxième fois.
Kaori changea d’attitude, les bras croisés, la tête haute, la brise faisait voler ses cheveux, donnant du poids à son aplomb. C’était bizarre, qu’une tierce personne se permette de faire une remarque à deux personnes qu’elles ne connaissaient pas et qui n’avaient rien à voir avec leur affaire. Sans expression, et après avoir écouté ses paroles, elle leva la tête en direction d’un objet qui lui donnerait l’heure. Elle n’était pas pressée, elle était juste ici pour visiter les lieux, elle pouvait se permettre ce que bon lui semblait, un sérieux avantage. Demain serait une autre histoire. Et puis les ennuis, elle en avait déjà, alors finalement, dans le fond, un de plus ou un de moins, cela n’avait pu de grande importance. Après avoir observé l’adolescente, un look défini, la peau pâle, les yeux ombreux qui contrastaient avec la blancheur de ses cheveux coupés dans un carré, elle en conclut rapidement qu’elle aussi se différenciait de la foule. N’aimant cependant pas perdre son temps, elle leur tourna le dos, elle n’avait plus rien à faire ici. Et cette remarque n’avait rien à lui apporter. Alors comme à son habitude, autant faire comme si de rien était et passer son chemin. Elle fit un premier pas, sans se soucier de se qui se tramait dans son dos.
En temps normal, elle ne se serait pas retournée. Mais voila, décidée à faire un effort, elle s’était dirigé vers la personne. Sa voix l’interpella aussi. Pourquoi ? Le ton neutre surement, voir froid. Kaori observa l’individu, une jeune femme, qui semblait avoir à peu près le même âge. Les cheveux de couleur nuit presque noir, un regard particulier, glacé d’un bleu diamant, profond. Vêtue d’un même uniforme qu’elle, logique, elle aussi était élève ici à tous les coups. Elle se présenta. Mademoiselle Keiichi comprit que malgré son apparence et sa présence touchant l’indifférence, elle faisait un pas vers les autres, un premier effort de sa part à elle aussi ? C’est vrai, que les deux jeunes filles face à face se ressemblaient, et ce qu’elles dégageaient visiblement de nouveau pour les autres, attiraient l’attention générale. L’une était déjà plus sociale que l’autre. La preuve était qu’elle se présentait par politesse puis elle demandait son chemin. Leurs regards étincelants ne se quittant pas, Kaori savait que malgré ce détail, Chikane Hoshi comme elle se prénommait était différente parmi toutes ses petites têtes blondes. Ses personnes souriantes, aimant la vie, candides, naïfs, mais tant mieux pour eux. C’était un pressentiment, comme si cette personne là avait pu ressentir un quelque conque sentiment, une certaine douleur. C’est pour cela qu’elle se décidait à lui répondre, au lieu de l’ignorer et aller vers les portes du lycée pour trouver ce qu’elle cherchait :
" Malheureusement pour vous, Hoshi-san, je suis également nouvelle."
Elle ne pouvait pas lui apporter d’aide, et c’était comme ainsi. Loin d’être impolie, elle se surprenait elle-même. Enfin ici, elle ne pouvait plus se permettre de partir au quart de tour, et d’avoir un langage vulgaire. Heureusement que Kaori savait s’adapter, ce n’était pas une brute non plus, quoi que…Non, elle savait faire preuve de finesse et d’élégance quand elle s’en donnait la peine et même sans, c’était l’attraction qu’on lui vouait qui faisait cela. Elle se retourna alors, elle ne pouvait rien pour elle alors pourquoi rester ? De toute façon, elle serait surement amener à se revoir, peut être seraient-elles dans une même classe. Et dire que demain, elle avait devoir se présenter devant toute une ribambelle d’étudiant. Keiichi Kaori au lycée, qui l’aurait cru. Et dire aussi, qu’elle n’avait rien, du moins, elle n’avait pu rien. Pas d’affaire pour suivre, aucun crayon, aucun cahieret autre. Voila un détail fâcheux auquel elle n’avait pas pensé. Pas d’autres vêtements que son uniforme, ça aussi, ça allait poser problème. Elle se fit penser, à aller chercher un peu d’argent et aller acheter quelques trucs, car elle n’allait pas arriver les mains dans les poches. Si, elle en aurait été capable mais il lui fallait absolument d’autres fringues, car elle trouvait que les uniformes ne lui allaient pas du tout.
Non, mais vraiment. Du rouge en plus, une couleur vive, chose qu’elle ne portait jamais. Elle s’y habituerait de toute façon, à la longue, mais bon en attendant ça ne la réjouissait pas plus que ça. La jeune fille regarda autour d’elle, et vit que l’endroit se vidait rapidement. Elle allait devoir y aller, sans jeter d’autre regard, elle fit un premier pas, avant d’entendre quelqu’un. Kaori se demandait tout d’un coup se que s’il se passait. Tout le monde allait lui adresser la parole aujourd’hui ? Elle haussa un sourcil et se retourna, Chikane Hoshi toujours là, elle était pensante, mais elle semblait être déranger par l’autre adolescente se trouvant de l’autre coté de la grille. Les Keiichi étaient connu par leur impulsivité et leur attitude de hâblerie acceptant tout pari ou défi qu’il soit. Mais elle, était différente, ne l’avait-elle pas assez répété ? Elle passa une main dans ses cheveux. Le regard électrique maintenant scrutait celle qui l’avait interpellée pour la deuxième fois.
Kaori changea d’attitude, les bras croisés, la tête haute, la brise faisait voler ses cheveux, donnant du poids à son aplomb. C’était bizarre, qu’une tierce personne se permette de faire une remarque à deux personnes qu’elles ne connaissaient pas et qui n’avaient rien à voir avec leur affaire. Sans expression, et après avoir écouté ses paroles, elle leva la tête en direction d’un objet qui lui donnerait l’heure. Elle n’était pas pressée, elle était juste ici pour visiter les lieux, elle pouvait se permettre ce que bon lui semblait, un sérieux avantage. Demain serait une autre histoire. Et puis les ennuis, elle en avait déjà, alors finalement, dans le fond, un de plus ou un de moins, cela n’avait pu de grande importance. Après avoir observé l’adolescente, un look défini, la peau pâle, les yeux ombreux qui contrastaient avec la blancheur de ses cheveux coupés dans un carré, elle en conclut rapidement qu’elle aussi se différenciait de la foule. N’aimant cependant pas perdre son temps, elle leur tourna le dos, elle n’avait plus rien à faire ici. Et cette remarque n’avait rien à lui apporter. Alors comme à son habitude, autant faire comme si de rien était et passer son chemin. Elle fit un premier pas, sans se soucier de se qui se tramait dans son dos.
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[Incrustage de la Reine XD]
Yuuki ne savait plus trop pourquoi elle était venue ici, au lycée Seiyo. Puis, après quelques minutes de réflexion, elle se souvenait que c'était pour se faire des "amies". Amie. Le mot sonna si faux dans la bouche de la petite Kuran qu'elle ne voulait plus y penser. Certes, elle avait déjà fait quelques connaissances mais c'était juste passager. Pourquoi se faire des illusions? Yuuki était trop timide pour pourvoir avoir des relations normaux. Si dur à admettre...Son père avait pourtant tout fait pour qu'elle se sente à l'aise ici, dans cette école où il n'y avait jamais eu de problème. Les gardiens veillaient à ce qu'aucun problème ne survienne entre deux cours. C'était toujours le même spectacle. Un gardien apparaissait devant une classe quelconque que se levait déjà des hurlements et des cris de toute part. Et les gardiens lui faisait peur. A elle, Yuuki Kuran. Elle ne comprenait pas bien pourquoi mais...il y avait à leur côtés, quelque chose d'étrange. Surement son imagination mais non. Un fois elle avait sentit cette présence. Des voix. Elle en avait entendu. Elle se disait parano...et elle avait raison. Mais parmi ces gardiens, elle en aimait un. Un ex-gardien, il faut le reconnaitre. Puis ne voulant pas rester une seconde de plus là où elle était, elle se dirigea vers le parc. A cette heure, il n'y avait habituellement personne. Habituellement parce qu'elle vit deux personnes. Elle avait envie de courir et de rentrer chez elle mais elle devait rester forte. C'est donc avec beaucoup de peine qu'elle se rendit aux côtés des deux jeunes filles.
-Bonjour... lança-t-elle timidement.
Au moins, ce mot était entier. Premier round gagné!
[gomen tout court mais pas le temps ><]
Yuuki ne savait plus trop pourquoi elle était venue ici, au lycée Seiyo. Puis, après quelques minutes de réflexion, elle se souvenait que c'était pour se faire des "amies". Amie. Le mot sonna si faux dans la bouche de la petite Kuran qu'elle ne voulait plus y penser. Certes, elle avait déjà fait quelques connaissances mais c'était juste passager. Pourquoi se faire des illusions? Yuuki était trop timide pour pourvoir avoir des relations normaux. Si dur à admettre...Son père avait pourtant tout fait pour qu'elle se sente à l'aise ici, dans cette école où il n'y avait jamais eu de problème. Les gardiens veillaient à ce qu'aucun problème ne survienne entre deux cours. C'était toujours le même spectacle. Un gardien apparaissait devant une classe quelconque que se levait déjà des hurlements et des cris de toute part. Et les gardiens lui faisait peur. A elle, Yuuki Kuran. Elle ne comprenait pas bien pourquoi mais...il y avait à leur côtés, quelque chose d'étrange. Surement son imagination mais non. Un fois elle avait sentit cette présence. Des voix. Elle en avait entendu. Elle se disait parano...et elle avait raison. Mais parmi ces gardiens, elle en aimait un. Un ex-gardien, il faut le reconnaitre. Puis ne voulant pas rester une seconde de plus là où elle était, elle se dirigea vers le parc. A cette heure, il n'y avait habituellement personne. Habituellement parce qu'elle vit deux personnes. Elle avait envie de courir et de rentrer chez elle mais elle devait rester forte. C'est donc avec beaucoup de peine qu'elle se rendit aux côtés des deux jeunes filles.
-Bonjour... lança-t-elle timidement.
Au moins, ce mot était entier. Premier round gagné!
[gomen tout court mais pas le temps ><]
Yuuki Kuran- Nombre de messages : 1745
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[Yeaaah ma reine <3 J'suis actuellement en train de lire SC 2 \o/]
Contrariée,The Rose fronça les sourcils.Elle fit de son mieux pour garder son calme face à une telle insolence mais son caractère tempétueux prit facilement le dessus.Ses kèvres se muèrent en un sourire cruel.Ses poings serrés autour des barreaux se crispèrent,au point qu ses jointures en blanchirent,et d'un écartement de bras ses muscles firent que le portail se tordit de telle façon qu'elle pouvait à présent entrer en toute impunité dans le lycée.Ele avança d'un pas décidé et souple,sa présence même dégageait une confiance et une dureté écrasante.De plus,cette impression était renforcé par ses épaules et ses bras musculeux mis à nu.
-Je ne vous donnais que quelques conseils.Apparemment,tu fais,comme moi,partie de celle qui aimerait se fondre dans la foule mais qui ne peut malgré elle.Cela ne te donne pas le droit d'être arrogante aux personnes qui t'adressent la parole.
Tandis qu'elle parlait,ses mots résonnaient avec d'autant plus de force que ses pas les rythmaient dans un litanie infernale.
-Je ne te veux aucun mal,je ne fais pas preuve d'animosité à ton égard.Sois sympa,explique-moi plutôt pourquoi me tourne-tu le dos ainsi.
Son regard droit et fière changea.Horrifié,mais n'en laisant rien paraître,elle n'osa pas fermer les yeux pour cacher leur blancheur.Elle resta stoîque,se riadissant à s'en faire mal au dos.Bientôt arriva une fille qui parla un sinatnt,si bas qu'on ne l'entendit presque pas.Au comble de la stupéfaction,The Rose reconnut Yuuki,sa protégée.Sans s'en rendre compte elle retenait son souffle,comme impatiente de savoir ce qu'il en adviendrait.
[...]
Contrariée,The Rose fronça les sourcils.Elle fit de son mieux pour garder son calme face à une telle insolence mais son caractère tempétueux prit facilement le dessus.Ses kèvres se muèrent en un sourire cruel.Ses poings serrés autour des barreaux se crispèrent,au point qu ses jointures en blanchirent,et d'un écartement de bras ses muscles firent que le portail se tordit de telle façon qu'elle pouvait à présent entrer en toute impunité dans le lycée.Ele avança d'un pas décidé et souple,sa présence même dégageait une confiance et une dureté écrasante.De plus,cette impression était renforcé par ses épaules et ses bras musculeux mis à nu.
-Je ne vous donnais que quelques conseils.Apparemment,tu fais,comme moi,partie de celle qui aimerait se fondre dans la foule mais qui ne peut malgré elle.Cela ne te donne pas le droit d'être arrogante aux personnes qui t'adressent la parole.
Tandis qu'elle parlait,ses mots résonnaient avec d'autant plus de force que ses pas les rythmaient dans un litanie infernale.
-Je ne te veux aucun mal,je ne fais pas preuve d'animosité à ton égard.Sois sympa,explique-moi plutôt pourquoi me tourne-tu le dos ainsi.
Son regard droit et fière changea.Horrifié,mais n'en laisant rien paraître,elle n'osa pas fermer les yeux pour cacher leur blancheur.Elle resta stoîque,se riadissant à s'en faire mal au dos.Bientôt arriva une fille qui parla un sinatnt,si bas qu'on ne l'entendit presque pas.Au comble de la stupéfaction,The Rose reconnut Yuuki,sa protégée.Sans s'en rendre compte elle retenait son souffle,comme impatiente de savoir ce qu'il en adviendrait.
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The Rose- Nombre de messages : 340
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
Yuuki était paralysée -de peur. Elle avait dit un mot sans le reprendre une seul fois, chose surement dût à ses relations avec les filles du parc. Mais au moment où elle ne s'en attendait pas, elle vit Rose venir vers les filles, un air méchant sur le visage. Elle ne comprenait pas les raisons de sa colère mais elle n'arrivait plus à dire un seule mot. Elle ne pouvait plus bouger. Plus du tout. Elle s'accrochait désespérément à sa jupe d'uniforme rouge à carreaux, tremblant un peu. Elle avait si peur des gens qu'elle se serait terrée dans un trou de lapin pour ne plus jamais en sortir. Mais un hoquet vint de la part d'une des deux filles, ce qui fit sursauter Yuuki. Elle venait de bouger.
-"Rose..." articula-t-elle innodible.
Cette dernière ce tourna vers Yuuki, les yeux avec une expression que ne connaissait pas la petite Kuran. Il était bizarre de revoir cette lycéenne de 14 ans dans son ancien lycée pour y faire...quelque chose d'inconnue. Mais pour Yuuki, tout était bizarre. Même sa petite personne était bizarre. C'était surement l'une des seule filles sur Terre à avoir peur des personnes qui vous entourait.
-"Qu...qu'est-ce...qu-que t-tu fais...ici?"
Bon, cette phrase était nul, on recommence...pas!
-"Rose..." articula-t-elle innodible.
Cette dernière ce tourna vers Yuuki, les yeux avec une expression que ne connaissait pas la petite Kuran. Il était bizarre de revoir cette lycéenne de 14 ans dans son ancien lycée pour y faire...quelque chose d'inconnue. Mais pour Yuuki, tout était bizarre. Même sa petite personne était bizarre. C'était surement l'une des seule filles sur Terre à avoir peur des personnes qui vous entourait.
-"Qu...qu'est-ce...qu-que t-tu fais...ici?"
Bon, cette phrase était nul, on recommence...pas!
Yuuki Kuran- Nombre de messages : 1745
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[ HS : Je propose de suivre le plan suivant : Yuuki / Chikane / Moi-même / The Rose. Comme ça au moins on est fixé ^^ Sauf si ça dérange quelqu'un >< ]
Edit de Yuuki: en réalité, j'ai jamais suivit l'ordre ^^" si tu voyais le topic de Rose, Chiharu, Nami et moi, tu va comprendre.
[ HS : x'D D'accord avec Yuuki ! Mais bon,si tu veux faire un
ordre,OK.Mais comme je l'ai déja expliqué dans le topic sus-dit,je
préfère pouvoir posté quand j'en ai envie =3]
Re-édit de Yuuki: et si on discutait de ça dans le bon topic? ^^" en gros ici
merci ^^
[ Edit² => Le truc, c'est que je sais jamais quand poster >< Et même, parfois j'ai pas d'inspi' alors le temps d'écrire c'est long...Parfois très long. Mais si vous préfèrez sans ordre, je m'adapte. Alors je poste se soir ma réponse ^^ ]
_______________________________________________________________________
Une autre jeune fille arriva alors qu’elle était déjà en route pour repartir. Maintenant à quatre, Kaori n’avait pas l’habitude d’être en compagnie d’autant de personne qu’elle n’avait pas sollicitée. Elle se dit qu’elle aurait du passer son chemin dès le début, au moins, elle n’en aurait pas été là. Mais elle s’arrêta et se retourna en entendant qu’on s’adressa à elle. Que lui voulait-on ? Elle n’avait rien demandé, elle voulait juste être tranquille pour pouvoir s’adapter et découvrir les lieux. Elle était solitaire de nature ce n’était pas de sa faute, elle avait, oui, certes, un caractère spécial et une attitude particulière. Elle passa une main dans ses cheveux et replaça une mèche de sa chevelure sombre du bout de ses doigts. Son regard se posa sur la nouvelle étudiante qui venait d’arrivée. Elle était un peu plus jeune, mais devait être affecté ici elle aussi. Oui en plus, elle aussi portait l’uniforme, cette même jupe, chemisette et veste. Kaori referma d’ailleurs un bouton de sa veste, le vent soufflait de plus en plus fort, cela restait raisonnable, mais elle ne valait pas prendre froid et tomber malade, on ne sait jamais. C’est toujours quand on s’y attend le moins que ça tombe.
La jeune fille au carré était visiblement différente, plus qu’elle ne l’aurait cru. Elle la regarda s’avancer vers elle, qui l’aurait dit, Keiichi avait déjà des problèmes, se n’était pourtant pas son but de s’en attirer, à croire que ça la suivrai à vie. Tout cela, ça lui rappelait son passé, ce qu’elle fuyait et voila qu’on la mettait nez à nez avec se qu’elle pouvait redouter…Retomber. Elle gardait son sang froid. Elle ne voyait pas pourquoi s’énerver. Et puis en y réfléchissant, elle aurait pu faire preuve de plus de délicatesse. Ecoutant la première phrase de la jeune femme, qui raisonna à présent à travers la cours, elle décida de lui répondre, car elle n’était pas tout à fait comme elle le décrivait. Kaori garda son attention sur la personne en face d’elle. Finalement, elle ouvrit la bouche et parvenir quelques sons :
" Non, je suis surtout une personne qu’on ne fréquente pas."
Cette propre remarque venant d’elle-même, lui ramena les pieds sur terre. Elle ne pourrait jamais avoir d’ami, amie. Déjà car elle était peu sociable mais ensuite par son passé, son vécu. Et son avenir. Tout ne serait pas rose, elle le savait et s’y préparait déjà. Il ne fallait pas se leurrer, elle savait ce qu’elle avait à faire et elle le ferrait. Mais seule, sans l’aide de personne. Kaori avait toujours raisonnée ainsi. Et même si elle avait des qualités, au lieu d’avoir autant de défaut. Elle n’aurait pu s’attacher aux personnes qu’elle aurait rencontrées sur son chemin, car avec son statut, elle était en danger, et son entourage aurait pu l’être aussi. Heureusement, elle n’avait pas d’entourage proche, étant seule, toujours seule, personne ne risquerait rien. Elle n’avait que son père pour famille, et si on pouvait appeler ça une famille. Il était…Infâme et encore le mot était faible, si faible, un véritable monstre qu’elle haïssait. A cette pensée, son regard s’illuminait étrangement d’un courroux inconnu aux yeux du monde, aux yeux de ses camarades. Elle cacha immédiatement ses yeux sous sa frange. Elle ne voulait pas qu’on croit, que cela s’adresse à l’une d’entre elle car c’était faux. Non, une seule et unique personne était concernée.
La deuxième jeune fille aux bras dénudés, lui posa une question. Mais elle ne répondit pas de suite, en voyant que l’autre adolescente qui semblait plus timide reconnue cette dernière. Elle fut un peu surprise, mais ne laissa rien paraitre comme à chaque fois. Après tout, tout le monde devait se connaitre ici. Rose…Elle se prénommait alors ainsi. Chikane Hoshi…Rose et qui était la dernière interlocutrice ? Excellente question, qu’elle ne poserait pas. Elle posa une interrogation, du coup Kaori se demandait si elle allait se permettre de les interrompre. Oui, surement, de toute façon, Rose s’adressa à elle avant tout. Elle lui demandait de s’expliquer. Allait-elle vraiment le faire ? Oui. Kaori, regarda la jeune fille intéressée, de son regard bleu. Elle ajouta :
" Excusez moi, je ne voulais pas vous contrariez. "
Elle était sincère. Ce n’était pas son but d’enquiquiner les gens à tour de rôle, elle regarda autour d’elle et constata que les deux personnes se connaissaient bien visiblement. En revanche Chikane restait à l’écart en silence. Kaori ajouta d'une voix neutre et d'un regard vide :
" Ma rencontre pourrait, vous être désavantageuse, je passe mon chemin…"
Favorablement, elle n’avait pas eut de contact singulier, elle n’avait même pas dit son nom et son prénom, chose assez bonne finalement. Ainsi elle ne créait pas de lien. Ce n’était pas pour leur porter préjudice. C’était juste comme ça…Oui comme ça. Kaori remarquant que la tension s’estompait, l’atmosphère se détendant, elle se permit de partir. Elle s’inclina respectueusement pour leur dire au revoir. La jeune fille partit donc en direction des grandes portes. Avec un peu de chance l’incident serait oublié et qu’elle pourrait disposer tranquillement. Elle fit quelques pas, ses cheveux toujours balayés, lui donnait une allure élégante…
Edit de Yuuki: en réalité, j'ai jamais suivit l'ordre ^^" si tu voyais le topic de Rose, Chiharu, Nami et moi, tu va comprendre.
[ HS : x'D D'accord avec Yuuki ! Mais bon,si tu veux faire un
ordre,OK.Mais comme je l'ai déja expliqué dans le topic sus-dit,je
préfère pouvoir posté quand j'en ai envie =3]
Re-édit de Yuuki: et si on discutait de ça dans le bon topic? ^^" en gros ici
merci ^^
[ Edit² => Le truc, c'est que je sais jamais quand poster >< Et même, parfois j'ai pas d'inspi' alors le temps d'écrire c'est long...Parfois très long. Mais si vous préfèrez sans ordre, je m'adapte. Alors je poste se soir ma réponse ^^ ]
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Une autre jeune fille arriva alors qu’elle était déjà en route pour repartir. Maintenant à quatre, Kaori n’avait pas l’habitude d’être en compagnie d’autant de personne qu’elle n’avait pas sollicitée. Elle se dit qu’elle aurait du passer son chemin dès le début, au moins, elle n’en aurait pas été là. Mais elle s’arrêta et se retourna en entendant qu’on s’adressa à elle. Que lui voulait-on ? Elle n’avait rien demandé, elle voulait juste être tranquille pour pouvoir s’adapter et découvrir les lieux. Elle était solitaire de nature ce n’était pas de sa faute, elle avait, oui, certes, un caractère spécial et une attitude particulière. Elle passa une main dans ses cheveux et replaça une mèche de sa chevelure sombre du bout de ses doigts. Son regard se posa sur la nouvelle étudiante qui venait d’arrivée. Elle était un peu plus jeune, mais devait être affecté ici elle aussi. Oui en plus, elle aussi portait l’uniforme, cette même jupe, chemisette et veste. Kaori referma d’ailleurs un bouton de sa veste, le vent soufflait de plus en plus fort, cela restait raisonnable, mais elle ne valait pas prendre froid et tomber malade, on ne sait jamais. C’est toujours quand on s’y attend le moins que ça tombe.
La jeune fille au carré était visiblement différente, plus qu’elle ne l’aurait cru. Elle la regarda s’avancer vers elle, qui l’aurait dit, Keiichi avait déjà des problèmes, se n’était pourtant pas son but de s’en attirer, à croire que ça la suivrai à vie. Tout cela, ça lui rappelait son passé, ce qu’elle fuyait et voila qu’on la mettait nez à nez avec se qu’elle pouvait redouter…Retomber. Elle gardait son sang froid. Elle ne voyait pas pourquoi s’énerver. Et puis en y réfléchissant, elle aurait pu faire preuve de plus de délicatesse. Ecoutant la première phrase de la jeune femme, qui raisonna à présent à travers la cours, elle décida de lui répondre, car elle n’était pas tout à fait comme elle le décrivait. Kaori garda son attention sur la personne en face d’elle. Finalement, elle ouvrit la bouche et parvenir quelques sons :
" Non, je suis surtout une personne qu’on ne fréquente pas."
Cette propre remarque venant d’elle-même, lui ramena les pieds sur terre. Elle ne pourrait jamais avoir d’ami, amie. Déjà car elle était peu sociable mais ensuite par son passé, son vécu. Et son avenir. Tout ne serait pas rose, elle le savait et s’y préparait déjà. Il ne fallait pas se leurrer, elle savait ce qu’elle avait à faire et elle le ferrait. Mais seule, sans l’aide de personne. Kaori avait toujours raisonnée ainsi. Et même si elle avait des qualités, au lieu d’avoir autant de défaut. Elle n’aurait pu s’attacher aux personnes qu’elle aurait rencontrées sur son chemin, car avec son statut, elle était en danger, et son entourage aurait pu l’être aussi. Heureusement, elle n’avait pas d’entourage proche, étant seule, toujours seule, personne ne risquerait rien. Elle n’avait que son père pour famille, et si on pouvait appeler ça une famille. Il était…Infâme et encore le mot était faible, si faible, un véritable monstre qu’elle haïssait. A cette pensée, son regard s’illuminait étrangement d’un courroux inconnu aux yeux du monde, aux yeux de ses camarades. Elle cacha immédiatement ses yeux sous sa frange. Elle ne voulait pas qu’on croit, que cela s’adresse à l’une d’entre elle car c’était faux. Non, une seule et unique personne était concernée.
La deuxième jeune fille aux bras dénudés, lui posa une question. Mais elle ne répondit pas de suite, en voyant que l’autre adolescente qui semblait plus timide reconnue cette dernière. Elle fut un peu surprise, mais ne laissa rien paraitre comme à chaque fois. Après tout, tout le monde devait se connaitre ici. Rose…Elle se prénommait alors ainsi. Chikane Hoshi…Rose et qui était la dernière interlocutrice ? Excellente question, qu’elle ne poserait pas. Elle posa une interrogation, du coup Kaori se demandait si elle allait se permettre de les interrompre. Oui, surement, de toute façon, Rose s’adressa à elle avant tout. Elle lui demandait de s’expliquer. Allait-elle vraiment le faire ? Oui. Kaori, regarda la jeune fille intéressée, de son regard bleu. Elle ajouta :
" Excusez moi, je ne voulais pas vous contrariez. "
Elle était sincère. Ce n’était pas son but d’enquiquiner les gens à tour de rôle, elle regarda autour d’elle et constata que les deux personnes se connaissaient bien visiblement. En revanche Chikane restait à l’écart en silence. Kaori ajouta d'une voix neutre et d'un regard vide :
" Ma rencontre pourrait, vous être désavantageuse, je passe mon chemin…"
Favorablement, elle n’avait pas eut de contact singulier, elle n’avait même pas dit son nom et son prénom, chose assez bonne finalement. Ainsi elle ne créait pas de lien. Ce n’était pas pour leur porter préjudice. C’était juste comme ça…Oui comme ça. Kaori remarquant que la tension s’estompait, l’atmosphère se détendant, elle se permit de partir. Elle s’inclina respectueusement pour leur dire au revoir. La jeune fille partit donc en direction des grandes portes. Avec un peu de chance l’incident serait oublié et qu’elle pourrait disposer tranquillement. Elle fit quelques pas, ses cheveux toujours balayés, lui donnait une allure élégante…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[Désolée si c'est court, je dois me dépêcher avant que ma mère rentre et j'avais trop envie de poster ><]
The Rose fit quelques larges pas pour rattraper la fille aux yeux bleus,et l'arrêta en lui plantant ses ongles dans les omoplates.D'un mouvement,elle lui fit lui faire face et dans un geste magistral elle lui assena une gifle mémorable.Elle eut une pensée pour Yuuki - c'était la première fois qu'elle se montrait violente devant elle.Son regard dur se posa sur la fille,et,rendue agressive par sa nature, elle s'exclama,au comble de l'exaspération :
-Je m'en fiche comme de l'an quarante ! Et moi,qu'est-ce que je suis,alors ? Je suis la tueuse en série dont tout le monde parle ! Je ne suis même pas "humaine" ! Et alors,qu'est-ce que j'en ai à battre ?! Bat-toi,merde !
Elle avait toujours eu naturellement ce franc-parler et ces manières de voyous.Et elle se contrefichait d'avoir dit son secret - qui n'en était plus un - , de toutes façons,tout le monde pouvait voir à présent la blancheur de ses yeux et de son teint.Elle leva ces mêmes yeux aux ciel.Le sang battait à ses tempes,à l'instar de ses cheveux de neige qui lui fouettaient le visage.Le vent se levait.
Dans le silence que seul rompait le mugissement venteux et les craquements de branches de cerisiers qui bordaient la route,au-delà du portail,la pression monta d'un cran.The Rose ne s'en rendit pas compte,frustrée par cette fille aussi mystérieuse qu'elle - enfin,avant qu'elle ne déballe tout.
[...]
The Rose fit quelques larges pas pour rattraper la fille aux yeux bleus,et l'arrêta en lui plantant ses ongles dans les omoplates.D'un mouvement,elle lui fit lui faire face et dans un geste magistral elle lui assena une gifle mémorable.Elle eut une pensée pour Yuuki - c'était la première fois qu'elle se montrait violente devant elle.Son regard dur se posa sur la fille,et,rendue agressive par sa nature, elle s'exclama,au comble de l'exaspération :
-Je m'en fiche comme de l'an quarante ! Et moi,qu'est-ce que je suis,alors ? Je suis la tueuse en série dont tout le monde parle ! Je ne suis même pas "humaine" ! Et alors,qu'est-ce que j'en ai à battre ?! Bat-toi,merde !
Elle avait toujours eu naturellement ce franc-parler et ces manières de voyous.Et elle se contrefichait d'avoir dit son secret - qui n'en était plus un - , de toutes façons,tout le monde pouvait voir à présent la blancheur de ses yeux et de son teint.Elle leva ces mêmes yeux aux ciel.Le sang battait à ses tempes,à l'instar de ses cheveux de neige qui lui fouettaient le visage.Le vent se levait.
Dans le silence que seul rompait le mugissement venteux et les craquements de branches de cerisiers qui bordaient la route,au-delà du portail,la pression monta d'un cran.The Rose ne s'en rendit pas compte,frustrée par cette fille aussi mystérieuse qu'elle - enfin,avant qu'elle ne déballe tout.
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The Rose- Nombre de messages : 340
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
En entendant les mots de Rose te de l'autre fille, Yuuki tremblait. Elle agrippa encore plus sa jupe -ça allait faire pas mal de plis...- et sentit ses larmes monter. Rose n'était pas comme ça, elle en était sûr. Mes en repensant encore une fois à ces mots...
*-Je m'en fiche comme de l'an quarante ! Et moi,qu'est-ce que je suis,alors ? Je suis la tueuse en série dont tout le monde parle ! Je ne suis même pas "humaine" ! Et alors,qu'est-ce que j'en ai à battre ?! Bat-toi,merde !*
Rose n'était pas comme elle l'avait déjà vu au parc. C'était bizarre et dangereux. Crée ainsi une amitié sans vraiment connaitre la personne était dangereux. Yuuki avait peur, elle se recula un peu. C'était un danger. Elle ne partit cependant pas. Elle ne voulait pas passer pour une fille qui choisit ses amies en fonction de si c'était ou non une tueuse en série. Elle voulait effacer cette Rose si violente dans sa tête et ça marchait. Yuuki avança donc vers son maie et lui attrapa une manche de son T-shirt.
-"Comment vas-tu Rose?"
Il était hors de question qu'elle s'en aille maintenant.
*-Je m'en fiche comme de l'an quarante ! Et moi,qu'est-ce que je suis,alors ? Je suis la tueuse en série dont tout le monde parle ! Je ne suis même pas "humaine" ! Et alors,qu'est-ce que j'en ai à battre ?! Bat-toi,merde !*
Rose n'était pas comme elle l'avait déjà vu au parc. C'était bizarre et dangereux. Crée ainsi une amitié sans vraiment connaitre la personne était dangereux. Yuuki avait peur, elle se recula un peu. C'était un danger. Elle ne partit cependant pas. Elle ne voulait pas passer pour une fille qui choisit ses amies en fonction de si c'était ou non une tueuse en série. Elle voulait effacer cette Rose si violente dans sa tête et ça marchait. Yuuki avança donc vers son maie et lui attrapa une manche de son T-shirt.
-"Comment vas-tu Rose?"
Il était hors de question qu'elle s'en aille maintenant.
Dernière édition par Yuuki Kuran le Mar 23 Juin - 22:35, édité 1 fois
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[Euuuh...Yuuki...J'ai pas de pull,c'est marqué plusieurs fois que j'ai les bras dénudés x'D ^^']
Stupéfaite,The Rose osa enfin regarder Yuuki dans les yeux.
-Je...Je vais bien.
Elle ne savait que dire.Dans un même temps,elle était heureuse que sa petite protégée n'aie pas peur d'elle,et dans un autre,elle se demandait si elle comprenait réellement qui elle était.Jugeant bon de ne rien dire de plus,elle laissa couler la situation.Elle savait que Yuuki faisait des efforts considérables pour aller de l'avant,même si pour ça elle se cachait la vérité à elle-même.L'insolente dont elle tenaillait toujours l'épaule n'avait pas encore dit mot,et THe Rose dut se contenir comme elle put de ne pas être encore plus violente.Elle n'avait jamais vraiment caché sa nature - sauf quand une vague de meurtres ressurgissait -,et Yuuki l'avait surprise dans un de ces moments où elle se lachait,où elle se laissait aller jusqu'au point de révéler sa vraie personnalité.Elle s'avoua à elle-même avoir un peu peur de ce qu'il adviendrait de ce passage délicat.
[...]
Stupéfaite,The Rose osa enfin regarder Yuuki dans les yeux.
-Je...Je vais bien.
Elle ne savait que dire.Dans un même temps,elle était heureuse que sa petite protégée n'aie pas peur d'elle,et dans un autre,elle se demandait si elle comprenait réellement qui elle était.Jugeant bon de ne rien dire de plus,elle laissa couler la situation.Elle savait que Yuuki faisait des efforts considérables pour aller de l'avant,même si pour ça elle se cachait la vérité à elle-même.L'insolente dont elle tenaillait toujours l'épaule n'avait pas encore dit mot,et THe Rose dut se contenir comme elle put de ne pas être encore plus violente.Elle n'avait jamais vraiment caché sa nature - sauf quand une vague de meurtres ressurgissait -,et Yuuki l'avait surprise dans un de ces moments où elle se lachait,où elle se laissait aller jusqu'au point de révéler sa vraie personnalité.Elle s'avoua à elle-même avoir un peu peur de ce qu'il adviendrait de ce passage délicat.
[...]
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
[ Je rep demain, j'éditerais. Désolé pour le retard, c'est que j'ai des exam's T_T ]
Kaori sentit une impression désagréable dans l’épaule. En effet, les ongles de la jeune femme au carré se plantaient dans son omoplate, passant outre sa veste noire. Elles se retrouvaient alors face à face. Sans esquiver le mouvement qui était pourtant prévisible vu son élan pour provoquer un tel impact, la jeune fille laissa sa joue se coloré quelques secondes d’un rouge sanglant avant de passer une main dessus, effleurant du doigt des doigts la zone giflée. Pas de chance pour son interlocutrice, la lésion s’estompait rapidement, sa peau retrouvant sa blancheur d’habitude, son visage restait toujours de marbre. Les yeux rivés sur celle qui avait osée porter la main sur elle, elle n’était pas censée savoir que des coups, Kaori s’en était prit et tellement qu’aujourd’hui, la douleur même physique n’avait pu les mêmes proportions, elle ne sentait quasiment plus rien, son souvent meurtrit s’y était fait, si bien que maintenant il en fallait beaucoup pour qu’elle ait réellement mal à en souffrir. Elle devait cette aptitude à son père, mais elle ne le remerciait guère. Mais prise par sa nature, et ses démons, elle sentait en elle cette sensation de violence qui montait petit à petit.
Son visage n’exprimait rien, ses yeux vides, les muscles de ses jambes se crispèrent alors. L’une restait à sa place, comme pilier, immobile, l’autre semblait se décaler dans un parfait arc, l’une derrière l’autre maintenant, rien ne l’empêchait de balancer sa jambe avec assez d’élan pour se libérer de son emprise et lui donner un coup imparable et blessant. C’est ça, qu’elle avait apprit dans la rue, avec tous ses autres, depuis son enfance, se battre comme un garçon avec ardeur et brutalité, et même de la cruauté. Elle ferma les yeux et…relâcha se qu’elle allait entreprendre. Ou avait-elle la tête. Elle ne devait pas, se servir de ça, de ses capacités. Sinon elle serait retombée, et ça non, plutôt mourir. Kaori ne devait plus mettre en œuvre ce que son père lui avait tant enseigné. Et puis ce n’était peut être pas la meilleure des solutions. Elle détourna la tête en direction de l’autre fille avant d’entendre les paroles de celle qui lui tenaillait l’épaule. Elle écouta attentivement ce qu’elle disait, ne laissant rien paraitre au fil des mots, non pas forcement surprise, elle réfléchissait un instant. Elle ne savait pas qu’une tueuse était dans la nature, elle n’en avait jamais entendu parler mais bon, elle venait d’arriver ici aussi. Puis Rose continua, elle n’était pas humaine ? Il lui semblait pourtant que si.
Surtout quand, l’autre fille qui semblait plus timide, plus frêle venue à elle, et lui posa une question, si ça allait. Après un court échange entre ses deux personnes et une réponse positive, elle en conclut qu’elles étaient visiblement amies, si non, elles étaient assez proches pour se soucier l’une de l’autre. Kaori se libéra alors, d’un geste inattendu et brusque. Elle n’avait pas peur, elle avait peut être une tueuse pour adversaire potentiel, mais elle n’était pas une sainte non plus. Oh ça non, malheureusement son âme était loin d’être innocente et pure. Elle répondit à la provocation posée un peu avant ce bref moment, sur un ton particulière neutre :
" Qui vous dit que je ne suis pas pire ? "
Ne jamais sous estimer une personne. Un nouveau silence s’installa entre les protagonistes, tandis que les regards s’entrecroisaient.
" Je ne me battrai pas contre vous. "
Elle marqua sa phrase pour une pause, observant la personne derrière elle qui tenait son tee-shirt. Puis elle ajouta avec une voix un peu plus énigmatique :
" Libre à vous de me ruez de coups, si vous le désirez vraiment…Mais c’est une chose qui vous sera amené à regretter."
Pour une première journée, elle faisait fort. Arrivée pour le moins fracassante. Kaori se demandait si cela serait toujours ainsi. A peine entrée dans son établissement, elle avait déjà une embrouille. C’était fort quand même. Elle se tût alors, revenant à ses pensées, cette fois ci, elle resta à sa place, fixant les deux personnes. Elle attendait de voir la tournure des événements, leur suite. De toute manière, elle n’était pas du genre à partir en courant. La jeune fille sentait que son séjour ici n’allait pas être de tout repos, surtout si ça continuait comme ça. Mais c’était ainsi, c’était sa nature, elle ne pourrait changer du jour au lendemain et elle n’avait pas vraiment envie de changer radicalement. Elle replaça sans un mot une mèche de ses cheveux que le vent balayait et elle patienta, perdue dans un raisonnement bien à elle…
[ Edit : Désolé, c'est un peu plus court que d'habitude, j'espère que ça ira >_> ]
Kaori sentit une impression désagréable dans l’épaule. En effet, les ongles de la jeune femme au carré se plantaient dans son omoplate, passant outre sa veste noire. Elles se retrouvaient alors face à face. Sans esquiver le mouvement qui était pourtant prévisible vu son élan pour provoquer un tel impact, la jeune fille laissa sa joue se coloré quelques secondes d’un rouge sanglant avant de passer une main dessus, effleurant du doigt des doigts la zone giflée. Pas de chance pour son interlocutrice, la lésion s’estompait rapidement, sa peau retrouvant sa blancheur d’habitude, son visage restait toujours de marbre. Les yeux rivés sur celle qui avait osée porter la main sur elle, elle n’était pas censée savoir que des coups, Kaori s’en était prit et tellement qu’aujourd’hui, la douleur même physique n’avait pu les mêmes proportions, elle ne sentait quasiment plus rien, son souvent meurtrit s’y était fait, si bien que maintenant il en fallait beaucoup pour qu’elle ait réellement mal à en souffrir. Elle devait cette aptitude à son père, mais elle ne le remerciait guère. Mais prise par sa nature, et ses démons, elle sentait en elle cette sensation de violence qui montait petit à petit.
Son visage n’exprimait rien, ses yeux vides, les muscles de ses jambes se crispèrent alors. L’une restait à sa place, comme pilier, immobile, l’autre semblait se décaler dans un parfait arc, l’une derrière l’autre maintenant, rien ne l’empêchait de balancer sa jambe avec assez d’élan pour se libérer de son emprise et lui donner un coup imparable et blessant. C’est ça, qu’elle avait apprit dans la rue, avec tous ses autres, depuis son enfance, se battre comme un garçon avec ardeur et brutalité, et même de la cruauté. Elle ferma les yeux et…relâcha se qu’elle allait entreprendre. Ou avait-elle la tête. Elle ne devait pas, se servir de ça, de ses capacités. Sinon elle serait retombée, et ça non, plutôt mourir. Kaori ne devait plus mettre en œuvre ce que son père lui avait tant enseigné. Et puis ce n’était peut être pas la meilleure des solutions. Elle détourna la tête en direction de l’autre fille avant d’entendre les paroles de celle qui lui tenaillait l’épaule. Elle écouta attentivement ce qu’elle disait, ne laissant rien paraitre au fil des mots, non pas forcement surprise, elle réfléchissait un instant. Elle ne savait pas qu’une tueuse était dans la nature, elle n’en avait jamais entendu parler mais bon, elle venait d’arriver ici aussi. Puis Rose continua, elle n’était pas humaine ? Il lui semblait pourtant que si.
Surtout quand, l’autre fille qui semblait plus timide, plus frêle venue à elle, et lui posa une question, si ça allait. Après un court échange entre ses deux personnes et une réponse positive, elle en conclut qu’elles étaient visiblement amies, si non, elles étaient assez proches pour se soucier l’une de l’autre. Kaori se libéra alors, d’un geste inattendu et brusque. Elle n’avait pas peur, elle avait peut être une tueuse pour adversaire potentiel, mais elle n’était pas une sainte non plus. Oh ça non, malheureusement son âme était loin d’être innocente et pure. Elle répondit à la provocation posée un peu avant ce bref moment, sur un ton particulière neutre :
" Qui vous dit que je ne suis pas pire ? "
Ne jamais sous estimer une personne. Un nouveau silence s’installa entre les protagonistes, tandis que les regards s’entrecroisaient.
" Je ne me battrai pas contre vous. "
Elle marqua sa phrase pour une pause, observant la personne derrière elle qui tenait son tee-shirt. Puis elle ajouta avec une voix un peu plus énigmatique :
" Libre à vous de me ruez de coups, si vous le désirez vraiment…Mais c’est une chose qui vous sera amené à regretter."
Pour une première journée, elle faisait fort. Arrivée pour le moins fracassante. Kaori se demandait si cela serait toujours ainsi. A peine entrée dans son établissement, elle avait déjà une embrouille. C’était fort quand même. Elle se tût alors, revenant à ses pensées, cette fois ci, elle resta à sa place, fixant les deux personnes. Elle attendait de voir la tournure des événements, leur suite. De toute manière, elle n’était pas du genre à partir en courant. La jeune fille sentait que son séjour ici n’allait pas être de tout repos, surtout si ça continuait comme ça. Mais c’était ainsi, c’était sa nature, elle ne pourrait changer du jour au lendemain et elle n’avait pas vraiment envie de changer radicalement. Elle replaça sans un mot une mèche de ses cheveux que le vent balayait et elle patienta, perdue dans un raisonnement bien à elle…
[ Edit : Désolé, c'est un peu plus court que d'habitude, j'espère que ça ira >_> ]
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
Décidément, cette année risquait d'être pleine de rebondissement, entre sa rencontre avec la belle jeune fille aux cheveux nuit qui semblait froide, distante et avec un sacré tempérament. Et l'autre jeune fille aux cheveux argentés qui semblait devenir très violente dans certaines circonstances et son amie étant une jeune fille ayant un caractère totalement opposée au sien. Mais bon, cela ne la dérangeai pas, elle se décida tout de même a leur dire bonjour, malgré ce qui s'était passée, ce n'était pas une raison pour ne pas être polie.
-Bonjour
Elle continua de regarder la scène un peu comme spectateur, à vrai dire elle avait l'impression d'être de trop et elle ne supportait pas sa. Mais elle se décida à prendre son mal en patience, car elle était curieuse de savoir ce qui allait se passer, bien qu'elle ne laissait paraitre aucune émotion qui pourrai la trahir.
-Bonjour
Elle continua de regarder la scène un peu comme spectateur, à vrai dire elle avait l'impression d'être de trop et elle ne supportait pas sa. Mais elle se décida à prendre son mal en patience, car elle était curieuse de savoir ce qui allait se passer, bien qu'elle ne laissait paraitre aucune émotion qui pourrai la trahir.
Chikane Hoshi- Nombre de messages : 95
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Re: Le phénomène Keiichi. [ Chikane Hoshi, The Rose…Et libre encore pour ceux qui veulent ^^'…]
Yuuki ne savait plus où donner de la tête. Elle ne connaissait pas Rose comme ça...Elle regarda donc cette dernière et une autre fille aux cheveux noir se "battre". Elle n'avait pas peur mais son intérieur lui disait de fuir. Mais Yuuki ne voulait pas. Elle ne voulait pas que Rose se fasse mal. Mais l'autre fille aux yeux bleu nuit fit un léger bonjour. A ce demander si les filles l'avaient bien entendu...Mais Yuuki lui renvoya par politesse:
-"B-Bonjour..."
Ca na s'arrangeait toujours pas. Il fallait toujours qu'elle soit comme ça. Elle ne quittait toujours pas des yeux son amie qui n'avait l'air d'humeur...Et son adversaire la menaçait...Yuuki tremblait un peu. Elle n'était pas habituée aux menaces, encore moins à la violence...Son petit monde protégée par son être, son petit monde tranquille...elle avait tout quitter pour se retrouver à cette endroit avec pour seul protection son corps. Certes, elle était entraîner pour l'auto-défense mais elle ne s'était jamais essayer à ce battre pour de vrai! Pour la réalité! D'un autre point de vue, ce n'"était pas elle qui allait prendre des coups, c'était Rose. Mais c'était pareil. Rose était une des ses rares amies, elle ne voulait pas la perdre.
-"R-Rose...arrête..." chuchota-t-elle.
-"B-Bonjour..."
Ca na s'arrangeait toujours pas. Il fallait toujours qu'elle soit comme ça. Elle ne quittait toujours pas des yeux son amie qui n'avait l'air d'humeur...Et son adversaire la menaçait...Yuuki tremblait un peu. Elle n'était pas habituée aux menaces, encore moins à la violence...Son petit monde protégée par son être, son petit monde tranquille...elle avait tout quitter pour se retrouver à cette endroit avec pour seul protection son corps. Certes, elle était entraîner pour l'auto-défense mais elle ne s'était jamais essayer à ce battre pour de vrai! Pour la réalité! D'un autre point de vue, ce n'"était pas elle qui allait prendre des coups, c'était Rose. Mais c'était pareil. Rose était une des ses rares amies, elle ne voulait pas la perdre.
-"R-Rose...arrête..." chuchota-t-elle.
Yuuki Kuran- Nombre de messages : 1745
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