Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
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Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
La plage, par un soir. Non, elle n’était point là pour s’y baigner. On distinguait d’ailleurs près d’elle une ombre. Qui l’accompagnait forcement. Toutes les deux debout, l’une en face de l’autre. Une féminine, l’autre masculine. Il n’était pas très tard, mais assez pour que la nuit tombe sur eux. De son long manteau sombre scintillant, les étoiles étaient belles se soir-ci, et la lune pleine était leur seule et unique source de luminosité. La pénombre les entourant quelque peu, ce n’était pas plus mal, qu’on ne puisse les voir que de près. La plage, de sa grande étendue de sable, semblait vide de toute vie. Même eux étaient immobiles. Jusqu’à un moment où la demoiselle croisa les bras et fixa longuement l’homme en face d’elle. Un grand silence, qui perdurait encore et toujours. Pas un mot, son regard droit ne quittait son ami qui soutenait par ses yeux sombres les siens. Aucun n’allait faiblir. Forcement. Sans prévenir, Mamoru s’approchait donc de Kaori et non le contraire. Jamais, elle n’aurait pu faire le premier pas. Et il le savait pertinemment. D’où son attrait à s’avancer vers elle. Regardant un instant les alentours, il venait alors près d’elle, lui dire ses quelques mots :
" Allons Keiichi, nous reprenons. "
Reprendre ? Ah mais oui. Vous devez vous demandez ce que ses deux enfants de la mafia font sur une plage déserte ? Non, ils ne se querellaient pas, ils ne battaient pas, aucune arme était sortie. Ils ne s’entrainaient pas non plus. Alors que faisaient-ils hein ? Il arrêta son poignet et posa sa main sur l’une de ses hanches, glissant ensuite, lui tenant ferment le bas du dos. Ses cheveux attachés dans une queue de cheval haute volaient sous le geste. La demoiselle Keiichi, fixant ses yeux obscurs, posa doucement sa main sur son épaule et joignait ses doigts entre les siens. Il remonta son emprise à hauteur de ses omoplates et la contemplait. La position ne vous dit-elle rien ? Une valse…Oui. Elle apprenait à danser avec lui. Par pour le plaisir, par devoir. Ils seraient bientôt de prescription, et ils se préparaient dans leurs rôles respectifs. Il la guidait lentement, d’un air neutre sur leurs deux visages, l’un comme l’autre ne pouvait que savourer ce moment qu’à l’intérieur. Impossible d’extérioriser un quelque conque sentiment. Si ce n’est que Mamoru le pouvait, plus que Kaori, il laissait alors dans un tour un sourire lui échapper.
Elle stoppa tout mouvement et l’observant longuement, elle le remerciait. Un soir prochain, elle ne serait plus Kaori Keiichi, elle porterait probablement un accoutrement pour cacher sa véritable identité, et elle irait accomplir sa rédemption envers lui. La jeune femme n’avait pas encore tous les détails, elle savait juste qu’il s’agissait d’un bal et qu’elle devrait y danser. On ne lui avait jamais appris, à quoi ça aurait pu lui servir dans la rue ? A rien. Pour son père de toute façon, tout ce qui n’avait de rapport avec son univers était inutile. Il lui avouait, lui laisser un dossier dans l’appartement dans le courant de la semaine avec ce qui était nécessaire au bon déroulement. Kaori s’assoyait alors dans le sable et levait la tête au ciel. Il resta proche d’elle, et s’agenouilla. Elle tournait la tête en sa direction, quand il parla de nouveau, d’un sujet particulièrement sensible, il savait ce qu’il risquait, mais il avait semble t-il déjà pesé le pour et le contre, et le jeune homme lui dit, brisant la quiétude qui reconquérait le paysage :
" Elle adorait cet éclat de la lune. "
Elle…Madeleine, sa mère. De temps à autre, il essayait d’apporter la conversation sur celle-ci. Mais elle refusait catégoriquement d’en discuter, elle restait de marbre, et détournait le regard. Pas pour aujourd’hui une fois de plus. Elle n’était plus là de toute façon. A quoi bon en parler. Kaori posait alors sa tête sur son torse. Avant de se rendre compte de son geste. Qui les avait surpris l’un comme l’autre. Elle se remit correctement, se releva, lui tendit la main pour l’aider. Ils se séparaient alors, il rentrait au bar, elle allait vaquer dehors encore un peu de temps, comme ça, avant de regagner sa demeure. Mamoru la quittait et il s’enfonçait lentement dans les ténèbres devant son regard troublé, elle restait là, sans rien faire, sans rien dire. Il était loin maintenant. Et l’adolescente soupirait longuement, avant de rejoindre, un muret qui guidait un sentier le long de la plage. Elle monta dessus et scrutait au loin les lumières de la ville. Un vent balayait alors ses longs cheveux bleutés, sa frange se soulevant légèrement. Kaori semblait différente par moment, oui, vraiment, elle n’aurait su l’expliquer. La preuve encore, avec ce qui c'était passé quelques minutes auparavant. Un simple contact...
* Est-ce une bonne chose ? *
Elle parlait bien sur, de ses changements. Elle changeait s’était obligé, de façon spontanée et imprévisible, par moment, elle ne se reconnaissait plus. Comme si quelque chose, une tierce force exerçait son influence petit à petit sur elle. Quelque chose de nouveau, qui allait s’abattre vraiment un jour sur sa personne, impuissante, elle ne pourrait rien contre ça et le pressentait déjà. Il ne restait plus qu’à identifier sa plausible menace. Kaori avait observé longuement ce monde qui l’entourait et certaines choses restaient sans explication, notamment dans l’académie Seiyo, et l’Easter, hm, cela avait peut être un lien. Mais un bruit la sortit de ses songes. Elle se tourna et de ses yeux ocres vivaces, elle se concentrait, elle n’avait guère à craindre, après tout, quand on savait ce qu’elle était…Restant silencieuse, elle se doutait que ça aurait pu être n’importe quoi, n’importe qui…
" Allons Keiichi, nous reprenons. "
Reprendre ? Ah mais oui. Vous devez vous demandez ce que ses deux enfants de la mafia font sur une plage déserte ? Non, ils ne se querellaient pas, ils ne battaient pas, aucune arme était sortie. Ils ne s’entrainaient pas non plus. Alors que faisaient-ils hein ? Il arrêta son poignet et posa sa main sur l’une de ses hanches, glissant ensuite, lui tenant ferment le bas du dos. Ses cheveux attachés dans une queue de cheval haute volaient sous le geste. La demoiselle Keiichi, fixant ses yeux obscurs, posa doucement sa main sur son épaule et joignait ses doigts entre les siens. Il remonta son emprise à hauteur de ses omoplates et la contemplait. La position ne vous dit-elle rien ? Une valse…Oui. Elle apprenait à danser avec lui. Par pour le plaisir, par devoir. Ils seraient bientôt de prescription, et ils se préparaient dans leurs rôles respectifs. Il la guidait lentement, d’un air neutre sur leurs deux visages, l’un comme l’autre ne pouvait que savourer ce moment qu’à l’intérieur. Impossible d’extérioriser un quelque conque sentiment. Si ce n’est que Mamoru le pouvait, plus que Kaori, il laissait alors dans un tour un sourire lui échapper.
Elle stoppa tout mouvement et l’observant longuement, elle le remerciait. Un soir prochain, elle ne serait plus Kaori Keiichi, elle porterait probablement un accoutrement pour cacher sa véritable identité, et elle irait accomplir sa rédemption envers lui. La jeune femme n’avait pas encore tous les détails, elle savait juste qu’il s’agissait d’un bal et qu’elle devrait y danser. On ne lui avait jamais appris, à quoi ça aurait pu lui servir dans la rue ? A rien. Pour son père de toute façon, tout ce qui n’avait de rapport avec son univers était inutile. Il lui avouait, lui laisser un dossier dans l’appartement dans le courant de la semaine avec ce qui était nécessaire au bon déroulement. Kaori s’assoyait alors dans le sable et levait la tête au ciel. Il resta proche d’elle, et s’agenouilla. Elle tournait la tête en sa direction, quand il parla de nouveau, d’un sujet particulièrement sensible, il savait ce qu’il risquait, mais il avait semble t-il déjà pesé le pour et le contre, et le jeune homme lui dit, brisant la quiétude qui reconquérait le paysage :
" Elle adorait cet éclat de la lune. "
Elle…Madeleine, sa mère. De temps à autre, il essayait d’apporter la conversation sur celle-ci. Mais elle refusait catégoriquement d’en discuter, elle restait de marbre, et détournait le regard. Pas pour aujourd’hui une fois de plus. Elle n’était plus là de toute façon. A quoi bon en parler. Kaori posait alors sa tête sur son torse. Avant de se rendre compte de son geste. Qui les avait surpris l’un comme l’autre. Elle se remit correctement, se releva, lui tendit la main pour l’aider. Ils se séparaient alors, il rentrait au bar, elle allait vaquer dehors encore un peu de temps, comme ça, avant de regagner sa demeure. Mamoru la quittait et il s’enfonçait lentement dans les ténèbres devant son regard troublé, elle restait là, sans rien faire, sans rien dire. Il était loin maintenant. Et l’adolescente soupirait longuement, avant de rejoindre, un muret qui guidait un sentier le long de la plage. Elle monta dessus et scrutait au loin les lumières de la ville. Un vent balayait alors ses longs cheveux bleutés, sa frange se soulevant légèrement. Kaori semblait différente par moment, oui, vraiment, elle n’aurait su l’expliquer. La preuve encore, avec ce qui c'était passé quelques minutes auparavant. Un simple contact...
* Est-ce une bonne chose ? *
Elle parlait bien sur, de ses changements. Elle changeait s’était obligé, de façon spontanée et imprévisible, par moment, elle ne se reconnaissait plus. Comme si quelque chose, une tierce force exerçait son influence petit à petit sur elle. Quelque chose de nouveau, qui allait s’abattre vraiment un jour sur sa personne, impuissante, elle ne pourrait rien contre ça et le pressentait déjà. Il ne restait plus qu’à identifier sa plausible menace. Kaori avait observé longuement ce monde qui l’entourait et certaines choses restaient sans explication, notamment dans l’académie Seiyo, et l’Easter, hm, cela avait peut être un lien. Mais un bruit la sortit de ses songes. Elle se tourna et de ses yeux ocres vivaces, elle se concentrait, elle n’avait guère à craindre, après tout, quand on savait ce qu’elle était…Restant silencieuse, elle se doutait que ça aurait pu être n’importe quoi, n’importe qui…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
Age : 31
Date d'inscription : 14/06/2009
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[J'adore ta façon d'écrire, c'est tellement classe ...]
Toute la journée, Misaki avait fait son ... boulot on va dire ... En réalité, elle avait suivi plusieurs personnes et elle avait noté toutes les informations récoltées sur celles-ci durant ce jour trop long ...
La nuit tombait ... Une fois son espionnage qui était toujours trop long terminé, la jeune fille se lassait aller au gré du vent ... Elle allait un coup dans la rue latérale, un coup sur le toit d'un des immeubles de la ville. Ce vent qui était plutôt frais et fort agréable finit par l'emmener étrangement à l'école Seiyô. Cette prison remplie de livres et de bureaux plus ou moins grands ... Elle explora, de nuit, l'école qui avait une allure très différent de son allure diurne. On aurait dit une sorte de maison hantée par des spectres s'évadant des pensées des jeunes enfermés à cet endroit à longueur de journée ... Plusieurs fois il sembla à la chanteuse entendre une porte qui se claquait ou une fenêtre dont les volêts grinçaient effrayament. Cette école ... était hantée ... Mais, étrangement, ça n'effrayait pas le moins du monde la jeune et courageuse collégienne. Elle déambulait dans lse couloirs, ouvrait chaque porte à peu près fermée et finit par se retrouver sur le toit de ce grand batiment qui était tel une prison hantée par des spectres sanglants de prisonniers qui auraient fini leur vie à cet endroit ... Mais, ça ne pouvait pas être que l'imagination de la jeune fille ... Non, c'était impossible, elle avait carrément vu un bureau bouger sous ses yeux ... Alors, qu'était-ce vraiment ? De vrais fantômes ? Misaki n'y croyait pas trop ... Elle préféra retourner en ville mais, pas dans la rue un peu trop éclairée mais sur les toits des immeubles et des maisons.
Cette course effrayant finit par l'amener à la plage où elle s'arrêta afin de voir qui pouvait la poursuivre ainsi. Elle vit alors une nuée d'oeufs X, tels des abeilles en furie, s'approcha en la menaçant avec leurs petits "inutile". Certains auraient eu peur, d'autres se seraient enfuis mais Misaki, elle, dit simplement un mot très sophistiqué ...
-Et ... Merde !
Quel language civilisé ma foi ... Bon, en pareilles circonstances, elle n'allait pas discuter de la théorie de la relativité avec ces oeufs ornés de X blancs mais quand même ... Les oeufs commencèrent à attaquer la jeune fille qui évitait gracieusement chacune de leurs attaques en sautant sur les immeubles et les maisons qui traçaient la limite entre la plage et la ville. La jeune fille regarda son shugo chara avec fermeté et celui-ci comprit tout de suite le message. Deux cornes et une queue apparurent élégament sur la chanteuse. Elle ne pouvait pas les purifier tous un par un donc elle fit apparaître sa fourche qui se figea dans le sol.
A présent elle était sur la plage repoussée par les attaques incessantes des machins bicolores. Les oeufs X lancèrent une attaque surpuissante qui réunissait tous leurs pouvoirs. Simultanément, Misaki activa le pouvoir purificateur de son chara change et plusieurs rayons lumineux rouges sortèrent de la fourche. Les oeufs se purifièrent grâce à l'action rouge mais leur attaque n'était pas stopée.
L'immense réunion des pouvoirs maléfiques contenus dans les oeufs se dirigeait vers Misaki et celle-ci se protégea avec ses bras ... Cela causa une explosion, pas énorme, qui projeta Misaki à l'autre bout de la plage. La chanteuse avait les yeux fermés et elle sentit son corps buter contre un mur avant de retomber lourdement sur le sable fin de la plage. Là, la collégienne ne savait pas trop si elle était consciente, elle savait juste qu'elle était allongée, sur le ventre, sur le sable froid de la plage nocturne.
[Je m'impressione moi même ...]
Toute la journée, Misaki avait fait son ... boulot on va dire ... En réalité, elle avait suivi plusieurs personnes et elle avait noté toutes les informations récoltées sur celles-ci durant ce jour trop long ...
La nuit tombait ... Une fois son espionnage qui était toujours trop long terminé, la jeune fille se lassait aller au gré du vent ... Elle allait un coup dans la rue latérale, un coup sur le toit d'un des immeubles de la ville. Ce vent qui était plutôt frais et fort agréable finit par l'emmener étrangement à l'école Seiyô. Cette prison remplie de livres et de bureaux plus ou moins grands ... Elle explora, de nuit, l'école qui avait une allure très différent de son allure diurne. On aurait dit une sorte de maison hantée par des spectres s'évadant des pensées des jeunes enfermés à cet endroit à longueur de journée ... Plusieurs fois il sembla à la chanteuse entendre une porte qui se claquait ou une fenêtre dont les volêts grinçaient effrayament. Cette école ... était hantée ... Mais, étrangement, ça n'effrayait pas le moins du monde la jeune et courageuse collégienne. Elle déambulait dans lse couloirs, ouvrait chaque porte à peu près fermée et finit par se retrouver sur le toit de ce grand batiment qui était tel une prison hantée par des spectres sanglants de prisonniers qui auraient fini leur vie à cet endroit ... Mais, ça ne pouvait pas être que l'imagination de la jeune fille ... Non, c'était impossible, elle avait carrément vu un bureau bouger sous ses yeux ... Alors, qu'était-ce vraiment ? De vrais fantômes ? Misaki n'y croyait pas trop ... Elle préféra retourner en ville mais, pas dans la rue un peu trop éclairée mais sur les toits des immeubles et des maisons.
Cette course effrayant finit par l'amener à la plage où elle s'arrêta afin de voir qui pouvait la poursuivre ainsi. Elle vit alors une nuée d'oeufs X, tels des abeilles en furie, s'approcha en la menaçant avec leurs petits "inutile". Certains auraient eu peur, d'autres se seraient enfuis mais Misaki, elle, dit simplement un mot très sophistiqué ...
-Et ... Merde !
Quel language civilisé ma foi ... Bon, en pareilles circonstances, elle n'allait pas discuter de la théorie de la relativité avec ces oeufs ornés de X blancs mais quand même ... Les oeufs commencèrent à attaquer la jeune fille qui évitait gracieusement chacune de leurs attaques en sautant sur les immeubles et les maisons qui traçaient la limite entre la plage et la ville. La jeune fille regarda son shugo chara avec fermeté et celui-ci comprit tout de suite le message. Deux cornes et une queue apparurent élégament sur la chanteuse. Elle ne pouvait pas les purifier tous un par un donc elle fit apparaître sa fourche qui se figea dans le sol.
A présent elle était sur la plage repoussée par les attaques incessantes des machins bicolores. Les oeufs X lancèrent une attaque surpuissante qui réunissait tous leurs pouvoirs. Simultanément, Misaki activa le pouvoir purificateur de son chara change et plusieurs rayons lumineux rouges sortèrent de la fourche. Les oeufs se purifièrent grâce à l'action rouge mais leur attaque n'était pas stopée.
L'immense réunion des pouvoirs maléfiques contenus dans les oeufs se dirigeait vers Misaki et celle-ci se protégea avec ses bras ... Cela causa une explosion, pas énorme, qui projeta Misaki à l'autre bout de la plage. La chanteuse avait les yeux fermés et elle sentit son corps buter contre un mur avant de retomber lourdement sur le sable fin de la plage. Là, la collégienne ne savait pas trop si elle était consciente, elle savait juste qu'elle était allongée, sur le ventre, sur le sable froid de la plage nocturne.
[Je m'impressione moi même ...]
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Localisation : Dans le sud ouest x)
Date d'inscription : 02/11/2009
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[ Merci Misaki ^^ Je vois que ça t’inspire =D J’aime beaucoup ton poste. ]
Un corps ? Voilà longtemps, qu’elle ne fut pas confronter à cela. Elle ne l’avait remarqué que maintenant, suite à cet étrange bruit et à ses présences particulières. Kaori sur son muret, perché, décida de marcher en direction de la personne visiblement inerte dans le sable. Ses souvenirs refaisaient face, tandis qu’elle s’approchait de plus en plus de la silhouette qui prenait des airs de jeune fille. A pas feutrés, la demoiselle ne faisait que peu de bruit, elle se déplaçait avec habileté dans l’ombre. Quoi de plus normal, pour elle qui avait grandit dans les ténèbres, à force de les côtoyer, elle savait. Mais là, ce fut différent, elle ne connaissait pas la personne et ne savait même pas si elle était encore en vie. Toute personne aurait accourut vers elle pour tenter de la sauver dans la précipitation. Or il ne valait mieux pas brusquer les choses, dans l’angoisse, le risque est plus important. Et même elle n’était pas de ce genre là. Elle se surprenait même à vouloir satisfaire sa curiosité et à apporter un peu de son aide à cette personne qui lui était totalement inconnue. Encore ces changements soudains probablement…
Une fois devant, toujours sur le petit mur. Elle voyait qu’il s’agissait d’une petite adolescente, brune, elle sautait alors, pour atterrir dans le sable. Kaori s’approchait alors de son corps. [ Euh je suppose qu’elle est encore en tenue. Si ce n’est pas le cas, je me chargerai d’éditer, mais c’est plus intéressant quand même. ] Près d’elle donc, Kaori s’abaissait à coté d’elle. Et c’était avec un peu de surprise qu’elle découvrait que cette enfant avait des cornes dans les cheveux et comme une queue qui dépassait de ces vêtements. Un déguisement surement ? Peut-être que c’était un jour de fête aujourd’hui. Ou autre. Elle n’aurait su dire pourquoi elle fut vêtue de cela. Mais sa curiosité était grandissante. Il y avait tellement de raison, laquelle était la bonne. S’agenouillait dans le sable froid, elle releva doucement le visage de la petite, tenant fermement son menton entre ses doigts, elle observa la candeur de ses traits, une beauté sur son visage endormi. Soulevant ensuite son corps, Kaori la plaçait en sorte que sa tête se pose sur ses genoux. L’adolescente se pencha alors vers elle, constatant qu’elle respirait encore, son cœur battait également, elle le sentait. Elle ne pouvait donc pas la laisser ici.
Enfin, si elle le pouvait, mais dans le fond, elle ne pourrait pas. Affaiblie ainsi, son corps inanimé pour le moment, elle serait une proie facile. Et même depuis Kaori laissait-elle les enfants dans les noirceurs de la nuit ? La folie régnait ici bas. Et comme elle se l’était dit, jamais personne ne devrait tomber dans les mêmes profondeurs qu’elle. Et même, elle changeait, on ne sait comment, mais c’était un fait, elle prendrait ça comme excuse. Même si c’était sa volonté. Qui aurait pu la laisser là ? Elle soupirait de nouveau. Ne sachant vraiment ce qui allait se passer, elle prenait un risque. Kaori dans des mouvements furtifs et assez habituels, un geste familier, aller savoir pourquoi, elle mit la petite sur son dos, tenant le creux de ses genoux de ses bras, elle avait fait en sorte que les bras de la jeune fillette se trouvent enroulés autour de son cou pour la maintenir, sa tête tombant sur l’une de ses épaules. La jeune femme avançait alors dans la nuit sans un bruit, elle enjambait alors le mur et retrouvait le sentier.
Aussi bizarre que ça pouvait paraitre, Kaori avait l’habitude de porter des charges sur son dos et longtemps dans son enfance elle avait ainsi ramené Sora, son ami qui était comme un frère, celui-ci avait l’habitude de s’attirer des ennuis et il s’en sortait que rarement sauf l’intervention de Kaori. Qui le soignait de temps à autre. Elle marchait en suivant les lumières de la ville de loin, pour le moment elle ne savait guère si elle devait aller au bar ou directement de son appartement. En tous les cas, la petite avait quelques blessures et on devait lui prodiguer des soins. Même si elles n’étaient que toutes les deux, elle sentait parfois une autre présence, elle se retournait de temps en temps, mais rien, personne. Elle passait alors sa route. Quand elle sentit, que la personne qu’elle avait sur le dos se réveillait. Ses yeux mi-clos, Kaori lui jetait un regard en coin, elle allait surement être surprise, c’était normal, c’est pour cela, que la jeune femme, lui affirma comme pour la rassurer, pour éviter les coups de défense surtout et une chute possible, car elle se doutait que se réveiller ainsi sur le dos d’une personne qu’on ne connaissait pas n’était pas pilule facile à avaler, elle telle qu’elle était, aurait réagit avec violence. Son ton était cependant assez neutre :
" N’ayez crainte. Vous étiez évanouis sur la plage…"
Malgré ça, Kaori ne savait pas à qui elle avait à faire, elle se stoppa donc, s’arrêtant près d’une lumière. Elle attendait une réaction de sa part…
Un corps ? Voilà longtemps, qu’elle ne fut pas confronter à cela. Elle ne l’avait remarqué que maintenant, suite à cet étrange bruit et à ses présences particulières. Kaori sur son muret, perché, décida de marcher en direction de la personne visiblement inerte dans le sable. Ses souvenirs refaisaient face, tandis qu’elle s’approchait de plus en plus de la silhouette qui prenait des airs de jeune fille. A pas feutrés, la demoiselle ne faisait que peu de bruit, elle se déplaçait avec habileté dans l’ombre. Quoi de plus normal, pour elle qui avait grandit dans les ténèbres, à force de les côtoyer, elle savait. Mais là, ce fut différent, elle ne connaissait pas la personne et ne savait même pas si elle était encore en vie. Toute personne aurait accourut vers elle pour tenter de la sauver dans la précipitation. Or il ne valait mieux pas brusquer les choses, dans l’angoisse, le risque est plus important. Et même elle n’était pas de ce genre là. Elle se surprenait même à vouloir satisfaire sa curiosité et à apporter un peu de son aide à cette personne qui lui était totalement inconnue. Encore ces changements soudains probablement…
Une fois devant, toujours sur le petit mur. Elle voyait qu’il s’agissait d’une petite adolescente, brune, elle sautait alors, pour atterrir dans le sable. Kaori s’approchait alors de son corps. [ Euh je suppose qu’elle est encore en tenue. Si ce n’est pas le cas, je me chargerai d’éditer, mais c’est plus intéressant quand même. ] Près d’elle donc, Kaori s’abaissait à coté d’elle. Et c’était avec un peu de surprise qu’elle découvrait que cette enfant avait des cornes dans les cheveux et comme une queue qui dépassait de ces vêtements. Un déguisement surement ? Peut-être que c’était un jour de fête aujourd’hui. Ou autre. Elle n’aurait su dire pourquoi elle fut vêtue de cela. Mais sa curiosité était grandissante. Il y avait tellement de raison, laquelle était la bonne. S’agenouillait dans le sable froid, elle releva doucement le visage de la petite, tenant fermement son menton entre ses doigts, elle observa la candeur de ses traits, une beauté sur son visage endormi. Soulevant ensuite son corps, Kaori la plaçait en sorte que sa tête se pose sur ses genoux. L’adolescente se pencha alors vers elle, constatant qu’elle respirait encore, son cœur battait également, elle le sentait. Elle ne pouvait donc pas la laisser ici.
Enfin, si elle le pouvait, mais dans le fond, elle ne pourrait pas. Affaiblie ainsi, son corps inanimé pour le moment, elle serait une proie facile. Et même depuis Kaori laissait-elle les enfants dans les noirceurs de la nuit ? La folie régnait ici bas. Et comme elle se l’était dit, jamais personne ne devrait tomber dans les mêmes profondeurs qu’elle. Et même, elle changeait, on ne sait comment, mais c’était un fait, elle prendrait ça comme excuse. Même si c’était sa volonté. Qui aurait pu la laisser là ? Elle soupirait de nouveau. Ne sachant vraiment ce qui allait se passer, elle prenait un risque. Kaori dans des mouvements furtifs et assez habituels, un geste familier, aller savoir pourquoi, elle mit la petite sur son dos, tenant le creux de ses genoux de ses bras, elle avait fait en sorte que les bras de la jeune fillette se trouvent enroulés autour de son cou pour la maintenir, sa tête tombant sur l’une de ses épaules. La jeune femme avançait alors dans la nuit sans un bruit, elle enjambait alors le mur et retrouvait le sentier.
Aussi bizarre que ça pouvait paraitre, Kaori avait l’habitude de porter des charges sur son dos et longtemps dans son enfance elle avait ainsi ramené Sora, son ami qui était comme un frère, celui-ci avait l’habitude de s’attirer des ennuis et il s’en sortait que rarement sauf l’intervention de Kaori. Qui le soignait de temps à autre. Elle marchait en suivant les lumières de la ville de loin, pour le moment elle ne savait guère si elle devait aller au bar ou directement de son appartement. En tous les cas, la petite avait quelques blessures et on devait lui prodiguer des soins. Même si elles n’étaient que toutes les deux, elle sentait parfois une autre présence, elle se retournait de temps en temps, mais rien, personne. Elle passait alors sa route. Quand elle sentit, que la personne qu’elle avait sur le dos se réveillait. Ses yeux mi-clos, Kaori lui jetait un regard en coin, elle allait surement être surprise, c’était normal, c’est pour cela, que la jeune femme, lui affirma comme pour la rassurer, pour éviter les coups de défense surtout et une chute possible, car elle se doutait que se réveiller ainsi sur le dos d’une personne qu’on ne connaissait pas n’était pas pilule facile à avaler, elle telle qu’elle était, aurait réagit avec violence. Son ton était cependant assez neutre :
" N’ayez crainte. Vous étiez évanouis sur la plage…"
Malgré ça, Kaori ne savait pas à qui elle avait à faire, elle se stoppa donc, s’arrêtant près d’une lumière. Elle attendait une réaction de sa part…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[Merci beaucoup ^^ Tu sais quoi ... J'adore rp avec toi *-*]
Misaki sentait dans son inconscience qu'elle se déplaçait d'une manière inconue. Elle ouvrit vaguement les yeux mais sa vision restait floue. Elle regardait même si elle ne voyait pas vraiment. Elle crut voir une cheveulure bleutée et elle sentit qu'on la portait. Se posait-elle la question habituelle ? Eh bien, non ... Même pas ... Etrangement, elle n'était pas surprise de cette position ... Elle ne se demandait même pas qui la portait. Après tout, à quoi cela servirait de le savoir hein ? A pouvoir appeler cette personne par son prénom ? De toute façon, Misaki avait enquêté plusieurs semaines auparavant sur cette jeune fille. Son nom était Kaori Keiichi ... Elle ne savait pas grand chose d'elle ... Juste son nom et son physique car cette jeune fille ne laissait jamais rien paraître ...
La chanteuse ne bougea absolument pas d'un poil quand elle entendit les rassurantes paroles de la jeune femme aux cheveux bleus qui la portait. Elle avait le cerveau trop embrouillé pour penser à quoique ce soit ... En fait, sa première réaction fut de marmonner tout bas, peut être pas assez bas ...
-Et merde ... Ils m'ont eue ... Raaa ... Saleté ....
Elle était visiblement en colère après ces trucs bicolores. La brune ne pouvait pas bouger ... Enfin, peut être aussi qu'elle ne VOULAIT pas bouger ... Elle tenta de bouger vaguement sa jambe droite mais elle ne le POUVAIT point ... Ca l'énervait d'être en pareille position aussi impuissante ... La collégienne sentit soudain plusieurs douleurs provenant de chaque partie de son corps d'enfant. Les oeufs l'avait sacrément amochée ... Mais au moins, elle les avait eu ...
Elle releva légèrement la tête avec une difficulté halucinante. elle regardait cette cheveulure qui cachait la personne qui avait transporté son corps sans vie. Elle voulut dire quelque chose mais elle ne savait pas quoi ... Alors, tout simplement, ademttant sa défaite, elle dit :
-Merci ... De m'avoir sauvée ...
Misaki sentait dans son inconscience qu'elle se déplaçait d'une manière inconue. Elle ouvrit vaguement les yeux mais sa vision restait floue. Elle regardait même si elle ne voyait pas vraiment. Elle crut voir une cheveulure bleutée et elle sentit qu'on la portait. Se posait-elle la question habituelle ? Eh bien, non ... Même pas ... Etrangement, elle n'était pas surprise de cette position ... Elle ne se demandait même pas qui la portait. Après tout, à quoi cela servirait de le savoir hein ? A pouvoir appeler cette personne par son prénom ? De toute façon, Misaki avait enquêté plusieurs semaines auparavant sur cette jeune fille. Son nom était Kaori Keiichi ... Elle ne savait pas grand chose d'elle ... Juste son nom et son physique car cette jeune fille ne laissait jamais rien paraître ...
La chanteuse ne bougea absolument pas d'un poil quand elle entendit les rassurantes paroles de la jeune femme aux cheveux bleus qui la portait. Elle avait le cerveau trop embrouillé pour penser à quoique ce soit ... En fait, sa première réaction fut de marmonner tout bas, peut être pas assez bas ...
-Et merde ... Ils m'ont eue ... Raaa ... Saleté ....
Elle était visiblement en colère après ces trucs bicolores. La brune ne pouvait pas bouger ... Enfin, peut être aussi qu'elle ne VOULAIT pas bouger ... Elle tenta de bouger vaguement sa jambe droite mais elle ne le POUVAIT point ... Ca l'énervait d'être en pareille position aussi impuissante ... La collégienne sentit soudain plusieurs douleurs provenant de chaque partie de son corps d'enfant. Les oeufs l'avait sacrément amochée ... Mais au moins, elle les avait eu ...
Elle releva légèrement la tête avec une difficulté halucinante. elle regardait cette cheveulure qui cachait la personne qui avait transporté son corps sans vie. Elle voulut dire quelque chose mais elle ne savait pas quoi ... Alors, tout simplement, ademttant sa défaite, elle dit :
-Merci ... De m'avoir sauvée ...
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Vos/Votre Shugo Chara(s)*}.: Soyuki
Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[ Tout le plaisir est pour moi =) ]
Rien, pas vraiment de réaction, rien de brusque en tous les cas, Kaori reprenait donc le pas, en silence. La petite semblait se résoudre à sa situation. La pauvre devrait souffrir, son corps n’était pas dans le meilleur état qu’il puisse être et elle le sentait. Raide qu’elle fut, la brunette resta pour le moment immobile sur son dos. A pas doux et légers, elle évitait de marcher trop vite, des pas donc raisonnable, pour ne pas trop la secouer. Le regard devant elle, la route semblait longue, assombrie aucune lumière mis à part celle de la lune encore montante dans le ciel. Sans décrocher un mot, elle continuait d’avancer, Kaori ne savait même pas qui elle avait sur le dos. Enfin, ses légers traits lui rappelaient vaguement quelqu’un, comme une personne connue, mais elle n’en était que peu sure, alors elle ne ferait aucune remarque sur le sujet, pour le moment. Bien sur, ce n’était qu’une question de temps. Car la demoiselle Keiichi restait quand même décidée à connaitre son identité, à un moment ou un autre. Après tout, c’était la moindre des choses. Sentant toujours une seconde présence, elle était à l’affut du détail, attentive à ce qui l’entourait. Un autre coup de vent venait souffler sa frange et ses quelques mèches, volant dans l’air et découvrant son fin visage.
A ce même moment, un murmure vint accompagner la brise. La jeune fille qui reprenait conscience, et qui semblait parler. De qui ? De quoi ? Kaori n’en savait rien, mais elle s’abstenait de tout commentaire. Après tout, cela ne la regardait pas. Mais dans ses songes, elle continuait de se poser des questions. Cela avait peut être rapport avec son déguisement, si s’en était un. Un drôle d’accoutrement selon elle. Personne ne l’avait vu de toute façon, et puis pour le moment, il n’y avait rien à l’horizon, et se dirigeant vers les rues, à cette heure-ci, il n’y avait pas grand monde. Pas un chat même. L’adolescente commençait à se demander si elle n’allait pas directement lui demander si elle voulait rentrer directement chez elle, si elle avait une demeure ou si elle voulait aller autre part. A l’hôpital par exemple. C’était peut être exagéré. Pour le moment, Kaori prenait la direction de son appartement, elle aviserait par la suite. Elle ferma un court instant les yeux et inspira lentement.
Elle sentit sur son dos, que la jeune fille essaya de faire un mouvement, de la jambe, mais en vint. Kaori tournait légèrement la tête pour l’observer en coin du regard, une sensation de douleur ravageait discrètement son doux visage. La fillette devait avoir plus mal qu’elle le pensait. Soudain, sans que la jeune femme puisse le prédire ou même sans douter, elle relevait doucement la tête pour croiser les yeux vifs de la fille de Koichi, tout deux avait le même regard, la même couleur qui gouvernait leurs yeux. Le plus surprenant était la suite, faiblement elle lui disait Merci. La remerciant, sur le coup, Kaori restait muette. Un faible et discret sourire se dessinait sur ses lèvres, sans que personne ne puisse le remarquer. Lui sauver la vie, c’était peut être un peu trop. Elle ne l’avait que reprise sur ses épaules. Enfin, elle la tenait fermement mais avec délicatesse à la fois, pour ne pas lui faire de mal. Suivant le chemin du sentier, le bruit des vagues la berçait dans sa marche nocturne, et assez peu anodine. Il ne faisait pas trop froid, pour un sombre soir, c’était étonnant, même avec le vent, il ne faisait pas si frais. Avant, brisant le silence environnant, Kaori lui disait ces quelques mots :
" Ce n’est rien voyons…"
Elle laissa passer quelques secondes, marquant une pause, la fillette frêle semblait regarder la route qu’elles empruntaient, l’adolescente demandait alors avec une voix qui se voulait un peu moins froide :
" Comment vous sentez-vous ? "
Elle connaissait un peu la réponse, mais elle voulait l’entendre de sa vive voix. Cela avait son importance. Et pour cause, si la petite pouvait lui dire ce qu’elle avait exactement, Kaori serait plus à même de l’aider. Qu’elle se sente chanceuse cette enfant. Aider les gens, elle n’en avait point l’habitude, mais c’était aussi un moyen de se racheter vis-à-vis de tout ce qu’elle avait pu faire, vis-à-vis de tout ce qu’on avait pu lui faire faire. Et même, cela faisait partit du changement. Son regard venait alors en coin, parcourant de nouveau ses traits dans le silence le plus complet, elle attendait sa réponse…
Rien, pas vraiment de réaction, rien de brusque en tous les cas, Kaori reprenait donc le pas, en silence. La petite semblait se résoudre à sa situation. La pauvre devrait souffrir, son corps n’était pas dans le meilleur état qu’il puisse être et elle le sentait. Raide qu’elle fut, la brunette resta pour le moment immobile sur son dos. A pas doux et légers, elle évitait de marcher trop vite, des pas donc raisonnable, pour ne pas trop la secouer. Le regard devant elle, la route semblait longue, assombrie aucune lumière mis à part celle de la lune encore montante dans le ciel. Sans décrocher un mot, elle continuait d’avancer, Kaori ne savait même pas qui elle avait sur le dos. Enfin, ses légers traits lui rappelaient vaguement quelqu’un, comme une personne connue, mais elle n’en était que peu sure, alors elle ne ferait aucune remarque sur le sujet, pour le moment. Bien sur, ce n’était qu’une question de temps. Car la demoiselle Keiichi restait quand même décidée à connaitre son identité, à un moment ou un autre. Après tout, c’était la moindre des choses. Sentant toujours une seconde présence, elle était à l’affut du détail, attentive à ce qui l’entourait. Un autre coup de vent venait souffler sa frange et ses quelques mèches, volant dans l’air et découvrant son fin visage.
A ce même moment, un murmure vint accompagner la brise. La jeune fille qui reprenait conscience, et qui semblait parler. De qui ? De quoi ? Kaori n’en savait rien, mais elle s’abstenait de tout commentaire. Après tout, cela ne la regardait pas. Mais dans ses songes, elle continuait de se poser des questions. Cela avait peut être rapport avec son déguisement, si s’en était un. Un drôle d’accoutrement selon elle. Personne ne l’avait vu de toute façon, et puis pour le moment, il n’y avait rien à l’horizon, et se dirigeant vers les rues, à cette heure-ci, il n’y avait pas grand monde. Pas un chat même. L’adolescente commençait à se demander si elle n’allait pas directement lui demander si elle voulait rentrer directement chez elle, si elle avait une demeure ou si elle voulait aller autre part. A l’hôpital par exemple. C’était peut être exagéré. Pour le moment, Kaori prenait la direction de son appartement, elle aviserait par la suite. Elle ferma un court instant les yeux et inspira lentement.
Elle sentit sur son dos, que la jeune fille essaya de faire un mouvement, de la jambe, mais en vint. Kaori tournait légèrement la tête pour l’observer en coin du regard, une sensation de douleur ravageait discrètement son doux visage. La fillette devait avoir plus mal qu’elle le pensait. Soudain, sans que la jeune femme puisse le prédire ou même sans douter, elle relevait doucement la tête pour croiser les yeux vifs de la fille de Koichi, tout deux avait le même regard, la même couleur qui gouvernait leurs yeux. Le plus surprenant était la suite, faiblement elle lui disait Merci. La remerciant, sur le coup, Kaori restait muette. Un faible et discret sourire se dessinait sur ses lèvres, sans que personne ne puisse le remarquer. Lui sauver la vie, c’était peut être un peu trop. Elle ne l’avait que reprise sur ses épaules. Enfin, elle la tenait fermement mais avec délicatesse à la fois, pour ne pas lui faire de mal. Suivant le chemin du sentier, le bruit des vagues la berçait dans sa marche nocturne, et assez peu anodine. Il ne faisait pas trop froid, pour un sombre soir, c’était étonnant, même avec le vent, il ne faisait pas si frais. Avant, brisant le silence environnant, Kaori lui disait ces quelques mots :
" Ce n’est rien voyons…"
Elle laissa passer quelques secondes, marquant une pause, la fillette frêle semblait regarder la route qu’elles empruntaient, l’adolescente demandait alors avec une voix qui se voulait un peu moins froide :
" Comment vous sentez-vous ? "
Elle connaissait un peu la réponse, mais elle voulait l’entendre de sa vive voix. Cela avait son importance. Et pour cause, si la petite pouvait lui dire ce qu’elle avait exactement, Kaori serait plus à même de l’aider. Qu’elle se sente chanceuse cette enfant. Aider les gens, elle n’en avait point l’habitude, mais c’était aussi un moyen de se racheter vis-à-vis de tout ce qu’elle avait pu faire, vis-à-vis de tout ce qu’on avait pu lui faire faire. Et même, cela faisait partit du changement. Son regard venait alors en coin, parcourant de nouveau ses traits dans le silence le plus complet, elle attendait sa réponse…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[J'ai pris beaucoup de plaisir à parler du collège hanté ...]
Misaki essaya d'agiter, doucement, chacun de ses membres mais ils restèrent immobiles. Soudain, la jeune fille remarqua qu'elle avait toujours ses cornes et sa queue ... Ces étranges machins seront surement le sujet de plusieurs questions .... Elle réfléchit un peu afin de trouver, à l'avance, une réponse. Ca pouvait être un déguisement mais aujourd'hui n'était pas spécialement un jour de fête ... Elle venait d'avoir une idée ! Ca pouvait être un défi qu'on lui avait lancé et qu'elle avait relevé ! Le défi de se promener avec les attributs d'un diable sur la plage ... Cette idée fut retenue par la jeune chanteuse qui, en cet état, ne pensait et n'imaginait pas trop ...
Soudain, la voix de la jeune femme se faisait entendre. Elle disait que ce n'était rien ... Mais si ! C'était quelque chose tout de même car, dans cet état, si on l'avait agressée elle aurait été bien incapable de se défendre ... La collégienne pensa à retirer son chara change mais ça aurait paru étrange un déguisement qui disapraît sans laisser de traces ... La brune endurait la douleur facilement mais ce n'était pas agréable non plus !
La jeune femme avait demandé à Misaki comment elle allait ... La réponse était plutôt évidente ... D'ailleurs, Misaki se faisait pitié à elle-même dans cet état ... Elle qui pouvait purifier les oeufs X avec un simple chara change, oui elle qui pouvait également les faire naître à volonté, cette même personne qui était également une célèbre chanteuse, oui ... Cette petite brune qui était à présent incapable de bouger .... Elle eut un moment de réflexion sur sa future réponse car, après tout, elle ne savait pas trop quoi dire ... La chanteuse se demandait où était son shugo chara qui d'habitude la suivait jusqu'au bout du monde. Elle fit quelques mouvements de queue qui étaient un message adressé à la petite diablesse. Celle-ci se précipita aux côtés de sa maîtresse afin de lui demander si elle allait bien mais Misaki, sous le regard de Kaori, n'avait même pas adressé un regard à son shugo chara. Evidemment, Soyuki comprenait car elle devait rester secrète ... La jeune fille décida, enfin, de répondre à cette question dont la réponse parait évidente.
-Pour faire court, je suis tellement épuisée que je suis incapable de bouger.
Ce qui n'était pas entièrement vrai car elle pouvait bouger sa queue mais elle n'avait pas trop intérêt à ce que Kaori le sache ....
Misaki essaya d'agiter, doucement, chacun de ses membres mais ils restèrent immobiles. Soudain, la jeune fille remarqua qu'elle avait toujours ses cornes et sa queue ... Ces étranges machins seront surement le sujet de plusieurs questions .... Elle réfléchit un peu afin de trouver, à l'avance, une réponse. Ca pouvait être un déguisement mais aujourd'hui n'était pas spécialement un jour de fête ... Elle venait d'avoir une idée ! Ca pouvait être un défi qu'on lui avait lancé et qu'elle avait relevé ! Le défi de se promener avec les attributs d'un diable sur la plage ... Cette idée fut retenue par la jeune chanteuse qui, en cet état, ne pensait et n'imaginait pas trop ...
Soudain, la voix de la jeune femme se faisait entendre. Elle disait que ce n'était rien ... Mais si ! C'était quelque chose tout de même car, dans cet état, si on l'avait agressée elle aurait été bien incapable de se défendre ... La collégienne pensa à retirer son chara change mais ça aurait paru étrange un déguisement qui disapraît sans laisser de traces ... La brune endurait la douleur facilement mais ce n'était pas agréable non plus !
La jeune femme avait demandé à Misaki comment elle allait ... La réponse était plutôt évidente ... D'ailleurs, Misaki se faisait pitié à elle-même dans cet état ... Elle qui pouvait purifier les oeufs X avec un simple chara change, oui elle qui pouvait également les faire naître à volonté, cette même personne qui était également une célèbre chanteuse, oui ... Cette petite brune qui était à présent incapable de bouger .... Elle eut un moment de réflexion sur sa future réponse car, après tout, elle ne savait pas trop quoi dire ... La chanteuse se demandait où était son shugo chara qui d'habitude la suivait jusqu'au bout du monde. Elle fit quelques mouvements de queue qui étaient un message adressé à la petite diablesse. Celle-ci se précipita aux côtés de sa maîtresse afin de lui demander si elle allait bien mais Misaki, sous le regard de Kaori, n'avait même pas adressé un regard à son shugo chara. Evidemment, Soyuki comprenait car elle devait rester secrète ... La jeune fille décida, enfin, de répondre à cette question dont la réponse parait évidente.
-Pour faire court, je suis tellement épuisée que je suis incapable de bouger.
Ce qui n'était pas entièrement vrai car elle pouvait bouger sa queue mais elle n'avait pas trop intérêt à ce que Kaori le sache ....
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
" Je vois… "
Ajoutait-elle dans un souffle, Kaori, semblait se douter qu’elle fut une chute dite fatale, qui avait du affaiblir tout son corps. Sentant ses membres s’agités, la jeune femme comprenait la fillette qui essayait en vint de rétablir sa volonté à son corps qui ne semblait pas décidément à vouloir se mouver. Logique, si le choc fut violement. La demoiselle Keiichi, ignorait le pourquoi du comment et pour le moment, cela lui importait peu, elle ne recherchait pas encore à connaitre ce qui c’était réellement passé sur cette plage. Ses mouvements restreints, la petite sur son dos, elle continuait de marcher sur le chemin tantôt regardant devant elle, parfois le sol, d’autre moment le ciel. Elle était attentive aux environs et pour cause. Enfin, elle poursuivait lentement à ses paroles, voyant l’intérêt que portait la brunette à retrouver l’usage de ses membres, peut être un peu prématurément, il fallait laisser passer un peu de temps, l’enfant irait mieux avec un peu de soin et du repos. Elle lui disait alors, le regard toujours droit, devant elle, à fixer un quelque conque point du paysage dans le vide, une concentration déconcertante, sur son visage neutre qui semblait vide de toute expression :
" Ne vous fatiguez pas. "
Le silence se fit de nouveau, mais Kaori, persuader que la voix de cette petite lui était familière, cherchait dans ses souvenirs, plus les secondes passaient, plus elle se disait également l’avoir déjà vu quelque part. Plus tard encore, elle se souvenait avoir vu ses traits candides devant l’Easter Compagnie. Décidément, cette corporation était partout. Hm, il faut que son appartement se trouvait non loin, et qu’elle avait une vue imprenable sur le bâtiment, passant régulièrement devant aussi. Dans ses songes, elle tentait de chercher à mettre un nom sur sa personne. Elle avait tellement croisé de personne, qui lui était de plus en plus difficile d’attribuer à chacun son identité, heureusement, sa mémoire restait un point fort qui ne faiblissait que peu, il faut dire qu’on lui avait longtemps, longuement apprit, à s’en server correctement. C’était même étonnant la capacité qu’elle possédait. Evidement, comme une fatalité qui la frappait alors, elle se souvenait. Mais ne montrait rien, elle n’avançait pas par pas, doucement, sans aucune différence à l’exception qu’elle avait une starlette sur le dos. Rien ne laissait à prédire qu’elle le savait. Ou presque évidement, puisque ses lèvres s’animaient pour s’adresser à la jeune chanteuse :
" Fodukawa Misaki…"
Normal, qu’elle fut liée à l’Easter, ça devait être l’organisation qui la produisait. Elle ne savait pas grand-chose sur elle, mis à part l’avoir croisée donc près de la compagnie, dans la rue. Sinon, c’était sa notoriété qui faisait tout le reste. Ces derniers temps, les talents affluaient, mais la petite, était dans le métier, avant tout cela, voilà pourquoi Kaori avait bien retenu son nom et prénom. L’actualité révélait des faits étranges, mais bon, que pouvait-elle faire, ce n’était encore assez pour qu’elle puisse se pencher sérieusement sur le sujet. Elle soupira légèrement, le vent se levant de nouveau, les yeux dans les cieux, quelques nuages venaient obscurcir le firmament. Une averse ? Probablement, ce n’était pas très important, vu qu’elles seraient bientôt arrivées à destination. La météo était si instable, ces derniers temps entre le chaud et le froid, la neige, la brise, dire qu’un peu plus tôt, les étoiles régissaient en maitresses dans la nuit. C’était agréable, à voir, même si la jeune femme aimait aussi les temps pluvieux, ternes. Bien que frileuse, elle n’aimait que peu le soleil et sa chaleur souvent étouffante. Ce n’était pas exactement le bon moment pour parler pluie et beau temps ou plutôt à y penser.
Dans la pénombre, elle quittait le chemin, pour prendre les rues de la ville abordant les rives de la plage. Le paysage changeant alors. Quittant la nature, son sable fin, son eau salée incolore dans la nuit, difficilement voyante, seule l’écume de certaines vagues se reflétaient avec finesse avec les rayons lunaires. L’illumination douce de la lune qui venait subtilement éclairer le visage de porcelaine de Kaori, elle aimait cette lumière, qui n’était pas agressive, peut être tenait-elle ça de sa mère. Sottise… Moment d’hardiesse, un songe absurde. Finalement dissiper avec les forts éclairages de la ville. Et encore son euphorie était limitée, elles n’étaient qu’à son entrée. Et personne n’était dans les rues, une voiture passait mais après, plus aucun signe de vie. Ce n’était pas plus mal. S’arrêtant pour observer sur sa droite puis sur sa gauche, elle traversait une route pour rejoindre le trottoir d’en face. L’adolescente demandait à Misaki, la destination approchant à grand pas, elle devait savoir son avis, ce qu’elle souhaitait :
" Vous voulez que je porte quelque part en particulier…"
Un court silence après, elle reprit :
" Nous pouvons nous rendre chez moi…C’est peut être préférable vu votre état. "
Bien sur, accepter d’aller chez une inconnue ainsi, n’était peut être pas une tache simple. Mais pour Kaori, cela lui semblait le mieux. Sauf si quelqu’un l’attendait et pourrait se montrer attentif à ses blessures, dans ce cas là, effectivement, c’était discutable. C’était à voir. Au détour d’une rue, la sombre héritière Keiichi, détourna le regard vers Misaki, ses yeux si durs qui l’interrogeaient déjà, sans même avoir dit un mot, la jeune femme fit une requête pour le moins particulière :
" Etiez-vous seule sur la plage ? "
Dans un sens, elle voulait savoir, s’il y avait bien une présence, qui continuait de les suivre, si celle-ci était vraiment existante. Ses paroles brisaient de nouveau un instant de silence reposant :
" Quelqu’un…Quelque chose, pourrait-il nous suivre ? Soyez sincère …"
Coutumière aux mensonges, Kaori saurait si elle mentait ou pas, sauf si elle était une excellente mais vraiment une incroyable actrice. Encore un acquis de son passé. Les menteurs, elle les avait côtoyés, et elle avait pour père…Un menteur, un manipulateur, un mafieux, un…être difficilement qualifiable d’humain. Mais là n’était pas le sujet. Elles arrivaient à hauteur de l’Easter….
Ajoutait-elle dans un souffle, Kaori, semblait se douter qu’elle fut une chute dite fatale, qui avait du affaiblir tout son corps. Sentant ses membres s’agités, la jeune femme comprenait la fillette qui essayait en vint de rétablir sa volonté à son corps qui ne semblait pas décidément à vouloir se mouver. Logique, si le choc fut violement. La demoiselle Keiichi, ignorait le pourquoi du comment et pour le moment, cela lui importait peu, elle ne recherchait pas encore à connaitre ce qui c’était réellement passé sur cette plage. Ses mouvements restreints, la petite sur son dos, elle continuait de marcher sur le chemin tantôt regardant devant elle, parfois le sol, d’autre moment le ciel. Elle était attentive aux environs et pour cause. Enfin, elle poursuivait lentement à ses paroles, voyant l’intérêt que portait la brunette à retrouver l’usage de ses membres, peut être un peu prématurément, il fallait laisser passer un peu de temps, l’enfant irait mieux avec un peu de soin et du repos. Elle lui disait alors, le regard toujours droit, devant elle, à fixer un quelque conque point du paysage dans le vide, une concentration déconcertante, sur son visage neutre qui semblait vide de toute expression :
" Ne vous fatiguez pas. "
Le silence se fit de nouveau, mais Kaori, persuader que la voix de cette petite lui était familière, cherchait dans ses souvenirs, plus les secondes passaient, plus elle se disait également l’avoir déjà vu quelque part. Plus tard encore, elle se souvenait avoir vu ses traits candides devant l’Easter Compagnie. Décidément, cette corporation était partout. Hm, il faut que son appartement se trouvait non loin, et qu’elle avait une vue imprenable sur le bâtiment, passant régulièrement devant aussi. Dans ses songes, elle tentait de chercher à mettre un nom sur sa personne. Elle avait tellement croisé de personne, qui lui était de plus en plus difficile d’attribuer à chacun son identité, heureusement, sa mémoire restait un point fort qui ne faiblissait que peu, il faut dire qu’on lui avait longtemps, longuement apprit, à s’en server correctement. C’était même étonnant la capacité qu’elle possédait. Evidement, comme une fatalité qui la frappait alors, elle se souvenait. Mais ne montrait rien, elle n’avançait pas par pas, doucement, sans aucune différence à l’exception qu’elle avait une starlette sur le dos. Rien ne laissait à prédire qu’elle le savait. Ou presque évidement, puisque ses lèvres s’animaient pour s’adresser à la jeune chanteuse :
" Fodukawa Misaki…"
Normal, qu’elle fut liée à l’Easter, ça devait être l’organisation qui la produisait. Elle ne savait pas grand-chose sur elle, mis à part l’avoir croisée donc près de la compagnie, dans la rue. Sinon, c’était sa notoriété qui faisait tout le reste. Ces derniers temps, les talents affluaient, mais la petite, était dans le métier, avant tout cela, voilà pourquoi Kaori avait bien retenu son nom et prénom. L’actualité révélait des faits étranges, mais bon, que pouvait-elle faire, ce n’était encore assez pour qu’elle puisse se pencher sérieusement sur le sujet. Elle soupira légèrement, le vent se levant de nouveau, les yeux dans les cieux, quelques nuages venaient obscurcir le firmament. Une averse ? Probablement, ce n’était pas très important, vu qu’elles seraient bientôt arrivées à destination. La météo était si instable, ces derniers temps entre le chaud et le froid, la neige, la brise, dire qu’un peu plus tôt, les étoiles régissaient en maitresses dans la nuit. C’était agréable, à voir, même si la jeune femme aimait aussi les temps pluvieux, ternes. Bien que frileuse, elle n’aimait que peu le soleil et sa chaleur souvent étouffante. Ce n’était pas exactement le bon moment pour parler pluie et beau temps ou plutôt à y penser.
Dans la pénombre, elle quittait le chemin, pour prendre les rues de la ville abordant les rives de la plage. Le paysage changeant alors. Quittant la nature, son sable fin, son eau salée incolore dans la nuit, difficilement voyante, seule l’écume de certaines vagues se reflétaient avec finesse avec les rayons lunaires. L’illumination douce de la lune qui venait subtilement éclairer le visage de porcelaine de Kaori, elle aimait cette lumière, qui n’était pas agressive, peut être tenait-elle ça de sa mère. Sottise… Moment d’hardiesse, un songe absurde. Finalement dissiper avec les forts éclairages de la ville. Et encore son euphorie était limitée, elles n’étaient qu’à son entrée. Et personne n’était dans les rues, une voiture passait mais après, plus aucun signe de vie. Ce n’était pas plus mal. S’arrêtant pour observer sur sa droite puis sur sa gauche, elle traversait une route pour rejoindre le trottoir d’en face. L’adolescente demandait à Misaki, la destination approchant à grand pas, elle devait savoir son avis, ce qu’elle souhaitait :
" Vous voulez que je porte quelque part en particulier…"
Un court silence après, elle reprit :
" Nous pouvons nous rendre chez moi…C’est peut être préférable vu votre état. "
Bien sur, accepter d’aller chez une inconnue ainsi, n’était peut être pas une tache simple. Mais pour Kaori, cela lui semblait le mieux. Sauf si quelqu’un l’attendait et pourrait se montrer attentif à ses blessures, dans ce cas là, effectivement, c’était discutable. C’était à voir. Au détour d’une rue, la sombre héritière Keiichi, détourna le regard vers Misaki, ses yeux si durs qui l’interrogeaient déjà, sans même avoir dit un mot, la jeune femme fit une requête pour le moins particulière :
" Etiez-vous seule sur la plage ? "
Dans un sens, elle voulait savoir, s’il y avait bien une présence, qui continuait de les suivre, si celle-ci était vraiment existante. Ses paroles brisaient de nouveau un instant de silence reposant :
" Quelqu’un…Quelque chose, pourrait-il nous suivre ? Soyez sincère …"
Coutumière aux mensonges, Kaori saurait si elle mentait ou pas, sauf si elle était une excellente mais vraiment une incroyable actrice. Encore un acquis de son passé. Les menteurs, elle les avait côtoyés, et elle avait pour père…Un menteur, un manipulateur, un mafieux, un…être difficilement qualifiable d’humain. Mais là n’était pas le sujet. Elles arrivaient à hauteur de l’Easter….
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
-J'étais seule effectivement, enfin, il me semble car dans cette pénombre on ne peut pas voir grand chose ...
Misaki avait affirmé cela avec tant d'assurance que certains, qui sont assez fous pour parier qu'elle ne ment pas, auraient carrément perdu une main ... En fait Misaki somnolait à cause de son intense fatigue qu'elle ne pouvait laisser de côté. Elle sentait le balancement régulier de son corps au gré des pas de Kaori et d'ailleurs, elle n'aimait pas cet état de faiblesse ... Ca lui rappelait de très vagues souvenirs d'avant la mort de ses parents et ça la fesait souffrir plus qu'autre chose ... En parlant de souffrance elle se demandait vraiment si c'était possible qu'elle soit amochée à ce point ! Ses blessures, qu'elle ne voyait pas, lui fesaient horriblement mal malgré la douceur de Kaori ... D'ailleurs, elle se demandait pourquoi Kaori était si gentille avec elle ... Elle trouvait cela plutôt étrange qu'elle l'aie secouru dans un état aussi ... minable ... En fait, avait-elle vraiment purifier ces oeufs bicolores ? Et bien, elle n'en avait aucune idée et cela l'angoissait car elle avait peur qu'ils ne l'aient poursuivie et dans cet état, elle était complètement incapable de bouger alors si en plus elle devait se battre ... Elle risquait de repartir dans un état encore plus dégradé que son état actuel ... Soyuki était posée sur la tête ou sur une des épaules de Misaki, elle ne le savait pas trop ... Car, en plus de ne pas pouvoir bouger ses membres, elle ne les sentait même pas ! Et ça, c'était illogique pour elle ; c'est vrai, ne pas sentir ses membres mais souffrir des blessures qui leur sont affligées ce n'est pas ce qu'il y a de plus logique ... Mais bon, la chanteuse n'était pas en état de parler ni même de penser, sa fatigue était un poids trop lourd pour faire quoique ce soit ...
-Amenez-moi où vous pensez devoir m'ammener et on discutera après.
Pourquoi réfléchir alors que cette jeune femme avait l'esprit très clair et pouvait réfléchir à sa place ? Par ailleurs, elle avait toujours ses attributs de diable ... Elle allait les garder ou pas ? Bah, après tout, ça ne servait plus à rien de faire un chara change vu que le combat était passé. Les cornes et la queue disparurent du corps de jeune fille abîmé que possédait la chanteuse. Kaori était, a priori, sur ses gardes on aurait dit qu'elle s'attendait à ce qu'à tout moment quelqu'un sorte de l'ombre et les agresse. Mais cet instant n'arriva pas vu qu'il n'y avait personne à part les deux jeunes filles et le shugo chara dont, visiblement, Kaori sentait la présence. La collégienne voulait éloigner son shugo chara pour qu'il aille faire des choses plus contructives que de rester planté là en attendant que Kaori avance avec ce poids sur son dos. Elle fit un signe insivible à son shugo chara qui approcha. A l'oreille de celui-ci, elle chuchota sa mission. Soyuki devait s'éloigner et récolter des informations sur une personne dont je ne citerai pas le nom pour son intimité. La brune sentait une force l'envahir ... Qu'était-ce ? Le Mal ? Non ... C'était tout bêtement le sommeil qu'elle avait repoussé trop longtemps malgré sa fatigue. Elle ne voulait pas s'endormir ... Elle ne POUVAIT pas s'endormir ! Il y avait trop de choses à faire avant d'espérer trouver le doux repos tant requis mais ses yeux se fermaient de plus en plus malgré sa volonté de veiller. Sa tête se fesait lourde et se posa bientôt avec une douceur sans nom sur l'une des épaules de Kaori. Les grands yeux bleus de la chanteuse étaient mi-clos et elle fesait de son mieux pour résister à cette maudite fatigue mais elle était impuissante. A présent, on ne voyait que ses paupières paisiblement fermées et une petite fille dormant paisiblement malgré sa volonté de veiller ...
Soyuki était arrivée au manoir où habitait la personne qu'elle devait espionner comme lui avait dit sa maîtresse. Ce manoit fesait froid dans le dos et on aurait dit le collège Seiyô de nuit ... Soyuki, elle, était plutôt superstitieuse contrairement à sa maîtresse. La petite diablesse pénétra dans cette maison qui grinçait de partout et qui fesait des bruits dignes des maisons hantées ... A un moment, le shugo chara crut même entendre une tronçonneuse ce qui la fit bondir en arrière et se coller contre un mur. Le moteur de la machine effrayante s'arrêta et Soyuki essaya, tant bien que mal, de se rassurer. De toute façon, seuls les détenteurs de shugo chara peuvent la voir donc elle n'avait pas trop de soucis à se faire mais, et si la personne à la tronçonneuse était un psycopathe ? Et si il pouvait voir les shugo chara ? Soyuki avait certainement trop d'imagination mais ce n'est pas ce reproche qui stoppa sa peur. Elle gravit les escaliers beaucoup trop grands pour elle et sentit qu'elle montait vers ... Vers la tronçonneuse ... La petite diablesse devait être un petit peu folle car, au lieu d'être effrayé comme toute personne à peu près saine d'esprit l'aurait été, elle était excitée par ce bruit qui fesait penser à ces films d'horreur, à tout ce sang et à ce carnage sans nom. Le bruit sanglant repris de plus belle et laissa Soyuki immobile, paralysée par la peur et par l'excitation de découvrir l'origine de ce bruit souvent lié à ces meurtres sanglant qu'on voit dans ces films où tous les personnages finissent en petits morceaux ensanglentés ... Ce moment d'arrêt laissa à Soyuki le temps d'examiner les lieux qui étaient censés apartenir à un artiste quelconque. Il y avait des toiles d'araignées dans les coins et des poutres tellement bien accrochées qu'en les effleurant elles semblaient pouvoir s'écrouler de tout leur poids sur le plancher poussiéreux. Chaque pas que pouvait supporter une fourmi fit un bruit strident. On se demandait si ces escaliers pouvaient vraiment soutenir un quelconque poids ... La petite rouquine gravit ces inquiétant escaliers avant de voir une porte ouverte. Elle voyait la tronçonneuse tachée d'un liquide semblable en tous points à du sang et un rire maléfique se fesait entendre dans chaque recoin de la sinistre maison.
Misaki avait affirmé cela avec tant d'assurance que certains, qui sont assez fous pour parier qu'elle ne ment pas, auraient carrément perdu une main ... En fait Misaki somnolait à cause de son intense fatigue qu'elle ne pouvait laisser de côté. Elle sentait le balancement régulier de son corps au gré des pas de Kaori et d'ailleurs, elle n'aimait pas cet état de faiblesse ... Ca lui rappelait de très vagues souvenirs d'avant la mort de ses parents et ça la fesait souffrir plus qu'autre chose ... En parlant de souffrance elle se demandait vraiment si c'était possible qu'elle soit amochée à ce point ! Ses blessures, qu'elle ne voyait pas, lui fesaient horriblement mal malgré la douceur de Kaori ... D'ailleurs, elle se demandait pourquoi Kaori était si gentille avec elle ... Elle trouvait cela plutôt étrange qu'elle l'aie secouru dans un état aussi ... minable ... En fait, avait-elle vraiment purifier ces oeufs bicolores ? Et bien, elle n'en avait aucune idée et cela l'angoissait car elle avait peur qu'ils ne l'aient poursuivie et dans cet état, elle était complètement incapable de bouger alors si en plus elle devait se battre ... Elle risquait de repartir dans un état encore plus dégradé que son état actuel ... Soyuki était posée sur la tête ou sur une des épaules de Misaki, elle ne le savait pas trop ... Car, en plus de ne pas pouvoir bouger ses membres, elle ne les sentait même pas ! Et ça, c'était illogique pour elle ; c'est vrai, ne pas sentir ses membres mais souffrir des blessures qui leur sont affligées ce n'est pas ce qu'il y a de plus logique ... Mais bon, la chanteuse n'était pas en état de parler ni même de penser, sa fatigue était un poids trop lourd pour faire quoique ce soit ...
-Amenez-moi où vous pensez devoir m'ammener et on discutera après.
Pourquoi réfléchir alors que cette jeune femme avait l'esprit très clair et pouvait réfléchir à sa place ? Par ailleurs, elle avait toujours ses attributs de diable ... Elle allait les garder ou pas ? Bah, après tout, ça ne servait plus à rien de faire un chara change vu que le combat était passé. Les cornes et la queue disparurent du corps de jeune fille abîmé que possédait la chanteuse. Kaori était, a priori, sur ses gardes on aurait dit qu'elle s'attendait à ce qu'à tout moment quelqu'un sorte de l'ombre et les agresse. Mais cet instant n'arriva pas vu qu'il n'y avait personne à part les deux jeunes filles et le shugo chara dont, visiblement, Kaori sentait la présence. La collégienne voulait éloigner son shugo chara pour qu'il aille faire des choses plus contructives que de rester planté là en attendant que Kaori avance avec ce poids sur son dos. Elle fit un signe insivible à son shugo chara qui approcha. A l'oreille de celui-ci, elle chuchota sa mission. Soyuki devait s'éloigner et récolter des informations sur une personne dont je ne citerai pas le nom pour son intimité. La brune sentait une force l'envahir ... Qu'était-ce ? Le Mal ? Non ... C'était tout bêtement le sommeil qu'elle avait repoussé trop longtemps malgré sa fatigue. Elle ne voulait pas s'endormir ... Elle ne POUVAIT pas s'endormir ! Il y avait trop de choses à faire avant d'espérer trouver le doux repos tant requis mais ses yeux se fermaient de plus en plus malgré sa volonté de veiller. Sa tête se fesait lourde et se posa bientôt avec une douceur sans nom sur l'une des épaules de Kaori. Les grands yeux bleus de la chanteuse étaient mi-clos et elle fesait de son mieux pour résister à cette maudite fatigue mais elle était impuissante. A présent, on ne voyait que ses paupières paisiblement fermées et une petite fille dormant paisiblement malgré sa volonté de veiller ...
Soyuki était arrivée au manoir où habitait la personne qu'elle devait espionner comme lui avait dit sa maîtresse. Ce manoit fesait froid dans le dos et on aurait dit le collège Seiyô de nuit ... Soyuki, elle, était plutôt superstitieuse contrairement à sa maîtresse. La petite diablesse pénétra dans cette maison qui grinçait de partout et qui fesait des bruits dignes des maisons hantées ... A un moment, le shugo chara crut même entendre une tronçonneuse ce qui la fit bondir en arrière et se coller contre un mur. Le moteur de la machine effrayante s'arrêta et Soyuki essaya, tant bien que mal, de se rassurer. De toute façon, seuls les détenteurs de shugo chara peuvent la voir donc elle n'avait pas trop de soucis à se faire mais, et si la personne à la tronçonneuse était un psycopathe ? Et si il pouvait voir les shugo chara ? Soyuki avait certainement trop d'imagination mais ce n'est pas ce reproche qui stoppa sa peur. Elle gravit les escaliers beaucoup trop grands pour elle et sentit qu'elle montait vers ... Vers la tronçonneuse ... La petite diablesse devait être un petit peu folle car, au lieu d'être effrayé comme toute personne à peu près saine d'esprit l'aurait été, elle était excitée par ce bruit qui fesait penser à ces films d'horreur, à tout ce sang et à ce carnage sans nom. Le bruit sanglant repris de plus belle et laissa Soyuki immobile, paralysée par la peur et par l'excitation de découvrir l'origine de ce bruit souvent lié à ces meurtres sanglant qu'on voit dans ces films où tous les personnages finissent en petits morceaux ensanglentés ... Ce moment d'arrêt laissa à Soyuki le temps d'examiner les lieux qui étaient censés apartenir à un artiste quelconque. Il y avait des toiles d'araignées dans les coins et des poutres tellement bien accrochées qu'en les effleurant elles semblaient pouvoir s'écrouler de tout leur poids sur le plancher poussiéreux. Chaque pas que pouvait supporter une fourmi fit un bruit strident. On se demandait si ces escaliers pouvaient vraiment soutenir un quelconque poids ... La petite rouquine gravit ces inquiétant escaliers avant de voir une porte ouverte. Elle voyait la tronçonneuse tachée d'un liquide semblable en tous points à du sang et un rire maléfique se fesait entendre dans chaque recoin de la sinistre maison.
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
Les lumières étaient denses, et cela n’avait plus rien à voir avec la tranquillité de la plage, l’éclat terne de la lune qui lui était si plaisant. La ville frivole laissait à craindre que la nuit serait agitée. Dehors en tout cas. Elle marchait, oubliant le temps, cette notion difficile la laissait perplexe alors qu’elle attendait toujours une réponse de la petite. Qui lui avouait alors qu’elle était seule mais…Ces premiers mots se résumaient donc bien à un mensonge, un faible sourire amusé parcourut les lèvres de Kaori avant de vite disparaitre de son visage. Voyant l’état de fatigue de la jeune Misaki, elle n’allait pas relever ces paroles, hochant alors la tête, sans un mot pour lui faire comprendre que la réponse lui convenait. Même si ce n’était guère le cas, elle garderait tout cela pour elle. Comme la jeune femme en avait l’habitude. A quoi bon s’entêter. Mais elle restait sur ses gardes, ne sait-on jamais. En temps que fille de la lignée Keiichi, elle devait l’être constamment, et quand elle se reposait, peu souvent, c’est Mamoru qui assurait sa protection. Où était-il d’ailleurs ? Voilà une interrogation qui lui traversait lentement l’esprit. Peut être se soir-ci, avait-il encore à faire affaire, il était passé en grade supérieur. Mauvaise ou bonne chose, elle ne saurait que dire. Enfin…Dans un vague soupire, elle reportait son attention sur la jeune fille sur son dos.
Celle-ci qui lui disait qu’elle n’avait pas de préférence, qu’elle pouvait l’emmener là où elle le désirait. Très bien. Kaori tournait alors au détour d’une ruelle, avant de se retrouver devant la compagnie, l’immeuble de l’Easter. Une ruelle étroite et sombre, comme l’était encore ce qui se profilait devant elle, un vrai labyrinthe qui n’avait plus de secret pour l’adolescente. Ces rues, elle les connaissait si bien, elle en avait passé du temps, continuant lentement son chemin ses yeux se posaient sur les murs, sur le sol, en quête d’un rien, juste par occupation, par précaution peut être également. D’ailleurs, elle sentait l’oppression disparaitre comme si plus rien, mis à part elles deux. La présence les avait quitté ? Hm, c’était étrange, mais bon. La noirceur des lieux y était peut être aussi pour quelque chose et ici, elle était maître de tout ce qui pouvait se passer. Pour cause qu’elle était bien placée, hautement dans la hiérarchie. Songeant à tout cela, elle leva les yeux au ciel de nouveau, voyant la lune de sa rondeur lui indiquer le chemin le plus rapide à prendre. Elle ferait probablement une escale avant d’aller à sa demeure, au bar bien sur. Bien que avec la chanteuse, ce n’était peut être pas conseillé de la conduire dans un tel lieu. Kaori devrait y réfléchir.
* Il va pleuvoir…*
Mais ce n'était qu'un détail, ce n'était pas bien grave. Sentant doucement la tête de Misaki glisser le long de son épaule, jetant un bref coup d’œil, elle voyait bien que celle-ci avait succombé aux bras de Morphée. C’était mieux ainsi dans son sommeil, elle oublierait la douleur de ses blessures. Dans ce monde qui n’appartenait qu’à sa personne. Dans l’ombre la silhouette agile de Kaori s’animait jusqu’à son appartement. Elle portait l’enfant jusqu’à chez elle. Ouvrant la porte, elle se dirigeait rapidement vers sa chambre. L’appartement de Kaori n’était pas des plus beaux, des plus luxueux. Mais il était convenable quand on savant d’où elle venait. Allumant la faible lumière de sa chambre. Elle déposait avec tendresse le corps de la petite chanteuse sur le lit. Elle avait prit soin de tirer la couette, les drapes pour l’installer confortablement. La jeune femme remarqua qu’elle n’avait plus ses attributs cornus, hm, perdus en route ? Non. Mais peu importe. Ce n’était pas le point le plus important de la soirée. Observant vaguement la peau de la fillette, aucune blessure n’était apparente. Mis à part un ou deux bleus qui commençaient à marquer sa peau. Kaori verrait tout cela quand elle serait de nouveau éveillée. Pour l’instant, elle savait juste qu’elle lui donnerait un comprimé contre la douleur. Pour le reste, elle aviserait le moment venu, elle avait une grande variété de produit de soin quoi qu’il arrivait, elle n’en manquait pas. Mamoru était là aussi, si c’était plus grave…
Elle quitta la pièce en éteignant, passant son doigt sur l’interrupteur. La demoiselle Keiichi alla à la fenêtre de sa cuisine et regardant maintenant la pluie qui martelait la vitre, le temps était vraiment instable. A peine avait-elle eu le temps de se poser sur une chaise, en frappa à la porte. Rapidement, elle se déplaça jusqu’à sa porte et entrouvrit, en laissant la chaine en fer massif. Son regard étonné trouvait celui de son ami, visiblement bien amoché. Il lui demandait d’ouvrir. Ce qu’elle fit. Il entra alors, et se mit sur le canapé, tenant son cou ensanglanté d’une main fébrile. Qu’est-ce qu’il avait bien pu faire encore, pour se mettre dans un tel état. Sortant ce qu’il fallait, Kaori s’assit près de lui et poussa sa main pour contraster l’étendue des dégâts. Elle lui murmurait en scrutant la plaie puis en dirigeant son regard vers ses yeux sombres qui venaient à elle, qu’elle n’était pas seule se soir, elle lui expliquait alors ce qui c’était passé. Tout en le soignant dans les plus brefs délais. Une fois que c’était fait, il la remercia et se leva. Ouvrant un peu la fenêtre du salon, il alluma une cigarette en lui demandant sincèrement :
" Keiichi, ça va ? "
Il se doutait qu’il y avait quelque chose qui la chagrinait, enfin pas dans le sens attrister. Dans le fait qu’il la sentait un peu différente ce soir. Voyant surement son air songeur. Elle lui affirma que tout allait bien, et elle se détachait du canapé pour aller ranger ce qu’elle avait sortit dans la salle de bain, à quelques pas de là. Le laissant seul, il était ici, chez lui. C’était un peu le cas, et il n’était pas rare qu’il vienne y dormir. Rangeant donc ce qu’elle avait dans les mains, dans l’autre pièce, un bruit s’annonçait, la porte de la chambre s’ouvrait alors. Kaori n’en savait rien vu qu’elle se trouvait encore dans l’autre salle. Mais Mamoru, expirant la fumée de sa cigarette, fit volte face, pour voir se qui se tramait dans son dos…
Celle-ci qui lui disait qu’elle n’avait pas de préférence, qu’elle pouvait l’emmener là où elle le désirait. Très bien. Kaori tournait alors au détour d’une ruelle, avant de se retrouver devant la compagnie, l’immeuble de l’Easter. Une ruelle étroite et sombre, comme l’était encore ce qui se profilait devant elle, un vrai labyrinthe qui n’avait plus de secret pour l’adolescente. Ces rues, elle les connaissait si bien, elle en avait passé du temps, continuant lentement son chemin ses yeux se posaient sur les murs, sur le sol, en quête d’un rien, juste par occupation, par précaution peut être également. D’ailleurs, elle sentait l’oppression disparaitre comme si plus rien, mis à part elles deux. La présence les avait quitté ? Hm, c’était étrange, mais bon. La noirceur des lieux y était peut être aussi pour quelque chose et ici, elle était maître de tout ce qui pouvait se passer. Pour cause qu’elle était bien placée, hautement dans la hiérarchie. Songeant à tout cela, elle leva les yeux au ciel de nouveau, voyant la lune de sa rondeur lui indiquer le chemin le plus rapide à prendre. Elle ferait probablement une escale avant d’aller à sa demeure, au bar bien sur. Bien que avec la chanteuse, ce n’était peut être pas conseillé de la conduire dans un tel lieu. Kaori devrait y réfléchir.
* Il va pleuvoir…*
Mais ce n'était qu'un détail, ce n'était pas bien grave. Sentant doucement la tête de Misaki glisser le long de son épaule, jetant un bref coup d’œil, elle voyait bien que celle-ci avait succombé aux bras de Morphée. C’était mieux ainsi dans son sommeil, elle oublierait la douleur de ses blessures. Dans ce monde qui n’appartenait qu’à sa personne. Dans l’ombre la silhouette agile de Kaori s’animait jusqu’à son appartement. Elle portait l’enfant jusqu’à chez elle. Ouvrant la porte, elle se dirigeait rapidement vers sa chambre. L’appartement de Kaori n’était pas des plus beaux, des plus luxueux. Mais il était convenable quand on savant d’où elle venait. Allumant la faible lumière de sa chambre. Elle déposait avec tendresse le corps de la petite chanteuse sur le lit. Elle avait prit soin de tirer la couette, les drapes pour l’installer confortablement. La jeune femme remarqua qu’elle n’avait plus ses attributs cornus, hm, perdus en route ? Non. Mais peu importe. Ce n’était pas le point le plus important de la soirée. Observant vaguement la peau de la fillette, aucune blessure n’était apparente. Mis à part un ou deux bleus qui commençaient à marquer sa peau. Kaori verrait tout cela quand elle serait de nouveau éveillée. Pour l’instant, elle savait juste qu’elle lui donnerait un comprimé contre la douleur. Pour le reste, elle aviserait le moment venu, elle avait une grande variété de produit de soin quoi qu’il arrivait, elle n’en manquait pas. Mamoru était là aussi, si c’était plus grave…
Elle quitta la pièce en éteignant, passant son doigt sur l’interrupteur. La demoiselle Keiichi alla à la fenêtre de sa cuisine et regardant maintenant la pluie qui martelait la vitre, le temps était vraiment instable. A peine avait-elle eu le temps de se poser sur une chaise, en frappa à la porte. Rapidement, elle se déplaça jusqu’à sa porte et entrouvrit, en laissant la chaine en fer massif. Son regard étonné trouvait celui de son ami, visiblement bien amoché. Il lui demandait d’ouvrir. Ce qu’elle fit. Il entra alors, et se mit sur le canapé, tenant son cou ensanglanté d’une main fébrile. Qu’est-ce qu’il avait bien pu faire encore, pour se mettre dans un tel état. Sortant ce qu’il fallait, Kaori s’assit près de lui et poussa sa main pour contraster l’étendue des dégâts. Elle lui murmurait en scrutant la plaie puis en dirigeant son regard vers ses yeux sombres qui venaient à elle, qu’elle n’était pas seule se soir, elle lui expliquait alors ce qui c’était passé. Tout en le soignant dans les plus brefs délais. Une fois que c’était fait, il la remercia et se leva. Ouvrant un peu la fenêtre du salon, il alluma une cigarette en lui demandant sincèrement :
" Keiichi, ça va ? "
Il se doutait qu’il y avait quelque chose qui la chagrinait, enfin pas dans le sens attrister. Dans le fait qu’il la sentait un peu différente ce soir. Voyant surement son air songeur. Elle lui affirma que tout allait bien, et elle se détachait du canapé pour aller ranger ce qu’elle avait sortit dans la salle de bain, à quelques pas de là. Le laissant seul, il était ici, chez lui. C’était un peu le cas, et il n’était pas rare qu’il vienne y dormir. Rangeant donc ce qu’elle avait dans les mains, dans l’autre pièce, un bruit s’annonçait, la porte de la chambre s’ouvrait alors. Kaori n’en savait rien vu qu’elle se trouvait encore dans l’autre salle. Mais Mamoru, expirant la fumée de sa cigarette, fit volte face, pour voir se qui se tramait dans son dos…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
Misaki se réveilla. Elle était dans un lit sous des couvertures. La pénombre l'entourait et l'empêcher de voir exactement où elle se trouvait. La jeune chanteuse se releva légèrement et se retrouva en position assise dans un lit qui n'était pas le sien. La brune était surprise d'avoir retrouvé l'usage de ses membres et pour vérifier qu'elle ne rêvait pas, elle se mordit le poignet droit ... Ca lui fit mal et ainsi, elle avait la certitude d'être bien éveillée. La chanteuse bougea ainsi tous ses membres et elle ne ressentait aucune douleur, ce qu'elle trouvait étrange. La jeune fille se leva sans trop de difficultés et elle palpa chacun de ses membres avec sa main droite. A chaque fois qu'elle appuyait sur une partie de son corps, ça lui fesait mal, elle devait donc avoir plein de bleus à cause de ces fichus oeufs X. Une lumière s'échappait du bas d'un des murs de la pièce, enfin si c'était vraiment un mur. Elle avança lentement vers cette petite lumière et palpa ce qui était au dessus de ce rayon lumineux. En fait, ce n'était pas un mur mais la porte. La collégienne remarqua qu'elle était déchaussée [Si elle ne l'est pas dis le moi que j'édit !], elle se dit que son hôte l'avait déchaussée avant de la mettre dans le lit ce qui était tout à fait logique ... La chanteuse entendit des pas et le grincement d'une porte qui s'ouvre ... Puis un silence se fit, silence qu'elle trouvait plutôt étrange, qui avait pu entrer ? Bon, en même temps, ce n'était pas trop ses affaires mais bon elle voulait quand même savoir qui était dans cette demeure à part elle et son hôte. Puis, trois mots raisonnèrent dans la pièce apparemment vide. La personne qui était entrée était donc un garçon et un proche de la fille aux cheveux bleus vu qu'elle l'avait laissé entrer et qu'il lui parlait plutôt familièrement. Keiichi ... Et dire qu'elle ne pouvait même pas appeler cette jeune fille par son nom car ça attirerait des soupçons, enfin, c'est ce qu'elle pensait. Comment devait-elle l'appeler alors ? Mademoiselle ? Peut être ... Mais Misaki ne se sentait pas capable d'une telle courtoisie ... La chanteuse écoutait ce silence pesant avec, comme bruit de fond, la pluie qui tombait violemment sur le sol déjà détrempé qu'était la rue. Que faire ? Elle n'allait pas rester dans cette chambre, dans ce noir, étrenellement ! Donc elle se résolut à ouvrir cette fichu porte ! Elle la palpa afin de trouver la poignée car ouvrir une porte sans utiliser la poignée n'est pas chose aisée ... Elle avait fini par trouver la poignée. Elle entrouvrit la porte en disant d'un ton qu'à moitié éveillé et en frottant un de ses yeux de sa main libre :
-Kaori ?
Puis elle vit ce garçon que Kaori avait du mettre au courant de la présence de la chanteuse. Elle le regarda de son oeil mi-clos qu'elle venait de frotter. Elle ne savait pas trop ce qu'elle devait faire dans une position aussi embarassante ... En cet instant embarassant, elle eut une pensée pour son shugo chara. La pauvre Soyuki ne savait pas dans quoi sa maîtresse l'avait entrainée ... Elle l'imaginait bien dans cette vieille maison prête à s'écrouler au moindre coup de vent terrorisée par la tronçonneuse de son propriétaire mais, elle ne s'inquiétait pas pour une raison qui gacherait tout le suspence donc que je n'écrirait pas avec ma fine plume d'oie. Intérieurement elle était légèrement morte de rire à cause de ce sale coup sanglant fait à son shugo chara ... Mais pourtant elles avaient recherché des choses ensemble sur cette personne donc la petite diablesse ne devrait pas être surprise ... Enfin elle ne DEVRAIT pas l'être ...
Soyuki était morte de peur. Elle voyait des ombres sur ce qu'elle pouvait imaginer comme une chambre. Elle préférait ne pas aller à la rencontre de ce fou que plus tard donc elle se promena dans la maison enfin, le verbe "fuir" serait légèrement plus approprié mais bon ... Elle regarda dans le couloir qui était à sa droite, il a avait une pièce dont s'échappait une lumière. Intriguée, la petite diablesse commença à avancer vers ce rayon lumineux. Elle entra dans une pièce éclairée par un nombre énorme de bougies. Il y avait des toiles recouvertes d'un liquide rouge réparti d'une façon pour le moins inhabituelle. En fait, on aurait plutôt dit que ces tableaux avaient été éclaboussés de ce liquide rouge. Un psycopathe tuant ses victimes avec une tronçonneuse et avec des toiles autour ? Ca paraissait étrange mais bon, il y en a des fous de nos jours ... Dans un coin de la pièce il y avait une table sur laquelle était posée une assiette et des couverts. Dans l'assiette, il y avait une chose rose, Soyuki se rapprocha afin de découvrir ce qu'était ce truc coloré d'un mélange de rouge et de blanc. C'était ... Soyuki fut tellement horifiée par ce que ses petits yeux de shugo chara voyaient qu'elle les ferma. Elle avait aperçu une CERVELLE ! Elle .. Elle était dans la maison d'un psycopathe tuant ses victime à l'aide d'une tronçonneuse et mangeant leur cervelle au diner ! Sa maîtresse était-elle devenue folle de l'y avoir envoyé ? Le shugo chara commença à penser à cette hypothèse ... Ou bien alors, la chanteuse aurait pu vouloir se débarasser de son shugo chara !? Si Soyuki sortait vivante de cette maison, Misaki allait le sentir passer ...
-Kaori ?
Puis elle vit ce garçon que Kaori avait du mettre au courant de la présence de la chanteuse. Elle le regarda de son oeil mi-clos qu'elle venait de frotter. Elle ne savait pas trop ce qu'elle devait faire dans une position aussi embarassante ... En cet instant embarassant, elle eut une pensée pour son shugo chara. La pauvre Soyuki ne savait pas dans quoi sa maîtresse l'avait entrainée ... Elle l'imaginait bien dans cette vieille maison prête à s'écrouler au moindre coup de vent terrorisée par la tronçonneuse de son propriétaire mais, elle ne s'inquiétait pas pour une raison qui gacherait tout le suspence donc que je n'écrirait pas avec ma fine plume d'oie. Intérieurement elle était légèrement morte de rire à cause de ce sale coup sanglant fait à son shugo chara ... Mais pourtant elles avaient recherché des choses ensemble sur cette personne donc la petite diablesse ne devrait pas être surprise ... Enfin elle ne DEVRAIT pas l'être ...
Soyuki était morte de peur. Elle voyait des ombres sur ce qu'elle pouvait imaginer comme une chambre. Elle préférait ne pas aller à la rencontre de ce fou que plus tard donc elle se promena dans la maison enfin, le verbe "fuir" serait légèrement plus approprié mais bon ... Elle regarda dans le couloir qui était à sa droite, il a avait une pièce dont s'échappait une lumière. Intriguée, la petite diablesse commença à avancer vers ce rayon lumineux. Elle entra dans une pièce éclairée par un nombre énorme de bougies. Il y avait des toiles recouvertes d'un liquide rouge réparti d'une façon pour le moins inhabituelle. En fait, on aurait plutôt dit que ces tableaux avaient été éclaboussés de ce liquide rouge. Un psycopathe tuant ses victimes avec une tronçonneuse et avec des toiles autour ? Ca paraissait étrange mais bon, il y en a des fous de nos jours ... Dans un coin de la pièce il y avait une table sur laquelle était posée une assiette et des couverts. Dans l'assiette, il y avait une chose rose, Soyuki se rapprocha afin de découvrir ce qu'était ce truc coloré d'un mélange de rouge et de blanc. C'était ... Soyuki fut tellement horifiée par ce que ses petits yeux de shugo chara voyaient qu'elle les ferma. Elle avait aperçu une CERVELLE ! Elle .. Elle était dans la maison d'un psycopathe tuant ses victime à l'aide d'une tronçonneuse et mangeant leur cervelle au diner ! Sa maîtresse était-elle devenue folle de l'y avoir envoyé ? Le shugo chara commença à penser à cette hypothèse ... Ou bien alors, la chanteuse aurait pu vouloir se débarasser de son shugo chara !? Si Soyuki sortait vivante de cette maison, Misaki allait le sentir passer ...
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
" Non pas exactement. "
Le jeune homme se tournait alors complètement vers Misaki, elle pouvait maintenant observer le grand homme qu’il était, ses yeux foncés sur la petite demoiselle. Il tournait la tête légèrement pour cacher à son regard innocent la plaie qui surplombait son cou, bien que soignée, celle-ci restait visible par le sang écarlate, qui avait glissé le long de son cou pour aller tacheter vivement sa chemise blanche, entre-ouverture, le col détaché de son bouton en tous les cas. Portant de nouveau la cigarette à ses lèvres, sur sa bouche se distinguait un sourire, il était plein de charme certes, il était aussi assez intimidant. Soufflant longuement la fumée vers l’extérieur, il finissait rapidement sa cigarette, s’en débarrassant, il ferma de nouveau la fenêtre pour éviter que le froid s’empare de la pièce. Et même il pleuvait tellement, laisser une fenêtre ouverte par ce temps n’était pas des plus agréable. Il faisait en plus de cela nuit, il tira les rideaux d’un geste vif. Même si l’obscurité était environnante, il sentait le besoin que ces tissus couvrent les vitres ce soir. Ne sait-on jamais. Il fit alors, un peu vers la fillette, toujours aussi souriant, il est clair qu’on ne pouvait pas lui enlever cela. Un sourire, particulier quand on savait, mais plaisant pour les ignorants. Le jeune homme l’observait longuement. Amusé, il lui disait :
" Mamoru. "
Il ne donnait pas son nom de famille, après tout, ce n’était qu’une enfant, et puis il ne la reverrait pas, enfin si l’occasion se présentait de nouveau, peut être prendrait-il l’initiative de lui dire. Mais en attendant, c’était suffisant. Vu son jeune âge, il n’allait pas l’embêter pour des formules de politesse, elle apprendrait seule avec le temps. Mamoru s’approchait, scrutant toujours la jeune fille, il remarquait sur sa peau, certaines blessures de ses yeux attentifs aux maux. Il était principalement connu pour ses grands soins dont la qualité était plutôt surprenante pour une personne qui avait apprit sur le tas, sans enseignement particulier, sans étude. Une sorte de don. Le jeune homme occupait d’ailleurs une place important dans la hiérarchie, en dessous de Kaori évidement, bien que bien placé, il en supportait les frais, la douleur qui s’acheminait sur sa nuque lui rappelait durement. Mais souffrir physiquement, il en avait l’habitude. Tout comme la demoiselle Keiichi, lui était un fils d’un grand mafieux, son père portait fut jadis un temps un titre honorifique presque aussi important que celui de Kaori. Mais l’arborescence de cette organisation, était complexe et difficile, d’où le peu de détail.
Enfin, il croisait les bras devant Misaki, la jeune femme toujours dans la salle de bain, n’avait pas entendu l’appel de la jeune chanteuse, ce n’était pas plus mal, car celle-ci avait annoncé son prénom cependant Kaori ne s’était point présenté à elle, à la rigueur la petite aurait pu connaitre son nom de famille, Keiichi puisque Mamoru la désignait ainsi. Mais elle se dirigeait vers le salon, et passant par le couloir, elle voyait se dessiner la scène. Arrivant en silence, elle se dirigeait vers eux, Misaki immobile, comme sortit de nulle part, l’adolescente s’interposait lentement entre les deux, et posant l’une de ses mains sur son torse, elle le poussa légèrement, il fit alors un pas en arrière, sans perdre l’équilibre, décroisant simplement les bras. Fixant son regard, elle lui disait :
" Ne va pas lui faire peur. "
Il lui sourit et alla se poser sur le canapé, comme si de rien était. Le brun ferma lentement les yeux et passa doucement sa main dans son cou en soupirant longuement. Il devait se remémorer la soirée qui n’avait pas été des plus satisfaisantes, quand ça se soldait par le sang, il est clair que ça n’avait rien d’encourageant. Kaori elle, se tournait alors vers Misaki. Qui était sortit du lit sans grande difficulté, peut être qu’elle avait juste besoin de s’allonger quelque instant. Enfin, la petite allait mieux et c’était le principal elle tenait debout. Cette dernière n’avait pas beaucoup de dormi, peut être que le sommeil fut une conséquence directe, du choc qu’elle avait du subir. Bref, la jeune femme la regarda de nouveau, son regard parcourant ses membres, des bleus se laissaient voir, mais sinon, aucunes plaies ouvertures, ni autres choses visibles. Son état ne se dégradait donc pas. Mais désirant savoir, si elle continuait de ressentir un mal ensommeillé, non visible à ses yeux, elle lui demandait alors, restant à sa place :
" Vous sentez-vous mieux ? "
Un silence se faisait sentir de tous les protagonistes, en attendant la réponse de Misaki…
[ C'est un peu plus court, je m'excuse, mais j'arrive pas à me concentrer >< ]
Le jeune homme se tournait alors complètement vers Misaki, elle pouvait maintenant observer le grand homme qu’il était, ses yeux foncés sur la petite demoiselle. Il tournait la tête légèrement pour cacher à son regard innocent la plaie qui surplombait son cou, bien que soignée, celle-ci restait visible par le sang écarlate, qui avait glissé le long de son cou pour aller tacheter vivement sa chemise blanche, entre-ouverture, le col détaché de son bouton en tous les cas. Portant de nouveau la cigarette à ses lèvres, sur sa bouche se distinguait un sourire, il était plein de charme certes, il était aussi assez intimidant. Soufflant longuement la fumée vers l’extérieur, il finissait rapidement sa cigarette, s’en débarrassant, il ferma de nouveau la fenêtre pour éviter que le froid s’empare de la pièce. Et même il pleuvait tellement, laisser une fenêtre ouverte par ce temps n’était pas des plus agréable. Il faisait en plus de cela nuit, il tira les rideaux d’un geste vif. Même si l’obscurité était environnante, il sentait le besoin que ces tissus couvrent les vitres ce soir. Ne sait-on jamais. Il fit alors, un peu vers la fillette, toujours aussi souriant, il est clair qu’on ne pouvait pas lui enlever cela. Un sourire, particulier quand on savait, mais plaisant pour les ignorants. Le jeune homme l’observait longuement. Amusé, il lui disait :
" Mamoru. "
Il ne donnait pas son nom de famille, après tout, ce n’était qu’une enfant, et puis il ne la reverrait pas, enfin si l’occasion se présentait de nouveau, peut être prendrait-il l’initiative de lui dire. Mais en attendant, c’était suffisant. Vu son jeune âge, il n’allait pas l’embêter pour des formules de politesse, elle apprendrait seule avec le temps. Mamoru s’approchait, scrutant toujours la jeune fille, il remarquait sur sa peau, certaines blessures de ses yeux attentifs aux maux. Il était principalement connu pour ses grands soins dont la qualité était plutôt surprenante pour une personne qui avait apprit sur le tas, sans enseignement particulier, sans étude. Une sorte de don. Le jeune homme occupait d’ailleurs une place important dans la hiérarchie, en dessous de Kaori évidement, bien que bien placé, il en supportait les frais, la douleur qui s’acheminait sur sa nuque lui rappelait durement. Mais souffrir physiquement, il en avait l’habitude. Tout comme la demoiselle Keiichi, lui était un fils d’un grand mafieux, son père portait fut jadis un temps un titre honorifique presque aussi important que celui de Kaori. Mais l’arborescence de cette organisation, était complexe et difficile, d’où le peu de détail.
Enfin, il croisait les bras devant Misaki, la jeune femme toujours dans la salle de bain, n’avait pas entendu l’appel de la jeune chanteuse, ce n’était pas plus mal, car celle-ci avait annoncé son prénom cependant Kaori ne s’était point présenté à elle, à la rigueur la petite aurait pu connaitre son nom de famille, Keiichi puisque Mamoru la désignait ainsi. Mais elle se dirigeait vers le salon, et passant par le couloir, elle voyait se dessiner la scène. Arrivant en silence, elle se dirigeait vers eux, Misaki immobile, comme sortit de nulle part, l’adolescente s’interposait lentement entre les deux, et posant l’une de ses mains sur son torse, elle le poussa légèrement, il fit alors un pas en arrière, sans perdre l’équilibre, décroisant simplement les bras. Fixant son regard, elle lui disait :
" Ne va pas lui faire peur. "
Il lui sourit et alla se poser sur le canapé, comme si de rien était. Le brun ferma lentement les yeux et passa doucement sa main dans son cou en soupirant longuement. Il devait se remémorer la soirée qui n’avait pas été des plus satisfaisantes, quand ça se soldait par le sang, il est clair que ça n’avait rien d’encourageant. Kaori elle, se tournait alors vers Misaki. Qui était sortit du lit sans grande difficulté, peut être qu’elle avait juste besoin de s’allonger quelque instant. Enfin, la petite allait mieux et c’était le principal elle tenait debout. Cette dernière n’avait pas beaucoup de dormi, peut être que le sommeil fut une conséquence directe, du choc qu’elle avait du subir. Bref, la jeune femme la regarda de nouveau, son regard parcourant ses membres, des bleus se laissaient voir, mais sinon, aucunes plaies ouvertures, ni autres choses visibles. Son état ne se dégradait donc pas. Mais désirant savoir, si elle continuait de ressentir un mal ensommeillé, non visible à ses yeux, elle lui demandait alors, restant à sa place :
" Vous sentez-vous mieux ? "
Un silence se faisait sentir de tous les protagonistes, en attendant la réponse de Misaki…
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Dernière édition par Kaori Keiichi le Jeu 28 Jan - 22:36, édité 1 fois
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
L'ami de l'hôte de Misaki s'était à présent tourné vers la chanteuse. Avant qu'il n'eut le réflexe de cacher sa blessure, la jeune fille avait pu apercevoir l'horrible marque. Etait-elle étonnée ou même effrayée ? Rien de tout cela ... Elle admirait plutôt cette belle blessure bien soignée ... C'était bien vrai qu'elle était gentille et tout le blabla sur sa générosité mais elle avait une autre personnalité un peu trop exprimée ... D'ailleurs, depuis qu'elle a son shugo chara, elle l'exprime plus. En fait, son autre personnalité est perverse et ce n'est pas ce que vous pensez ! Perverse dans le sens d'aimer faire le Mal pas dans un sens qui vous a tout de suite sauté aux yeux ... D'ailleurs cette personnalité, autre fois caché dans le coeur de Misaki, s'est révélée avec l'apparition de Soyuki mais bon, je ne vous en dirai pas plus ... Le jeune homme porta la cigarette qu'il tenait à ses lèvres qui bientôt, exprimèrent un sourire.
Le garçon avait jeté sa cigarette et avait fermé précipitemment la fenêtre (ça rime !). Son sourire avait quelque chose d'étrange mais quoi ... La jeune fille ne saurait le décrire mais c'était vraiment étrange dans un sourire de trouver une nuance telle. D'un ton amusé, il lui avait jeté son prénom à la figure et d'ailleurs elle s'en fichait royalement ... Pourquoi que son prénom ? Pourquoi pas son nom de famille après tout ? Ben non, il lui a juste dit son prénom et d'ailleurs, elle trouvait cela étrange mais bon ... Elle s'aperçut qu'elle avait fait deux erreurs : elle avait jeté les formules de politesse à la poubelle ... Au diable ces fichues formules ! Et elle avait aussi prononcé le prénom de Kaori alors qu'elle était censée ne pas le connaître ... Bah, tant pis, elle ne pouvait pasd remonter le temps et puis elle avait eu de la chance : Kaori aurait pû être juste à côté !
Kaori était à présent dans la pièce et Misaki put enfin voir son visage en face. C'est qu'en étant sur son dos c'était très pratique pour voir vraiment son visage ... C'était une belle jeune femme mais elle avait une horrible histoire gravée dans ses yeux. Intérieurement, rien qu'en voyant dans ses yeux et avec les petites recherches qu'elle avait faites sur elle, la chanteuse la plagnait même si ce qu'elle même avait enduré n'était pas tout rose non plus ... Mais qui est tout blanc sur cette planète de bandits de tueurs et j'en passe ! Tout le monde n'est pas tout noir même si des gens ont l'esprit le plus pervers au monde ... (et je ne parle pas de ce que vous voyez ^^") Son hôte lui avait demandé si elle se sentait mieux ... Ben, oui, elle se sentait mieux, elle bougeait bouger c'était déjà bien ... Par contre pour ce qui était de la douleur elle avait toujours aussi mal, enfin c'était ce qu'elle pensait avec sa faible perception ... Donc, d'un air tout aussi naturel qu'elle vous aurait dit que la Terre était ronde, elle dit :
-Oui, je vais beaucoup mieux merci ...
Retournons du côté de notre cher shugo chara aventurier qui s'est aventurée dans une maison pour le moins inquiétante ...
Soyuki avait quitté cette odieuse pièce dans laquelle il y avait des restes qu'on pouvait imaginer humains et elle se dirigea vers la porte de cette maison de fou. Les marches grincèrent à nouveau sous le poids du shugo chara mais cette fois, l'homme qui "jouait" avec sa belle tronçonneuse complètement tachée de liquide rouge était allé à la porte de cette pièce de l'horreur. Elle avait un regard légèrement inquiet mais, en même temps, s'il était vraiment un psycopathe qu'il ait peur n'était pas si étonant que ça ... Le shugo chara eut le réflexe de se cacher qu'elle avait acquis pendant ses longs espionnages avec sa maîtresse. L'homme dit d'une voix dérangée qu'il n'y avait personne et que c'était bon ... Il avait peut être peur de l'arrivée éventuelle de la police ...
La porte était grande ouverte et elle laissait entrer le froid de la nuit dans la maison mal chauffée. Une fois sortie, le shugo chara s'abrita sous quelque chose qui lui semblait être un arbre diforme. Elle se demandait où en était sa maîtresse mais bon, elle, elle devait terminer sa mission de ... De quoi déjà ? Et bien, elle ne savait même plus ... Elle allait quand même mener l'enquête sur cette espèce de fou ! Mais bon, si elle se rappelait son objectif, ça serait légèrement mieux ... Un bruit de quelque chose qui tombe se fesait entendre dans l'étrange demeure. Le shugo chara regarda légèrement dans cette enfer hanté et elle vit un truc tomber sur le sol devant l'escalier. Elle ne distinguait pas très bien cette forme irrégulière ... Elle se rapprocha un peu et elle analysa avec horreur l'horrible chose qui avait été trempée dans un liquide rouge ... C'était une oreille HUMAINE ! Alors c'était vraiment un psycopathe là haut qui découpait vraiment les cadavres souillés de sang en petit morceaux avec sa tronçonneuse ! La petite rousse n'avait plus aucun doute sur le fait que sa maîtresse soit devenue complètement folle pour l'envoyer dans un tel endroit ...
Le garçon avait jeté sa cigarette et avait fermé précipitemment la fenêtre (ça rime !). Son sourire avait quelque chose d'étrange mais quoi ... La jeune fille ne saurait le décrire mais c'était vraiment étrange dans un sourire de trouver une nuance telle. D'un ton amusé, il lui avait jeté son prénom à la figure et d'ailleurs elle s'en fichait royalement ... Pourquoi que son prénom ? Pourquoi pas son nom de famille après tout ? Ben non, il lui a juste dit son prénom et d'ailleurs, elle trouvait cela étrange mais bon ... Elle s'aperçut qu'elle avait fait deux erreurs : elle avait jeté les formules de politesse à la poubelle ... Au diable ces fichues formules ! Et elle avait aussi prononcé le prénom de Kaori alors qu'elle était censée ne pas le connaître ... Bah, tant pis, elle ne pouvait pasd remonter le temps et puis elle avait eu de la chance : Kaori aurait pû être juste à côté !
Kaori était à présent dans la pièce et Misaki put enfin voir son visage en face. C'est qu'en étant sur son dos c'était très pratique pour voir vraiment son visage ... C'était une belle jeune femme mais elle avait une horrible histoire gravée dans ses yeux. Intérieurement, rien qu'en voyant dans ses yeux et avec les petites recherches qu'elle avait faites sur elle, la chanteuse la plagnait même si ce qu'elle même avait enduré n'était pas tout rose non plus ... Mais qui est tout blanc sur cette planète de bandits de tueurs et j'en passe ! Tout le monde n'est pas tout noir même si des gens ont l'esprit le plus pervers au monde ... (et je ne parle pas de ce que vous voyez ^^") Son hôte lui avait demandé si elle se sentait mieux ... Ben, oui, elle se sentait mieux, elle bougeait bouger c'était déjà bien ... Par contre pour ce qui était de la douleur elle avait toujours aussi mal, enfin c'était ce qu'elle pensait avec sa faible perception ... Donc, d'un air tout aussi naturel qu'elle vous aurait dit que la Terre était ronde, elle dit :
-Oui, je vais beaucoup mieux merci ...
Retournons du côté de notre cher shugo chara aventurier qui s'est aventurée dans une maison pour le moins inquiétante ...
Soyuki avait quitté cette odieuse pièce dans laquelle il y avait des restes qu'on pouvait imaginer humains et elle se dirigea vers la porte de cette maison de fou. Les marches grincèrent à nouveau sous le poids du shugo chara mais cette fois, l'homme qui "jouait" avec sa belle tronçonneuse complètement tachée de liquide rouge était allé à la porte de cette pièce de l'horreur. Elle avait un regard légèrement inquiet mais, en même temps, s'il était vraiment un psycopathe qu'il ait peur n'était pas si étonant que ça ... Le shugo chara eut le réflexe de se cacher qu'elle avait acquis pendant ses longs espionnages avec sa maîtresse. L'homme dit d'une voix dérangée qu'il n'y avait personne et que c'était bon ... Il avait peut être peur de l'arrivée éventuelle de la police ...
La porte était grande ouverte et elle laissait entrer le froid de la nuit dans la maison mal chauffée. Une fois sortie, le shugo chara s'abrita sous quelque chose qui lui semblait être un arbre diforme. Elle se demandait où en était sa maîtresse mais bon, elle, elle devait terminer sa mission de ... De quoi déjà ? Et bien, elle ne savait même plus ... Elle allait quand même mener l'enquête sur cette espèce de fou ! Mais bon, si elle se rappelait son objectif, ça serait légèrement mieux ... Un bruit de quelque chose qui tombe se fesait entendre dans l'étrange demeure. Le shugo chara regarda légèrement dans cette enfer hanté et elle vit un truc tomber sur le sol devant l'escalier. Elle ne distinguait pas très bien cette forme irrégulière ... Elle se rapprocha un peu et elle analysa avec horreur l'horrible chose qui avait été trempée dans un liquide rouge ... C'était une oreille HUMAINE ! Alors c'était vraiment un psycopathe là haut qui découpait vraiment les cadavres souillés de sang en petit morceaux avec sa tronçonneuse ! La petite rousse n'avait plus aucun doute sur le fait que sa maîtresse soit devenue complètement folle pour l'envoyer dans un tel endroit ...
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
Elle remarquait étrangement le regard changeant de Misaki. Chose qui attira fortement son attention, sans qu’elle ne puisse de suite dire ce qui l’interpellait dans ses yeux alors que la petite chanteuse la scrutait. Kaori se retourna lors d’un instant vers Mamoru, lui lançant un bref regard, se dernier sortait alors quelque chose de sa poche, elle ne fit pas attention à ce que cela fut et elle reportait ses yeux sévères sur la jeune fille. Il y avait quelque chose d’étrange, mais elle n’aurait su que dire, ce que ça pouvait être. Son regard avec une once de pitié, de compassion ? Une humanité à son égard qui la dérangeait comme si elle venait à la plaindre, comme si elle connaissait un petit fragment de son histoire. Tout simplement impossible ! Raisonnait-elle pour se rassurer. Enfin, il faut dire qu’elle était tellement épiée, il fallait se méfier de beaucoup de chose, de personne. Mais Misaki, ne semblait pas encore une menace pour eux, Kaori et Mamoru. Elle aurait peut être pu le devenir, car peut être qu’on la sous-estimait un peu trop. Ne laissant rien paraitre, elle n’aurait juste à lui conseiller de ne pas prendre des risques inutiles, car si la brunette savait vraiment à qui elle avait à faire, elle serait sûrement partit depuis bien longtemps. Elle ne devait pas tout savoir, si elle savait, ce n’était que supposition, il pouvait avoir mile autres raisons. Kaori lui demandait alors :
" A quoi pensez-vous ? "
Avec un ton légèrement interrogatif, un peu d’intonation dans sa voix, elle avait écouté la réponse de la jeune femme, quelques secondes auparavant, qu’elle lui avouait qu’elle se sentait bien mieux. De l’autre coté de la pièce Mamoru se levait pour aller à la fenêtre, tirant doucement les rideaux de quelques centimètres pour observer discrètement se qui se tramait à l’extérieur. Mesurant ainsi l’ampleur du dégât, de cette sordide soirée, pour le moment, le quartier restait calme, en apparence. Bien évidemment, il était en sécurité ici, dans la demeure de Kaori, mais il fallait craindre une montée quand même de se ennemis, qui ignoraient sûrement que ce fut chez elle et non une autre. Il ne valait mieux pas qu’ils débarquent, n’oublions point que Misaki était là aussi. Or la situation aurait été difficile à expliquer à cette dernière et de plus, elle devait rester ignorante sur ce sujet. Sans attendre de réponse de sa part, elle allait prés de Mamoru pour lui murmurer quelques mots à l’oreille. Que personne n’aurait pu entendre même avec une excellente ouïe, ses lèvres venaient si prés de son lobe, ses mots étaient à peine prononcés, elle lui dévoilait quelques paroles presque insonores, ainsi que sa chevelure venait cacher son visage, il était impossible de voir qu’elle lui parlait de loin.
Elle décollait doucement son visage si proche du sien, et il regardait Misaki en se retournant, tandis que Kaori refermait les rideaux, la demoiselle marchait ensuite dans la pièce et voilà la petite immobile, elle se doutait qu’elle ne serait pas forcement à l’aise dans un environ qui ne lui convenait pas, qu’elle ne connaissait pas. Avec un homme des plus curieux soit-il et la descendante Keiichi, une personne des plus énigmatiques également. Peut-être était-elle gênée ? Ce n’était pas impossible, et cela se justifierait largement. Enfin, Mamoru attrapa son téléphone, passait autour de son oreille un kit dit de main libre, puis il se déplaça dans la cuisine, près d’une autre fenêtre qui donnait sur une ruelle encore plus sombre, que peu éclairée il était difficile de voir ce qui s’y passait, à moins d’avoir vraiment de très bons yeux. Suite à un numéro de téléphone composé, une tonalité plus tard, il restait dos à Kaori et caché de la vue de Misaki, accoudé au rebord de la fenêtre, un air certes très décontracté, sur son visage se lisait alors une certaine amertume, les éléments de la soirée qui refaisait surface. Une voix au bout du fil s’adressa alors à lui, aucune question, aucune autre formule, rien, un court silence, avant qu’il ne demande d’une voix plutôt dure à son interlocuteur :
" Faîtes une recherche. "
Il s’adressait à plusieurs personnes en réalité par son biais. Alors sur qui, pourquoi, comment ? Pourraient-ils savoir ce qu’il fallait faire ? Ces subordonnés étaient les meilleurs, et en bas, sous un lampadaire le seul de toute l’avenue, se dessinait une ombre, qui distinguait bien, qui hochait maintenant la tête, avant de se laisser de nouveau glisser dans la pénombre. Il rangea ses affaires et retournait alors sur le canapé en soupirant longuement et en regardant le reste de l’appartement. Kaori regardait elle de nouveau Misaki, qui fut certes un peu témoin de cette scène, elle ne pourrait en tirer des conclusions précises. Hm, bien que. L’adolescente fermait alors les yeux avant de les rouvrir, la venue de Mamoru n’était pas en sa faveur dans cette histoire. Mais elle ne pouvait rien lui refuser et quand son visage venait oser se tourner vers lui, les lèvres du jeune homme se dressaient un large et sincère sourire, auquel, elle ne pourrait répondre pour le moment. Son attention sur Misaki alors, sa voix venait s’élever dans le reste de la pièce, elles étaient assez loin l’une de l’autre, comparé à précédemment, elle lui disait :
" Faites comme chez vous, si vous avez soif ou faim, vous pouvez vous servir. Ne vous inquiétez pas, de même si vous voulez vous allongez ou autre. "
Mamoru regardait lui aussi Misaki, en souriant comme auparavant et en hochant positivement la tête. Elle était bien sur libre aussi de partir si elle le désirait…
[ Désolé du temps de réponse, j’ai eue des problèmes cette semaine >< ]
[ Je corrige ce soir aussi car je dois y aller aussi T_T ]
" A quoi pensez-vous ? "
Avec un ton légèrement interrogatif, un peu d’intonation dans sa voix, elle avait écouté la réponse de la jeune femme, quelques secondes auparavant, qu’elle lui avouait qu’elle se sentait bien mieux. De l’autre coté de la pièce Mamoru se levait pour aller à la fenêtre, tirant doucement les rideaux de quelques centimètres pour observer discrètement se qui se tramait à l’extérieur. Mesurant ainsi l’ampleur du dégât, de cette sordide soirée, pour le moment, le quartier restait calme, en apparence. Bien évidemment, il était en sécurité ici, dans la demeure de Kaori, mais il fallait craindre une montée quand même de se ennemis, qui ignoraient sûrement que ce fut chez elle et non une autre. Il ne valait mieux pas qu’ils débarquent, n’oublions point que Misaki était là aussi. Or la situation aurait été difficile à expliquer à cette dernière et de plus, elle devait rester ignorante sur ce sujet. Sans attendre de réponse de sa part, elle allait prés de Mamoru pour lui murmurer quelques mots à l’oreille. Que personne n’aurait pu entendre même avec une excellente ouïe, ses lèvres venaient si prés de son lobe, ses mots étaient à peine prononcés, elle lui dévoilait quelques paroles presque insonores, ainsi que sa chevelure venait cacher son visage, il était impossible de voir qu’elle lui parlait de loin.
Elle décollait doucement son visage si proche du sien, et il regardait Misaki en se retournant, tandis que Kaori refermait les rideaux, la demoiselle marchait ensuite dans la pièce et voilà la petite immobile, elle se doutait qu’elle ne serait pas forcement à l’aise dans un environ qui ne lui convenait pas, qu’elle ne connaissait pas. Avec un homme des plus curieux soit-il et la descendante Keiichi, une personne des plus énigmatiques également. Peut-être était-elle gênée ? Ce n’était pas impossible, et cela se justifierait largement. Enfin, Mamoru attrapa son téléphone, passait autour de son oreille un kit dit de main libre, puis il se déplaça dans la cuisine, près d’une autre fenêtre qui donnait sur une ruelle encore plus sombre, que peu éclairée il était difficile de voir ce qui s’y passait, à moins d’avoir vraiment de très bons yeux. Suite à un numéro de téléphone composé, une tonalité plus tard, il restait dos à Kaori et caché de la vue de Misaki, accoudé au rebord de la fenêtre, un air certes très décontracté, sur son visage se lisait alors une certaine amertume, les éléments de la soirée qui refaisait surface. Une voix au bout du fil s’adressa alors à lui, aucune question, aucune autre formule, rien, un court silence, avant qu’il ne demande d’une voix plutôt dure à son interlocuteur :
" Faîtes une recherche. "
Il s’adressait à plusieurs personnes en réalité par son biais. Alors sur qui, pourquoi, comment ? Pourraient-ils savoir ce qu’il fallait faire ? Ces subordonnés étaient les meilleurs, et en bas, sous un lampadaire le seul de toute l’avenue, se dessinait une ombre, qui distinguait bien, qui hochait maintenant la tête, avant de se laisser de nouveau glisser dans la pénombre. Il rangea ses affaires et retournait alors sur le canapé en soupirant longuement et en regardant le reste de l’appartement. Kaori regardait elle de nouveau Misaki, qui fut certes un peu témoin de cette scène, elle ne pourrait en tirer des conclusions précises. Hm, bien que. L’adolescente fermait alors les yeux avant de les rouvrir, la venue de Mamoru n’était pas en sa faveur dans cette histoire. Mais elle ne pouvait rien lui refuser et quand son visage venait oser se tourner vers lui, les lèvres du jeune homme se dressaient un large et sincère sourire, auquel, elle ne pourrait répondre pour le moment. Son attention sur Misaki alors, sa voix venait s’élever dans le reste de la pièce, elles étaient assez loin l’une de l’autre, comparé à précédemment, elle lui disait :
" Faites comme chez vous, si vous avez soif ou faim, vous pouvez vous servir. Ne vous inquiétez pas, de même si vous voulez vous allongez ou autre. "
Mamoru regardait lui aussi Misaki, en souriant comme auparavant et en hochant positivement la tête. Elle était bien sur libre aussi de partir si elle le désirait…
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[ Je corrige ce soir aussi car je dois y aller aussi T_T ]
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[(A vrai dire j'attendais ta réponse avec impatience ...) Et ne t'inquiète pas ^^ c'est très bien tout ça *O*]
En fait, Misaki en avait trouvé des choses sur Kaori mais elles étaient marquées dans son petit carnet qu'elle ne pouvait sortir en cet instant. Elle se demandait vraiment ce qu'elle avait bien pu trouver sur cette mystérieuse jeune fille ... La collégienne ne trouvait absolument pas ... Bah, elle n'aura qu'à ouvrir son carnet et chercher la bonen page ! Mais, comment trouver une excuse afin d'ouvrir ce fichu petit carnet ... Plusieurs hypothèses naquirent de l'esprit légèrement tordu de la chanteuse. En voici quelques unes : elle pouvait s'enfuir afin de regarder dans ce petit carnet bleu, elle pouvait aussi se précipiter comme une folle dans la chambre et regarder discrètement ou bien même, elle ne se précipitait pas dans la chambre mais, prétextant avoir besoin de repos, y retourner. La dernière hypothèse semblait moins stupide que les deux autres mais elle hésita quand même ... Kaori savait depuis le début qu'elle mentait alors serait-ce une bonne idée de lui mentir à nouveau ? La jeune fille afficha un air perplexe avant de se rendre compte qu'il faudrait peut être éventuellement néanmoins quoique, qu'elle réponde à la question de Kaori. Elle n'allait pas lui dire la vérité même si elle saurait qu'elle ment ... Ce n'était pas amusant de jouer avec les cartes visibles ! Donc autant les cacher à moitié ...
-Je ne pensais à rien de spécial ...
La collégienne avait vu la demoiselle Keiichi se rapprocher de son ami afin de lui dire quelque chose à l'oreille complètement inaudible. La chanteuse se demandait ce qu'elle avait bien pu lui dire ... Elle lui avait surement parlé de l'invité car elle sentait que Kaori savait qu'elle savait ! Ca fait beaucoup de "savait" tout ça ... Mamoru avait à présent son téléphone à l'oreille ... Qui est ce qu'il y avait au bout du fil ? Que lui disait-il ? Ces questions resteront sans réponses ... Enfin, pour le moment. La brune ne savait rien au sujet de Mamoru et elle n'aimait pas du totu cela ! Elle devrait approfondir des recherches peut être inexistantes ... Mais bon, il fallait qu'elle en sache plus sur ce mystérieux personnage. L'intuition de Misaki lui en disait long sur cet endroit et ces personnes ... Mais bon, ce n'était que de l'intuition et elle ne pouvait pas la suivre ! La question qu'elle s'était posée prédécemment revint hanter son esprit et elle finit par dire d'un ton pas plus inquiet que celui d'un enfant jouant avec ses jouets et aussi sûr de lui que celui qu'on emploie pour dire une évidence évidente :
-J'ai besoin de me reposer un peu plus ... Je retourne m'allonger.
La brune tourna le dos aux deux personnes et retourna dans la chambre dont elle prit grand soin de fermer la porte. En utilisant la lumière produite par son téléphone portable, elle lisait tout ce qu'elle avait écrit sur Kaori et il y en avait des choses intéressantes dans ce petit carnet qui était de la couleur de la mer. Elle avait vu juste dans son regard et dans ce qui lui restait en mémoire de ses recherches. La jeune fille bailla et elle se rendit compte qu'elle était très fatiguée en fin de compte ! Elle rangea soigneusement ses affaires dans son petit sac et elle le cacha sous le lit par prudence même si ce n'était pas la meilleure cachette du monde ... Elle commença à s'allonger, la tête sur l'oreiller, les yeux fixant le plafond. Elle dormait toujours sur le dos pour une raison inconnue ... La jeune fille sentait ses yeux lui piquer, peut être parce qu'il était tard ou peut être à cause des oeufs X qu'elle avait purifiés mais en tout cas, elle était épuisée. En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, elle s'endormit laissant de côté l'endroit où elle était, son hôte et même son shugo chara qu'elle avait entraîné dans une mission pour le moins inquiétante.
Retournons du côté du shugo chara le plus peureux du monde qui se retrouve dans la maison de l'horreur.
Soyuki était sur le point de défaillir ... Un malade avec une tronçonneuse, une cervelle et une oreille humaine ! Ca fesait trop de choses pour son petit coeur de shugo chara ! Mais bon, elle devait remplir sa mission et découvrir toute la vérité et rien que la vérité sur le propriétaire de la maison. Elle s'approcha malgré la pluie de la porte grande ouverte de la maison qui grinçait de partout et qui avait l'air de pouvoir s'écrouler à la moindre brise un petit peu trop forte. Le shugo chara passa à côté de l'oreille très angoissée comme si elle allait se mettre à bouger ou quelque chose d'encore plus inquiétant et étrange. Elle se hâta de s'éloigner du débris humain et monta l'escalier aussi lentement qu'un escargot qui lit le journal ... Elle était à présent à la cinquième marche de l'escalier qui en comportait le double quand l'homme ressortit à nouveau de la pièce. Prise de panique, Soyuki se cacha SOUS l'escalier sans imaginer le scénario où l'escalier casse et écrase Soyuki comme un vulgaire insecte ... Mais bon, l'escalier ne craqua pas et n'écrasa pas l'insecte démoniaque. L'homme avait pris l'oreille recouverte de liquide semblable à du sang dont je n'oserais pas écrire le nom exact et il était remonté en poussant le rire du savant fou qui fait des expériences du style transformer un chat en poisson ... A chaque pas de l'homme sur l'escalier, le coeur du shugo chara fesait un bond, et je pense que si vous étiez dans cette situation, vous ne seriez pas trop rassurés non plus ! Une fois l'homme monté et retourné dans la pièce, le bruit de la tronçonneuse recommençait à emplir la maison et le rire de son propriétaire était vraiment inquiétant ... Soyuki commença à voler en tremblant et arriva en haut de l'escalier en ayant emprunté la voix des airs. La diablesse se planta devant la pièce où l'autre fou découpait surement un cadavre humain et une lumière l'éblouit.
En fait, Misaki en avait trouvé des choses sur Kaori mais elles étaient marquées dans son petit carnet qu'elle ne pouvait sortir en cet instant. Elle se demandait vraiment ce qu'elle avait bien pu trouver sur cette mystérieuse jeune fille ... La collégienne ne trouvait absolument pas ... Bah, elle n'aura qu'à ouvrir son carnet et chercher la bonen page ! Mais, comment trouver une excuse afin d'ouvrir ce fichu petit carnet ... Plusieurs hypothèses naquirent de l'esprit légèrement tordu de la chanteuse. En voici quelques unes : elle pouvait s'enfuir afin de regarder dans ce petit carnet bleu, elle pouvait aussi se précipiter comme une folle dans la chambre et regarder discrètement ou bien même, elle ne se précipitait pas dans la chambre mais, prétextant avoir besoin de repos, y retourner. La dernière hypothèse semblait moins stupide que les deux autres mais elle hésita quand même ... Kaori savait depuis le début qu'elle mentait alors serait-ce une bonne idée de lui mentir à nouveau ? La jeune fille afficha un air perplexe avant de se rendre compte qu'il faudrait peut être éventuellement néanmoins quoique, qu'elle réponde à la question de Kaori. Elle n'allait pas lui dire la vérité même si elle saurait qu'elle ment ... Ce n'était pas amusant de jouer avec les cartes visibles ! Donc autant les cacher à moitié ...
-Je ne pensais à rien de spécial ...
La collégienne avait vu la demoiselle Keiichi se rapprocher de son ami afin de lui dire quelque chose à l'oreille complètement inaudible. La chanteuse se demandait ce qu'elle avait bien pu lui dire ... Elle lui avait surement parlé de l'invité car elle sentait que Kaori savait qu'elle savait ! Ca fait beaucoup de "savait" tout ça ... Mamoru avait à présent son téléphone à l'oreille ... Qui est ce qu'il y avait au bout du fil ? Que lui disait-il ? Ces questions resteront sans réponses ... Enfin, pour le moment. La brune ne savait rien au sujet de Mamoru et elle n'aimait pas du totu cela ! Elle devrait approfondir des recherches peut être inexistantes ... Mais bon, il fallait qu'elle en sache plus sur ce mystérieux personnage. L'intuition de Misaki lui en disait long sur cet endroit et ces personnes ... Mais bon, ce n'était que de l'intuition et elle ne pouvait pas la suivre ! La question qu'elle s'était posée prédécemment revint hanter son esprit et elle finit par dire d'un ton pas plus inquiet que celui d'un enfant jouant avec ses jouets et aussi sûr de lui que celui qu'on emploie pour dire une évidence évidente :
-J'ai besoin de me reposer un peu plus ... Je retourne m'allonger.
La brune tourna le dos aux deux personnes et retourna dans la chambre dont elle prit grand soin de fermer la porte. En utilisant la lumière produite par son téléphone portable, elle lisait tout ce qu'elle avait écrit sur Kaori et il y en avait des choses intéressantes dans ce petit carnet qui était de la couleur de la mer. Elle avait vu juste dans son regard et dans ce qui lui restait en mémoire de ses recherches. La jeune fille bailla et elle se rendit compte qu'elle était très fatiguée en fin de compte ! Elle rangea soigneusement ses affaires dans son petit sac et elle le cacha sous le lit par prudence même si ce n'était pas la meilleure cachette du monde ... Elle commença à s'allonger, la tête sur l'oreiller, les yeux fixant le plafond. Elle dormait toujours sur le dos pour une raison inconnue ... La jeune fille sentait ses yeux lui piquer, peut être parce qu'il était tard ou peut être à cause des oeufs X qu'elle avait purifiés mais en tout cas, elle était épuisée. En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, elle s'endormit laissant de côté l'endroit où elle était, son hôte et même son shugo chara qu'elle avait entraîné dans une mission pour le moins inquiétante.
Retournons du côté du shugo chara le plus peureux du monde qui se retrouve dans la maison de l'horreur.
Soyuki était sur le point de défaillir ... Un malade avec une tronçonneuse, une cervelle et une oreille humaine ! Ca fesait trop de choses pour son petit coeur de shugo chara ! Mais bon, elle devait remplir sa mission et découvrir toute la vérité et rien que la vérité sur le propriétaire de la maison. Elle s'approcha malgré la pluie de la porte grande ouverte de la maison qui grinçait de partout et qui avait l'air de pouvoir s'écrouler à la moindre brise un petit peu trop forte. Le shugo chara passa à côté de l'oreille très angoissée comme si elle allait se mettre à bouger ou quelque chose d'encore plus inquiétant et étrange. Elle se hâta de s'éloigner du débris humain et monta l'escalier aussi lentement qu'un escargot qui lit le journal ... Elle était à présent à la cinquième marche de l'escalier qui en comportait le double quand l'homme ressortit à nouveau de la pièce. Prise de panique, Soyuki se cacha SOUS l'escalier sans imaginer le scénario où l'escalier casse et écrase Soyuki comme un vulgaire insecte ... Mais bon, l'escalier ne craqua pas et n'écrasa pas l'insecte démoniaque. L'homme avait pris l'oreille recouverte de liquide semblable à du sang dont je n'oserais pas écrire le nom exact et il était remonté en poussant le rire du savant fou qui fait des expériences du style transformer un chat en poisson ... A chaque pas de l'homme sur l'escalier, le coeur du shugo chara fesait un bond, et je pense que si vous étiez dans cette situation, vous ne seriez pas trop rassurés non plus ! Une fois l'homme monté et retourné dans la pièce, le bruit de la tronçonneuse recommençait à emplir la maison et le rire de son propriétaire était vraiment inquiétant ... Soyuki commença à voler en tremblant et arriva en haut de l'escalier en ayant emprunté la voix des airs. La diablesse se planta devant la pièce où l'autre fou découpait surement un cadavre humain et une lumière l'éblouit.
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
Age : 27
Localisation : Dans le sud ouest x)
Date d'inscription : 02/11/2009
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Relations*}.:
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Vos/Votre Shugo Chara(s)*}.: Soyuki
Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[ Un peu de temps encore, je m’excuse mais c’est difficile entre mon nez qui coule, les éternuements, mes yeux tous rouges >_< Bref la totale, j’espère que ça ira. J’adore ton post en tout cas *o* Et Soyuki… Mais où est-elle !? ]
Le mensonge, elle ne lui reprocherait rien pour le moment, et la regardant toujours, son regard fut assez explicite de toute façon. Misaki se retira alors, leur avouant qu’elle sentait le besoin de se reposer, ce qui était assez cohérent, vu ce qui c’était passé auparavant et le peu de temps qu’elle avait pu dormir. La petite chanteuse retournait alors se reposer, quittant la pièce principale pour la chambre. La jeune fille fermait alors la porte derrière elle en silence, sans faire un bruit, Kaori restait alors à sa place, scrutant l’ombre qui passait de l’autre coté, avant de regarder le reste de l’appartement avec une expression absente sur le visage. Quelques secondes, ainsi que quelques minutes passaient alors, sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte. Ce n’est que quand Mamoru se glissa dans son dos, sentant sa présence, et sa main qui venait allégrement sur sa joue, le contact de sa peau contre la sienne, qu’elle revint à elle-même. Sans bouger, restant longuement immobile, comme impassible, comme insensible à son geste qui était pourtant plaisant, les yeux sur la pénombre environnante, la faible lumière qui tenait d’éclairer le reste d’entre ses murs, la demoiselle Keiichi sentait alors son souffle, avant de voir sa tête passer par delà son épaule. Elle ajoutait alors faiblement :
" C’est une manie que tu as pris…"
Il rit légèrement, avant de retourner sur le canapé en enlevant sa veste la jetant sur l’autre fauteuil, restant en chemise, d’un air décontracté. Kaori se dirigeait alors vers la chambre, elle écouta se qui pouvait s’y passer, mais il n’y avait aucun son qui parvenait de l’autre coté. Elle toqua doucement une fois, puis entre-ouvrit la porte et constata que Misaki dormait de nouveau. Elle alla replacer la couverture correctement sur elle pour que la petite ne prenne pas froid, puis sans faire un bruit, elle sortit. Fermant la porte, et elle informa Mamoru qu’elle allait se changer. Passant de nouveau dans la salle de bain, elle ferma la porte et se déshabilla pour enfiler un survêtement de couleur claire, blanc, puis un tee-shirt noir simple. Une tenue pour rester chez soi, pour dormir tout simplement. Elle ne comptait pas sortir et c’était inutile qu’elle garde ses vêtements de jour. L’adolescente rattachait correctement ses cheveux en queue de cheval basse cette fois-ci, mais laissant toujours sa frange rabattue sur le coté, et deux longues mèches encadrer fermement son visage. Elle sortit de la pièce en s’étirant lentement, levant les bras vers le ciel avant d’aller se laisser choir dans le canapé près de son ami en soupirant. Il la regardait faire en souriant.
Sa tête vers le plafond, le regard rivé sur sa teinte, sans raison apparente. Il venait alors tenir son menton entre deux doigts, avant de mettre ses deux mains sur ses joues, ses index se plaçaient alors à l’extrémité de ses lèvres avec de grands yeux surpris elle le laissa faire, il, si on peut dire, la fit sourire, de manière peu naturelle certes, elle souriait tout de même et cela changeait tout son reflet. Un moment plus tard et devant son regard interrogatif il se justifia :
" Il te faudra sourire aussi, ma chère…"
Elle poussa alors ses mains de la sienne et faisait mine de bouder, lui tournant la tête. Il le demandait ensuite, ne perdant guère son sourire :
" Comment va t-elle ? "
Elle concentra de nouveau son attention sur sa personne, mit ses pieds sur la table et croisa les bras, avant de formuler sa réponse :
" Elle dort paisiblement…"
Il hochait la tête en poursuivant :
" C’est étrange…"
Elle approuva d’un geste de la tête également. Mais ils n’étaient pas l’heure de parler de ça, ils pouvaient d’ailleurs difficilement parler de ce qui les liaient, et de ce qu’ils faisaient ou autre, vu la présence de Misaki, c’était risqué. Ils se devaient d’être discrets sur ce sujet. Et pour cause qu’ils n’avaient pas un petit secret. C’était le cas de le dire. Un bruit se faisait alors ressentir dans le salon provenant de la porte, aussitôt Kaori se leva et alla à la source de son inquiétude, Mamoru se levant après elle dans un élan, dégainait rapidement, d’on ne sait trop d’où, une arme à feu qu’il pointa sur le palier de la porte de sa main droite. La jeune femme se saisissait alors d’un couteau qui trainait non loin. Ils se regardaient, prirent un décompte commun et quand Kaori ouvrit la porte il visa cette dernière pour avoir dans sa ligne de mire l’ombre. Mais ils furent surpris de ne voir personne. Juste une lettre soigneusement déposé sur le pallier. Prudente, elle entreprit de la prendre entre ses doigts avant de fermer de nouveau la porte à clé, Mamoru allait à la fenêtre, rangeait son arme, il vit une ombre courir, mais rien de sur, alors il s’abstenait. Il allait voir dans la chambre de son hôte, remarquant que Misaki dormait toujours, ils n’avaient plus de craintes à se faire l’un comme l’autre, d’être découverts. La demoiselle Keiichi ouvrait alors l’enveloppe. Encore une lettre de son père ? Non pas du tout. L’enveloppe d’une grande beauté, était décorée en relief de fins paillions translucides.
Elle fit signe à Mamoru de s’approcher pour contempler cela. Tous deux assez indécis, elle tira le papier de son écrin, et ses yeux se posaient sur ses mots, et d’un ton stupéfait il dit à Kaori :
" Cette écriture est semblable à celle qu’avait Madeleine. "
Elle tourna la tête vers lui, étrangement proche... Que ressentait-elle à se moment là c’était difficile de le dire, il y avait tellement de chose. La beauté des lettres manuscrites, la qualité de l’expression était plus étonnante encore, on aurait dit les mots d’une jeune enfant ayant reçu peu de leçon. Semblant se douter de ce drôle de phénomène, Mamoru continua :
" L’arabesque du K de Kaori fait foi…"
J’en dirais peu sur le contenu de cette courrier [ Un peu de suspens hein ^^ ] si ce n’est le fait qu’elle était signée, d’une certaine : .Y.e.l.l. Ils discutèrent un bref moment, Kaori allait ranger cette lettre dans un endroit spécial de son appartement dont peu de personne avait l’accès. Ils se remettaient alors sur le canapé et sortant une autre couverture d’un placard, elle la jeta sur Mamoru et s’installa à coté de lui. Peu de temps après elle tirait sur la couette pour la partager, puis fermant les yeux, la fatigue la gagnait alors…La nuit serait cependant courte…
[ Bon en supposant de préférence, que Misaki dormait durant ces évenements ou alors elle se réveille juste quand Kaori lit la lettre, maintenant tu as carte blanche, elle peut se réveiller, sortir puis revenir, ou bien se réveiller, reveiller Kaori. Ou encore se lever au petit matin et venir dans le salon…A toi de voir…]
Le mensonge, elle ne lui reprocherait rien pour le moment, et la regardant toujours, son regard fut assez explicite de toute façon. Misaki se retira alors, leur avouant qu’elle sentait le besoin de se reposer, ce qui était assez cohérent, vu ce qui c’était passé auparavant et le peu de temps qu’elle avait pu dormir. La petite chanteuse retournait alors se reposer, quittant la pièce principale pour la chambre. La jeune fille fermait alors la porte derrière elle en silence, sans faire un bruit, Kaori restait alors à sa place, scrutant l’ombre qui passait de l’autre coté, avant de regarder le reste de l’appartement avec une expression absente sur le visage. Quelques secondes, ainsi que quelques minutes passaient alors, sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte. Ce n’est que quand Mamoru se glissa dans son dos, sentant sa présence, et sa main qui venait allégrement sur sa joue, le contact de sa peau contre la sienne, qu’elle revint à elle-même. Sans bouger, restant longuement immobile, comme impassible, comme insensible à son geste qui était pourtant plaisant, les yeux sur la pénombre environnante, la faible lumière qui tenait d’éclairer le reste d’entre ses murs, la demoiselle Keiichi sentait alors son souffle, avant de voir sa tête passer par delà son épaule. Elle ajoutait alors faiblement :
" C’est une manie que tu as pris…"
Il rit légèrement, avant de retourner sur le canapé en enlevant sa veste la jetant sur l’autre fauteuil, restant en chemise, d’un air décontracté. Kaori se dirigeait alors vers la chambre, elle écouta se qui pouvait s’y passer, mais il n’y avait aucun son qui parvenait de l’autre coté. Elle toqua doucement une fois, puis entre-ouvrit la porte et constata que Misaki dormait de nouveau. Elle alla replacer la couverture correctement sur elle pour que la petite ne prenne pas froid, puis sans faire un bruit, elle sortit. Fermant la porte, et elle informa Mamoru qu’elle allait se changer. Passant de nouveau dans la salle de bain, elle ferma la porte et se déshabilla pour enfiler un survêtement de couleur claire, blanc, puis un tee-shirt noir simple. Une tenue pour rester chez soi, pour dormir tout simplement. Elle ne comptait pas sortir et c’était inutile qu’elle garde ses vêtements de jour. L’adolescente rattachait correctement ses cheveux en queue de cheval basse cette fois-ci, mais laissant toujours sa frange rabattue sur le coté, et deux longues mèches encadrer fermement son visage. Elle sortit de la pièce en s’étirant lentement, levant les bras vers le ciel avant d’aller se laisser choir dans le canapé près de son ami en soupirant. Il la regardait faire en souriant.
Sa tête vers le plafond, le regard rivé sur sa teinte, sans raison apparente. Il venait alors tenir son menton entre deux doigts, avant de mettre ses deux mains sur ses joues, ses index se plaçaient alors à l’extrémité de ses lèvres avec de grands yeux surpris elle le laissa faire, il, si on peut dire, la fit sourire, de manière peu naturelle certes, elle souriait tout de même et cela changeait tout son reflet. Un moment plus tard et devant son regard interrogatif il se justifia :
" Il te faudra sourire aussi, ma chère…"
Elle poussa alors ses mains de la sienne et faisait mine de bouder, lui tournant la tête. Il le demandait ensuite, ne perdant guère son sourire :
" Comment va t-elle ? "
Elle concentra de nouveau son attention sur sa personne, mit ses pieds sur la table et croisa les bras, avant de formuler sa réponse :
" Elle dort paisiblement…"
Il hochait la tête en poursuivant :
" C’est étrange…"
Elle approuva d’un geste de la tête également. Mais ils n’étaient pas l’heure de parler de ça, ils pouvaient d’ailleurs difficilement parler de ce qui les liaient, et de ce qu’ils faisaient ou autre, vu la présence de Misaki, c’était risqué. Ils se devaient d’être discrets sur ce sujet. Et pour cause qu’ils n’avaient pas un petit secret. C’était le cas de le dire. Un bruit se faisait alors ressentir dans le salon provenant de la porte, aussitôt Kaori se leva et alla à la source de son inquiétude, Mamoru se levant après elle dans un élan, dégainait rapidement, d’on ne sait trop d’où, une arme à feu qu’il pointa sur le palier de la porte de sa main droite. La jeune femme se saisissait alors d’un couteau qui trainait non loin. Ils se regardaient, prirent un décompte commun et quand Kaori ouvrit la porte il visa cette dernière pour avoir dans sa ligne de mire l’ombre. Mais ils furent surpris de ne voir personne. Juste une lettre soigneusement déposé sur le pallier. Prudente, elle entreprit de la prendre entre ses doigts avant de fermer de nouveau la porte à clé, Mamoru allait à la fenêtre, rangeait son arme, il vit une ombre courir, mais rien de sur, alors il s’abstenait. Il allait voir dans la chambre de son hôte, remarquant que Misaki dormait toujours, ils n’avaient plus de craintes à se faire l’un comme l’autre, d’être découverts. La demoiselle Keiichi ouvrait alors l’enveloppe. Encore une lettre de son père ? Non pas du tout. L’enveloppe d’une grande beauté, était décorée en relief de fins paillions translucides.
Elle fit signe à Mamoru de s’approcher pour contempler cela. Tous deux assez indécis, elle tira le papier de son écrin, et ses yeux se posaient sur ses mots, et d’un ton stupéfait il dit à Kaori :
" Cette écriture est semblable à celle qu’avait Madeleine. "
Elle tourna la tête vers lui, étrangement proche... Que ressentait-elle à se moment là c’était difficile de le dire, il y avait tellement de chose. La beauté des lettres manuscrites, la qualité de l’expression était plus étonnante encore, on aurait dit les mots d’une jeune enfant ayant reçu peu de leçon. Semblant se douter de ce drôle de phénomène, Mamoru continua :
" L’arabesque du K de Kaori fait foi…"
J’en dirais peu sur le contenu de cette courrier [ Un peu de suspens hein ^^ ] si ce n’est le fait qu’elle était signée, d’une certaine : .Y.e.l.l. Ils discutèrent un bref moment, Kaori allait ranger cette lettre dans un endroit spécial de son appartement dont peu de personne avait l’accès. Ils se remettaient alors sur le canapé et sortant une autre couverture d’un placard, elle la jeta sur Mamoru et s’installa à coté de lui. Peu de temps après elle tirait sur la couette pour la partager, puis fermant les yeux, la fatigue la gagnait alors…La nuit serait cependant courte…
[ Bon en supposant de préférence, que Misaki dormait durant ces évenements ou alors elle se réveille juste quand Kaori lit la lettre, maintenant tu as carte blanche, elle peut se réveiller, sortir puis revenir, ou bien se réveiller, reveiller Kaori. Ou encore se lever au petit matin et venir dans le salon…A toi de voir…]
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
Age : 31
Date d'inscription : 14/06/2009
Carnet de liaison
Relations*}.:
Un petit mot*}.:
Vos/Votre Shugo Chara(s)*}.: [ Lazuli ]
Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[Le suspence sur la maison de fou où a aterrit Soyuki va bientôt tomber ! MAIS pas dans ce post ! Enfin, si, à moitié ... ]
Pendant son sommeil qui était léger, Misaki avait entendu vaguement des voix et des bruits mais bon, elle dormait donc elle n'y prêtait pas grande importance ...
Les oiseaux, bêtes à plumes multicolores, poussaient leur singulière chanson du matin avec leur "voix" que beaucoup écoutent afin d'apaiser leur coeur. La chanteuse ,qui aimait beaucoup le chant des oiseaux, ouvrit les yeux. Il fesait à présent jour et la chambre était emplie d'une lueur chaleureuse, différente du froid et de la brume de la nuit et de ses mystères. La collégienne changea de position : elle s'assit et elle se frotta sans énergie les yeux. La petite regarda vaguement à travers la fenêtre de la chambre où elle s'était endormie et elle vit les rayons du soleil éclairer une petite ruelle. Un chat noir se baladait dans cette ruelle et il semblait poursuivre un des oiseaux blancs qui avait réveillé la chanteuse. La petite regarda avec ses yeux endormis la porte qui était fermée mais qui ne l'avait pas été, pensait-elle, tout le temps ... Elle savait que son hôte avait passé la porte pendant son sommeil car, quand elle s'est réveillée, elle était couverte or quand elle s'est endormie, elle était sur les couvertures donc quelqu'un l'avait forcément couverte. La jeune fille poussa la couverture avant de regarder sous le lit afin de voir si son sac était toujours là. On ne sait jamais, son hôte aurait pû le découvrir et l'ouvrir par curiosité. Mais non, le sac bleu était exactement à la place où elle l'avait déposé la veille. Cela rassura la brune qui sourit avant de se redresser. Elle se leva du lit en constatant qu'elle n'avait plus mal nul part et elle refit le lit par respect pour son hôte. Une fois cette besogne quotidienne faite, elle se chaussa car ses chaussures avaient été posées à côté du lit où elle s'était assoupie et elle pris son sac qu'elle mit en bandoulière comme à son habitude. Après avoir revérifier que tous ses membres lui obéissaient précisément, elle ouvrit la porte. Une fois qu'elle pû analyser la scène, elle se rendit compte que Mamoru et son hôte étaient endormis l'un contre l'autre sur le canapé. La jeune fille sourit à la vue de cette scène pour le moins adorable et elle avança à pas de loup vers ce qui semblait être la cuisine. Elle fouilla discrètement les placards et le réfrigérateur et elle trouva tout ce qu'il fallait pour faire un bon petit déjeuner. Une fois sa décision prise, elle prépara le petit déjeuner dans un silence complet.
A présent, le petit déjeuner était servi sur la table et Misaki se demandait ce qu'elle attendait pour manger. Elle attendait le réveil de Mamoru et de Kaori bien sûr ! La collégienne mit des cloches (vous savez ces trucs en plastiques) pour tenir les petits déjeuners au chaud. Après avoir fait cela, elle s'assit dans un des fauteuils et elle regardait les deux amis dormir quand soudain, une petite diablesse arriva en volant faiblement à cause de la nuit d'enfer qu'elle venait de vivre.
La lumière s'estompait et elle laissait apparaître une bien étrange scène quand on a déjà une grande idée sur la question du propriétaire de la maison. Soyuki regardait avec ses petits yeux de shugo chara la scène que je vais vous décrire le plus précisément possible : par terre, il y avait une sorte de forme humaine recouverte par un drap blanc avec des tâches faites avec le liquide rouge tant redouté et le propriétaire des lieux était en train de découper cette étrange forme avec sa tronçonneuse tachée du même liquide rouge que celui qui recouvrait le drap blanc. L'homme poussait un rire complètement fou et à côté de lui, il y avait un pot comme celui dans lequel on range la peinture avec marqué dessus "rouge sang". Ce pot était rempli du liquide rouge que j'ai déjà mentionné. A la droite de l'homme, il y avait un chevalet sur lequel reposait un tableau taché de rouge. Le sol était quasiment recouvert de ce même liquide et on aurait pu qualifier cette scène de "sanglante". Le shugo chara recula et se retrouva dos à l'escalier. La diablesse se retourna et alla se cacher dans un recoin sombre parmi ceux de la maison. Elle y passa la nuit à s'inquiéter car l'idée de partir lui avait bien effleuré l'esprit mais il pleuvait et il fesait nuit noire et ... et ... et elle trouva mille autres excuses afin de ne pas sortir afin de cacher sa peur ... Elle y passa une nuit affreuse car avec un rire de savant fou, une tronçonneuse et la crainte qu'à tout moment il puisse descendre de l'escalier et découper le shugo chara en fines lamelles ... Je vous dis, ce n'est pas la plus belle nuit possible !
Le jour se levait et le shugo chara ouvrit ses petits yeux emplis d'effroi. La maison avait l'air plus paisible et moins effrayante que sous la pluie et dans la nuit. Soyuki, sans se préoccuper du sort de l'homme au rire hystérique, sortit sans plus tarder de cette maison de fou ! La diablesse parcourut la ville car elle avait oublié l'adresse de l'hôte de sa maîtresse ... Enfin, si du moins elle y était en ce moment ! Après plusieurs heures de long vol, elle avait fini par la trouver et elle aperçut une fenêtre ouverte. Peut être par oubli ou peut être pour aérer la maison mais en tout cas, elle était ouverte. La diablesse ne réfléchit pas deux ans et elle se précipita à l'intérieur à la recherche de sa maîtresse. Heuresement, elle y trouva la chanteuse et cela la soulagea énormément.
Misaki était à présent en face de son shugo chara et la diablesse ouvrit la bouche afin de dire une chose tout bas :
-Misaki, chez quel fou m'a-tu envoyée ?
La chanteuse souriait extérieurement et riait en son fort intérieur. Son shugo chara avait donc oublié !
[Et maintenant je vais imiter Misaki dans mon lit ... ]
Pendant son sommeil qui était léger, Misaki avait entendu vaguement des voix et des bruits mais bon, elle dormait donc elle n'y prêtait pas grande importance ...
Les oiseaux, bêtes à plumes multicolores, poussaient leur singulière chanson du matin avec leur "voix" que beaucoup écoutent afin d'apaiser leur coeur. La chanteuse ,qui aimait beaucoup le chant des oiseaux, ouvrit les yeux. Il fesait à présent jour et la chambre était emplie d'une lueur chaleureuse, différente du froid et de la brume de la nuit et de ses mystères. La collégienne changea de position : elle s'assit et elle se frotta sans énergie les yeux. La petite regarda vaguement à travers la fenêtre de la chambre où elle s'était endormie et elle vit les rayons du soleil éclairer une petite ruelle. Un chat noir se baladait dans cette ruelle et il semblait poursuivre un des oiseaux blancs qui avait réveillé la chanteuse. La petite regarda avec ses yeux endormis la porte qui était fermée mais qui ne l'avait pas été, pensait-elle, tout le temps ... Elle savait que son hôte avait passé la porte pendant son sommeil car, quand elle s'est réveillée, elle était couverte or quand elle s'est endormie, elle était sur les couvertures donc quelqu'un l'avait forcément couverte. La jeune fille poussa la couverture avant de regarder sous le lit afin de voir si son sac était toujours là. On ne sait jamais, son hôte aurait pû le découvrir et l'ouvrir par curiosité. Mais non, le sac bleu était exactement à la place où elle l'avait déposé la veille. Cela rassura la brune qui sourit avant de se redresser. Elle se leva du lit en constatant qu'elle n'avait plus mal nul part et elle refit le lit par respect pour son hôte. Une fois cette besogne quotidienne faite, elle se chaussa car ses chaussures avaient été posées à côté du lit où elle s'était assoupie et elle pris son sac qu'elle mit en bandoulière comme à son habitude. Après avoir revérifier que tous ses membres lui obéissaient précisément, elle ouvrit la porte. Une fois qu'elle pû analyser la scène, elle se rendit compte que Mamoru et son hôte étaient endormis l'un contre l'autre sur le canapé. La jeune fille sourit à la vue de cette scène pour le moins adorable et elle avança à pas de loup vers ce qui semblait être la cuisine. Elle fouilla discrètement les placards et le réfrigérateur et elle trouva tout ce qu'il fallait pour faire un bon petit déjeuner. Une fois sa décision prise, elle prépara le petit déjeuner dans un silence complet.
A présent, le petit déjeuner était servi sur la table et Misaki se demandait ce qu'elle attendait pour manger. Elle attendait le réveil de Mamoru et de Kaori bien sûr ! La collégienne mit des cloches (vous savez ces trucs en plastiques) pour tenir les petits déjeuners au chaud. Après avoir fait cela, elle s'assit dans un des fauteuils et elle regardait les deux amis dormir quand soudain, une petite diablesse arriva en volant faiblement à cause de la nuit d'enfer qu'elle venait de vivre.
La lumière s'estompait et elle laissait apparaître une bien étrange scène quand on a déjà une grande idée sur la question du propriétaire de la maison. Soyuki regardait avec ses petits yeux de shugo chara la scène que je vais vous décrire le plus précisément possible : par terre, il y avait une sorte de forme humaine recouverte par un drap blanc avec des tâches faites avec le liquide rouge tant redouté et le propriétaire des lieux était en train de découper cette étrange forme avec sa tronçonneuse tachée du même liquide rouge que celui qui recouvrait le drap blanc. L'homme poussait un rire complètement fou et à côté de lui, il y avait un pot comme celui dans lequel on range la peinture avec marqué dessus "rouge sang". Ce pot était rempli du liquide rouge que j'ai déjà mentionné. A la droite de l'homme, il y avait un chevalet sur lequel reposait un tableau taché de rouge. Le sol était quasiment recouvert de ce même liquide et on aurait pu qualifier cette scène de "sanglante". Le shugo chara recula et se retrouva dos à l'escalier. La diablesse se retourna et alla se cacher dans un recoin sombre parmi ceux de la maison. Elle y passa la nuit à s'inquiéter car l'idée de partir lui avait bien effleuré l'esprit mais il pleuvait et il fesait nuit noire et ... et ... et elle trouva mille autres excuses afin de ne pas sortir afin de cacher sa peur ... Elle y passa une nuit affreuse car avec un rire de savant fou, une tronçonneuse et la crainte qu'à tout moment il puisse descendre de l'escalier et découper le shugo chara en fines lamelles ... Je vous dis, ce n'est pas la plus belle nuit possible !
Le jour se levait et le shugo chara ouvrit ses petits yeux emplis d'effroi. La maison avait l'air plus paisible et moins effrayante que sous la pluie et dans la nuit. Soyuki, sans se préoccuper du sort de l'homme au rire hystérique, sortit sans plus tarder de cette maison de fou ! La diablesse parcourut la ville car elle avait oublié l'adresse de l'hôte de sa maîtresse ... Enfin, si du moins elle y était en ce moment ! Après plusieurs heures de long vol, elle avait fini par la trouver et elle aperçut une fenêtre ouverte. Peut être par oubli ou peut être pour aérer la maison mais en tout cas, elle était ouverte. La diablesse ne réfléchit pas deux ans et elle se précipita à l'intérieur à la recherche de sa maîtresse. Heuresement, elle y trouva la chanteuse et cela la soulagea énormément.
Misaki était à présent en face de son shugo chara et la diablesse ouvrit la bouche afin de dire une chose tout bas :
-Misaki, chez quel fou m'a-tu envoyée ?
La chanteuse souriait extérieurement et riait en son fort intérieur. Son shugo chara avait donc oublié !
[Et maintenant je vais imiter Misaki dans mon lit ... ]
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[ Je veux savoir >w< ! ]
C’était un rêve qui lui semblait tellement familier, il remontait dans ses peines les plus lointaines, de son enfance dure, depuis qu’elle était petite, si petite. Bien sur, elle n’avait pas tant de souvenirs de sa petite enfance, dite bambine, mais la jeune femme le sentait au plus profond de son âme, l’absence de sa mère avait fendu en son sein l’amour pure et innocent, laissant dans son tourment, Kaori, si jeune fut-elle dans l’obscurité, dans les bras d’un homme qui était…Son père…Enfin. Dans son chagrin qu’elle refoulait, elle avait longuement songé, pourquoi n’allait-elle point de mère ? Mamoru n’en avait pas également, comme souvent pour les hautes têtes de la hiérarchie. Il arrivait cependant que certaines couples élèvent leurs enfants comme si de rien était, oubliant le chaos qui les entourait. Pourquoi l’avait-elle laisser ? Quelle mère aurait-pu faire ça si ce n’est si elle fut tuée ? Enfant, elle pleurait, dans l’incertitude, elle voulait sa mère et s’endormir loin de toutes ses chimères, mais elle se mentait, elle avait froid et quoi qu’il arrivait, jamais elle ne pourrait vaincre cette solitude. Avec le temps, l’adolescente comprit, et elle fuyait l’exil de son aïeul et se disait que peu importait, elle n’était qu’une ombre de son passé. Mais ce n’était pas si simple. Madeleine…N’était pas n’importe qui…
Elle fut célèbre, pour sa douceur, pour ses manières, pour la bonne personne qu’elle était, si différente, elle était cette précieuse fleur et si convoitée, aux mains souillées de Koichi Keiichi. On racontait qu’il l’avait aimé, tellement qu’il lui offrait sa liberté. On lui parlait très souvent d’elle, elle avait marqué les esprits. Notamment, celui de son ami Mamoru. Qui tentait d’amener la conversation sur elle mais en vain devant le déni, le refus catégorique de celle qui lui ressemblait tant. Enfin, Kaori avait grandi, elle ne regrettait plus sa mère comme auparavant, elle s’était fait une raison dans la réalité, elle oubliait, se fourvoyait et vivait avec. Très bien, si bien que s’en était étonnant. Pas tant que ça quand on savait comment on l’avait éduqué. Les séquelles du passé… Sur son visage se lisait son impuissance, dans se rêves, ses cauchemars, elle n’était pas libre de choisir. Elle subissait. Elle avait beau se débattre, rien n’y ferait. Et personne ne pourrait rien, elle était confrontée à ce qu’elle redoutait. A quoi ressemblait-elle aujourd’hui ? Était-elle au moins en vie ? Des questions sans réponses, enfin tout était remis en cause avec cette lettre. Cette nuit-là dans les bras de Mamoru, se matérialisait dans son esprit, un fragment de son vécu qui se modifiait, en la présence de sa mère. Mais ce n’était pas agréable. La demoiselle Keiichi ne comprenait pas encore que manquer d’amour n’était pas un crime.
Les traits du visage de Madeleine, ses beaux yeux, son aura plaisante, ses courbes délicates, la tendresse d’une mère qui lui tendait alors la main pour la sortir de son effroi. Mais très vite celle-ci s’assombrissait, au loin…Madeleine tombait, et disparaissait de son champs de vision. Elle avait beau crier, courir vers elle, elle se voyait petite, puis au fur et à mesure de ses enjambées, elle grandissait pour devenir celle qu’elle fut. S’arrêtant finalement, un miroir se dressait fièrement devant elle. Qu’elle contemplait longuement, dans son reflet se dessinait sa mère, mais quand elle se retournait elle n’était pas là…Elle avait son image, son cœur au bout du verre froid qu’elle touchait puis qu’elle cassait. Le sang coulant alors, elle revoyait maintenant son enfance auprès de son père. Elle en crevait. Dans son sommeil, léger par habitude, elle, gagner par la fatigue, se laissait entrainer dans ce monde si particulier. Elle ne pouvait faire autrement de toute façon, son corps était trop affaibli pour lui ordonner de se réveiller. Il était pourtant l’heure, il faisait jour, le matin s’était bien et joliment levé. Kaori ne savait pas que Misaki était debout, qu’elle avait préparé un petit déjeuner, et qu’elle patientait maintenant en face dans un fauteuil. Dans un silence qui semblait incassable, la voix de la petite chanteuse ne pourrait la réveiller ce matin, les mots qu’elle avait dit, elle n’avait pu les voir, ni même les entendre.
Cependant, après quelques minutes, Mamoru ouvrait alors un œil, puis le second, s’étirant un moment, il constata qu’il fut observé. Hm, ce n’était pas bon, le voir aussi proche de l’enfant Keiichi, c’était bien dangereux, mais dans un même tant, à qui aurait-elle pu aller le rencontrer. Il soupira longuement, et vu que Kaori dormait encore. Là encore ! C’était étonnant, qu’elle dorme autant de temps. Elle qui était tout le temps la première debout. Car oui, il arrivait de temps à autre qu’il vienne dormir chez elle, souvent, en vérité. Il reprit son sourire qui lui était singulier. Et regardait la jeune fille, il s’adressait doucement à elle :
" J’espère que vous n’êtes pas réveillé depuis longtemps, le temps a du être long dans ce cas là…"
Le jeune homme se levait alors, et remettait correctement la couette sur Kaori. Avant de venir loucher dans la cuisine, voyant sur la table, les déjeuners préparés, une nouvelle surprise. Il se penchait ensuite vers Kaori, posant étrangement sa main sur sa joue puis au niveau de son front. Approchant ensuite ses lèvres de sa peau, sur son front. Il constatait en s’abaissant à sa hauteur, ses bras se glissant sous la couverture, il disait pour lui-même, sachant que l’état de santé de l’hôte ne préoccuperait que peu pour Misaki, enfin pensait-il. Il ajoutait donc dans un bref souffle :
" Fiévreuse… "
Il passa son bras sous les genoux de celle-ci et son autre main venait maintenir le dos de la jeune femme, portée alors comme une princesse, endormie, sa tête se posait sur son torse, un de ses bras dans le vide, la couette l’entourant. Il fit un signe de la tête à Misaki et lui dit :
" Excusez-moi un instant… "
Mamoru allait alors déposer Kaori sur son lit, dans la chambre, qui était la plus appropriée à recevoir son corps, dans la pénombre, dans le calme, il ressortit rapidement, fermant la porte avec précaution. Il sourit en s’approchant de la cuisine. En s’asseyant sur l’une des chaises il soulevait l’une des cloches avec curiosité en parlant à la chanteuse :
" Et bien, je crois qu’on ne serra que tous les deux ce matin au petit déjeuner…"
Elle n’avait rien à craindre, il relevait son regard vers elle, flatté d’une telle attention. Il ne comprenait pas vraiment, mais ne s’en plaindrait pas non plus. Mamoru repensait à Kaori, elle avait besoin de se reposer et telle qu’il la connaissait, elle se réveillait après une ou deux heures. En entendant, il aurait tout le temps de savourer et de côtoyer un peu plus sur Misaki…
C’était un rêve qui lui semblait tellement familier, il remontait dans ses peines les plus lointaines, de son enfance dure, depuis qu’elle était petite, si petite. Bien sur, elle n’avait pas tant de souvenirs de sa petite enfance, dite bambine, mais la jeune femme le sentait au plus profond de son âme, l’absence de sa mère avait fendu en son sein l’amour pure et innocent, laissant dans son tourment, Kaori, si jeune fut-elle dans l’obscurité, dans les bras d’un homme qui était…Son père…Enfin. Dans son chagrin qu’elle refoulait, elle avait longuement songé, pourquoi n’allait-elle point de mère ? Mamoru n’en avait pas également, comme souvent pour les hautes têtes de la hiérarchie. Il arrivait cependant que certaines couples élèvent leurs enfants comme si de rien était, oubliant le chaos qui les entourait. Pourquoi l’avait-elle laisser ? Quelle mère aurait-pu faire ça si ce n’est si elle fut tuée ? Enfant, elle pleurait, dans l’incertitude, elle voulait sa mère et s’endormir loin de toutes ses chimères, mais elle se mentait, elle avait froid et quoi qu’il arrivait, jamais elle ne pourrait vaincre cette solitude. Avec le temps, l’adolescente comprit, et elle fuyait l’exil de son aïeul et se disait que peu importait, elle n’était qu’une ombre de son passé. Mais ce n’était pas si simple. Madeleine…N’était pas n’importe qui…
Elle fut célèbre, pour sa douceur, pour ses manières, pour la bonne personne qu’elle était, si différente, elle était cette précieuse fleur et si convoitée, aux mains souillées de Koichi Keiichi. On racontait qu’il l’avait aimé, tellement qu’il lui offrait sa liberté. On lui parlait très souvent d’elle, elle avait marqué les esprits. Notamment, celui de son ami Mamoru. Qui tentait d’amener la conversation sur elle mais en vain devant le déni, le refus catégorique de celle qui lui ressemblait tant. Enfin, Kaori avait grandi, elle ne regrettait plus sa mère comme auparavant, elle s’était fait une raison dans la réalité, elle oubliait, se fourvoyait et vivait avec. Très bien, si bien que s’en était étonnant. Pas tant que ça quand on savait comment on l’avait éduqué. Les séquelles du passé… Sur son visage se lisait son impuissance, dans se rêves, ses cauchemars, elle n’était pas libre de choisir. Elle subissait. Elle avait beau se débattre, rien n’y ferait. Et personne ne pourrait rien, elle était confrontée à ce qu’elle redoutait. A quoi ressemblait-elle aujourd’hui ? Était-elle au moins en vie ? Des questions sans réponses, enfin tout était remis en cause avec cette lettre. Cette nuit-là dans les bras de Mamoru, se matérialisait dans son esprit, un fragment de son vécu qui se modifiait, en la présence de sa mère. Mais ce n’était pas agréable. La demoiselle Keiichi ne comprenait pas encore que manquer d’amour n’était pas un crime.
Les traits du visage de Madeleine, ses beaux yeux, son aura plaisante, ses courbes délicates, la tendresse d’une mère qui lui tendait alors la main pour la sortir de son effroi. Mais très vite celle-ci s’assombrissait, au loin…Madeleine tombait, et disparaissait de son champs de vision. Elle avait beau crier, courir vers elle, elle se voyait petite, puis au fur et à mesure de ses enjambées, elle grandissait pour devenir celle qu’elle fut. S’arrêtant finalement, un miroir se dressait fièrement devant elle. Qu’elle contemplait longuement, dans son reflet se dessinait sa mère, mais quand elle se retournait elle n’était pas là…Elle avait son image, son cœur au bout du verre froid qu’elle touchait puis qu’elle cassait. Le sang coulant alors, elle revoyait maintenant son enfance auprès de son père. Elle en crevait. Dans son sommeil, léger par habitude, elle, gagner par la fatigue, se laissait entrainer dans ce monde si particulier. Elle ne pouvait faire autrement de toute façon, son corps était trop affaibli pour lui ordonner de se réveiller. Il était pourtant l’heure, il faisait jour, le matin s’était bien et joliment levé. Kaori ne savait pas que Misaki était debout, qu’elle avait préparé un petit déjeuner, et qu’elle patientait maintenant en face dans un fauteuil. Dans un silence qui semblait incassable, la voix de la petite chanteuse ne pourrait la réveiller ce matin, les mots qu’elle avait dit, elle n’avait pu les voir, ni même les entendre.
Cependant, après quelques minutes, Mamoru ouvrait alors un œil, puis le second, s’étirant un moment, il constata qu’il fut observé. Hm, ce n’était pas bon, le voir aussi proche de l’enfant Keiichi, c’était bien dangereux, mais dans un même tant, à qui aurait-elle pu aller le rencontrer. Il soupira longuement, et vu que Kaori dormait encore. Là encore ! C’était étonnant, qu’elle dorme autant de temps. Elle qui était tout le temps la première debout. Car oui, il arrivait de temps à autre qu’il vienne dormir chez elle, souvent, en vérité. Il reprit son sourire qui lui était singulier. Et regardait la jeune fille, il s’adressait doucement à elle :
" J’espère que vous n’êtes pas réveillé depuis longtemps, le temps a du être long dans ce cas là…"
Le jeune homme se levait alors, et remettait correctement la couette sur Kaori. Avant de venir loucher dans la cuisine, voyant sur la table, les déjeuners préparés, une nouvelle surprise. Il se penchait ensuite vers Kaori, posant étrangement sa main sur sa joue puis au niveau de son front. Approchant ensuite ses lèvres de sa peau, sur son front. Il constatait en s’abaissant à sa hauteur, ses bras se glissant sous la couverture, il disait pour lui-même, sachant que l’état de santé de l’hôte ne préoccuperait que peu pour Misaki, enfin pensait-il. Il ajoutait donc dans un bref souffle :
" Fiévreuse… "
Il passa son bras sous les genoux de celle-ci et son autre main venait maintenir le dos de la jeune femme, portée alors comme une princesse, endormie, sa tête se posait sur son torse, un de ses bras dans le vide, la couette l’entourant. Il fit un signe de la tête à Misaki et lui dit :
" Excusez-moi un instant… "
Mamoru allait alors déposer Kaori sur son lit, dans la chambre, qui était la plus appropriée à recevoir son corps, dans la pénombre, dans le calme, il ressortit rapidement, fermant la porte avec précaution. Il sourit en s’approchant de la cuisine. En s’asseyant sur l’une des chaises il soulevait l’une des cloches avec curiosité en parlant à la chanteuse :
" Et bien, je crois qu’on ne serra que tous les deux ce matin au petit déjeuner…"
Elle n’avait rien à craindre, il relevait son regard vers elle, flatté d’une telle attention. Il ne comprenait pas vraiment, mais ne s’en plaindrait pas non plus. Mamoru repensait à Kaori, elle avait besoin de se reposer et telle qu’il la connaissait, elle se réveillait après une ou deux heures. En entendant, il aurait tout le temps de savourer et de côtoyer un peu plus sur Misaki…
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[Pardon de l'énorme retard mais c'est long à écrire et l'inspiration n'est pas toujours au rendez-vous >< !
Et d'ailleurs, la réponse à la question "Mais chez quel malade mental Soyuki a-t-elle mis les pieds !?" c'est pas pour tout de suite =D]
Une maison, un matin, un jour, jusque là rien d'anormal mais dans cette maison, il n'y avait pas juste "des gens". Il n'y avait pas des personnes que personne ne connait, pas que des personnes gentilles et inffensives. Dans cette maison, il y avait une célébrité avec un deux caractères, l'un sadique comme le diable et l'autre aussi gentil et inoffensif qu'un petit chihuahua blanc. Il y avait aussi deux personnes dont personne ne savait rien sauf eux-mêmes. Mais quelque chose clochait dans cet endroit si étrangement fréquenté, quelqu'un ou quelque chose d'étrange y était ou plutôt y flottait. Qu'était-ce ? La plupart des gens vous répèterait son nom déformé en posant une question "quoi ?" car la plupart d'eux ne peuvent pas voir ce petit personnage cher au coeur de son propriétaire. En s'approchant de cette demeure bien étrange, on pouvait voir par une fenêtre un salon. Dans ce salon, des choses habituelles étaient disposées : il y avait un canapé, des fauteuils et des objets du quotidien de chaque personne ... Sur l'un des fauteuils, il y avait une jolie jeune fille qui était dans une tenue de sport avec des chaussures de sport également, à côté de cette fille, un petit être invisible pour le commun des mortels lui posait une question. La mini diablesse n'eut pas de réponse de la chanteuse dont elle avait prononcé le nom. Dans la cuisine de la maison, il y avait une table sur laquelle étaient disposées trois assiettse couvertes par des cloches en plastique. Ces assiettes devaient contenir le petit déjeuner vu l'heure qu'il était. Dans le canapé, deux personnes dormaient. Une jeune fille et un jeune homme. Le garçon ouvrit un oeil, puis deux et il remarqua qu'il était observé par deux grands yeux bleus. Il ouvrit lentement la bouche afin de prononcer quelques mots :
<< J’espère que vous n’êtes pas réveillée depuis longtemps, le temps a du être long dans ce cas là … >>
Misaki fut surprise que Mamoru se soit réveillé si rapidement. Elle s'attendait à ce que son sommeil fut plus long et qu'elle aie à attendre qu'il daigne sortir de ses rêves. Tellement longtemps, qu'elle aurait du réchauffer le petit déjeuner qu'elle avait préparé soi-disant en remerciement. C'était surtout parce qu'elle aimait rendre service mais, évidemment, elle ne l'amdettrait jamais. Mamoru reposa la couverture correctement sur Kaori qui dormait encore et il alla dans la cuisine. Misaki ne vit pas ce qu'il fit dans la cuisine car elle regardait son hôte sentant que quelque chose n'allait pas avec sa santé. Le jeune homme revint de la cuisine sans émotion apparente et il vérifia la température de son amie. Il murmura assez fort pour que la chanteuse puisse entendre ce mot :
<< Fiévreuse … >>
Aussitôt, il souleva avec une douceur immense la jeune femme et il commença à la porter jusqu'à sa chambre. Mais avant cela, il s'adressa à la petite chanteuse en disant les mots suivants :
<< Excusez-moi un instant… >>
Mamoru, après avoir déposé son amie dans sa chambre, retourna à la cuisine peut être pour manger ce que la jeune fille aux yeux bleus avait préparé pendant qu'il dormait. Le jeune homme s'installa à table et dit à l'hôte de son amie :
<< Et bien, je crois qu’on ne serra que tous les deux ce matin au petit déjeuner…>>
Ca pouvait être intéressant de cotôyer un peu Mamoru ... La jeune chanteuse se leva sans lancer de regard à son shugo chara et elle s'installa également à table. Cette idée lui déplaisait légèrement car elle s'inquiétait pour son hôte mais elle ne laissa rien paraître. La jeune fille commença à manger en silence et elle regardait son shugo chara qui piquait un peu de son assiette. Elle chuchota très très bas, tellement bas que même Soyuki avait du mal pour l'entendre :
<< Va surveiller l'état de santé de la demoiselle Keiichi. >>
Le shugo chara s'exécuta sans poser de question et il fit s'entrebailler la porte de la chambre afin d'y entrer. Sa maîtresse, comme si de rien était, alla fermer celle-ci et dit, en justifiant le fait que cette porte se soit ouverte :
<< Peut être un courant d'air ... >>
[Désolé pour la courtesse (<< existe pas) de ce message mais niveau inspiration c'est THE blanc ...]
Et d'ailleurs, la réponse à la question "Mais chez quel malade mental Soyuki a-t-elle mis les pieds !?" c'est pas pour tout de suite =D]
Une maison, un matin, un jour, jusque là rien d'anormal mais dans cette maison, il n'y avait pas juste "des gens". Il n'y avait pas des personnes que personne ne connait, pas que des personnes gentilles et inffensives. Dans cette maison, il y avait une célébrité avec un deux caractères, l'un sadique comme le diable et l'autre aussi gentil et inoffensif qu'un petit chihuahua blanc. Il y avait aussi deux personnes dont personne ne savait rien sauf eux-mêmes. Mais quelque chose clochait dans cet endroit si étrangement fréquenté, quelqu'un ou quelque chose d'étrange y était ou plutôt y flottait. Qu'était-ce ? La plupart des gens vous répèterait son nom déformé en posant une question "quoi ?" car la plupart d'eux ne peuvent pas voir ce petit personnage cher au coeur de son propriétaire. En s'approchant de cette demeure bien étrange, on pouvait voir par une fenêtre un salon. Dans ce salon, des choses habituelles étaient disposées : il y avait un canapé, des fauteuils et des objets du quotidien de chaque personne ... Sur l'un des fauteuils, il y avait une jolie jeune fille qui était dans une tenue de sport avec des chaussures de sport également, à côté de cette fille, un petit être invisible pour le commun des mortels lui posait une question. La mini diablesse n'eut pas de réponse de la chanteuse dont elle avait prononcé le nom. Dans la cuisine de la maison, il y avait une table sur laquelle étaient disposées trois assiettse couvertes par des cloches en plastique. Ces assiettes devaient contenir le petit déjeuner vu l'heure qu'il était. Dans le canapé, deux personnes dormaient. Une jeune fille et un jeune homme. Le garçon ouvrit un oeil, puis deux et il remarqua qu'il était observé par deux grands yeux bleus. Il ouvrit lentement la bouche afin de prononcer quelques mots :
<< J’espère que vous n’êtes pas réveillée depuis longtemps, le temps a du être long dans ce cas là … >>
Misaki fut surprise que Mamoru se soit réveillé si rapidement. Elle s'attendait à ce que son sommeil fut plus long et qu'elle aie à attendre qu'il daigne sortir de ses rêves. Tellement longtemps, qu'elle aurait du réchauffer le petit déjeuner qu'elle avait préparé soi-disant en remerciement. C'était surtout parce qu'elle aimait rendre service mais, évidemment, elle ne l'amdettrait jamais. Mamoru reposa la couverture correctement sur Kaori qui dormait encore et il alla dans la cuisine. Misaki ne vit pas ce qu'il fit dans la cuisine car elle regardait son hôte sentant que quelque chose n'allait pas avec sa santé. Le jeune homme revint de la cuisine sans émotion apparente et il vérifia la température de son amie. Il murmura assez fort pour que la chanteuse puisse entendre ce mot :
<< Fiévreuse … >>
Aussitôt, il souleva avec une douceur immense la jeune femme et il commença à la porter jusqu'à sa chambre. Mais avant cela, il s'adressa à la petite chanteuse en disant les mots suivants :
<< Excusez-moi un instant… >>
Mamoru, après avoir déposé son amie dans sa chambre, retourna à la cuisine peut être pour manger ce que la jeune fille aux yeux bleus avait préparé pendant qu'il dormait. Le jeune homme s'installa à table et dit à l'hôte de son amie :
<< Et bien, je crois qu’on ne serra que tous les deux ce matin au petit déjeuner…>>
Ca pouvait être intéressant de cotôyer un peu Mamoru ... La jeune chanteuse se leva sans lancer de regard à son shugo chara et elle s'installa également à table. Cette idée lui déplaisait légèrement car elle s'inquiétait pour son hôte mais elle ne laissa rien paraître. La jeune fille commença à manger en silence et elle regardait son shugo chara qui piquait un peu de son assiette. Elle chuchota très très bas, tellement bas que même Soyuki avait du mal pour l'entendre :
<< Va surveiller l'état de santé de la demoiselle Keiichi. >>
Le shugo chara s'exécuta sans poser de question et il fit s'entrebailler la porte de la chambre afin d'y entrer. Sa maîtresse, comme si de rien était, alla fermer celle-ci et dit, en justifiant le fait que cette porte se soit ouverte :
<< Peut être un courant d'air ... >>
[Désolé pour la courtesse (<< existe pas) de ce message mais niveau inspiration c'est THE blanc ...]
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Un petit mot*}.:
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[ Mais euh >> J’veux savoir moi n_n ]
Kaori ouvrait alors les yeux, ayant entendu le faible bruit de la porte qui s’entrebâillait doucement, lentement, elle ne prêta guère attention à cela, et reposant sa tête dans l’oreille, son visage sur les motifs de ce dernier, tirant d’une main la couverture pour se couvrir, elle replongeait doucement dans ce monde qui lui était cher. Bien sur, elle s’endormait en une fraction de minute. Ses bras tenaient le cousin, sa tête dessus, le reste de son corps droit, ses cheveux venaient se laisser choir sur le reste des draps. Paisible qu’elle était dans son sommeil, en se moment. Ça ne durerait évidement pas, mais il fallait savourer ce moment de tranquillité qui lui était offert. Kaori ne se posait aucune question, du pourquoi, du comment, elle fut dans son lit, anciennement occupé par la petite chanteuse. Elle ignorait le fait que Mamoru s’était de nouveau penché vers elle, s’en occupant. Et qu’il l’avait porté jusqu’à son lit, sans se soucier du regard de leur invité. Car en effet, Misaki avait du voir le fait qu’ils étaient proches. Elle les avait vu ensemble, dormir ensemble et enfin elle l’avait vu porter dignement et tendrement la demoiselle jusqu’à son lit. Pourtant, on voyait une certaine gêne…
Comme s’ils ne pouvaient réellement montrer leurs liens. Que quelques sourires, des mots étouffés, des rires assoupis, ils se cachaient. Enfin, elle ne se doutait de rien. Et même pas le fait que la présence qu’elle avait pu observer sur le chemin du retour était de nouveau à ses cotés. Mais trop fatiguée, et dans les bras de Morphée, elle ne s’en préoccupait point. Etait-ce même bénéfique de sentir sur ses traits, un regard qui ne semblait pas menaçant. Non loin cette désagréable sensation, elle dormirait encore un bon moment. Combien de temps ? Ce n’est pas très précis comme estimation, pas des heures non plus, mais elle en avait besoin. De ce repos. Ces nuits ressemblaient plus à des siestes qu’autres choses. Le soleil de ses rayons éclairait légèrement la pièce, passant à travers les striures des volets, ce n’était pas assez de toute façon pour la réveiller. Ça donnait même à la pièce une impression de sérénité, de calme, de douceur. Un faisceau qui l’éclairait un peu plus fortement, comme si dés à présent une quelque personne * son shugo chara qui va bientôt s’éveiller en l’occurrence * veillait sur sa personne. Dans la pièce d’à coté, dont les bruits ne parvenait pas à elle. Mamoru prenait place.
" C’est gentil de votre part. "
Mamoru lançait alors un sourire à Misaki, quand il soulevait l’une des cloches pour y trouver le petit déjeuner. La petite, n’avait aucune obligation et pourtant, elle avait prit la peine de cuisiner pour ses hôtes. Il regardait attentivement ce qu’elle avait pu prépare, toujours le sourire aux lèvres, de bonne humeur, il était assez touché de l’attention même indirecte soit-elle pour lui. Car il ne devait point être présent ce matin là. Il reboutonnait quelque peu sa chemise devant l’adolescente, ce n’était pas la tenue des plus descente, surtout qu’il constatait le col en sang, ainsi que quelques autres goutes sur quelques endroits de tissus. Il faisait passer légèrement ses doigts sur sa plaie, en soupirant longuement. Il n’avait plus mal, mais cela l’embêtait d’être blesser, alors qu’il allait devoir être en mission, la semaine qui suivait. Embêtant, vraiment embêtant tout cela. La porte de la chambre de Kaori s’était entre ouverte durant ce songe, et par reflexe, son attention fut tourné vers cela. Inquiet pour elle, alors qu’il n’y avait que peu de raison. Il restait pour le moment assis mais ce n’était pas l’envie qui lui manquait pour aller voir ce qui se tramait. Misaki se levait alors et alla fermer la porte sous son regard curieux. Elle lui disait ces mots, il répondait :
" Probablement… "
A coup sur même. Il ne prêtait plus attention à ce bref fait, et il reportait son regard vers Misaki qui revenait à table. Prenant alors connaissance de l’état de santé de cette dernière, lui adressant un sourire sincère, puis en reportant ses yeux sur la nourriture avant de fixer ceux de la petite brunette, il était curieux, et il trouvait intéressant d’en savoir peut être un peu plus sur elle., de rester en sa compagnie en tous les cas, ne lui déplaisait pas, il ajoutait alors, sous forme d’affirmation, la question étant souvent revenue au cours de son séjour en ses lieux :
" Vous semblez aller bien mieux. "
Par comparaison à la veille. Il sentit en suite son portable vibrer contre la poche de son pantalon de costume, il le sortit et observait le nom qui s’affichait, sans rien faire paraitre, ce n’était pas important. Il appuyait sur l’un des boutons et regardait l’heure à simple titre d’information. Il le rangeait alors, comme si de rien était. Rien était, quoi qu’il arrivait, adviendrait…
[ Un peu court aussi, je m'excuse..]
Kaori ouvrait alors les yeux, ayant entendu le faible bruit de la porte qui s’entrebâillait doucement, lentement, elle ne prêta guère attention à cela, et reposant sa tête dans l’oreille, son visage sur les motifs de ce dernier, tirant d’une main la couverture pour se couvrir, elle replongeait doucement dans ce monde qui lui était cher. Bien sur, elle s’endormait en une fraction de minute. Ses bras tenaient le cousin, sa tête dessus, le reste de son corps droit, ses cheveux venaient se laisser choir sur le reste des draps. Paisible qu’elle était dans son sommeil, en se moment. Ça ne durerait évidement pas, mais il fallait savourer ce moment de tranquillité qui lui était offert. Kaori ne se posait aucune question, du pourquoi, du comment, elle fut dans son lit, anciennement occupé par la petite chanteuse. Elle ignorait le fait que Mamoru s’était de nouveau penché vers elle, s’en occupant. Et qu’il l’avait porté jusqu’à son lit, sans se soucier du regard de leur invité. Car en effet, Misaki avait du voir le fait qu’ils étaient proches. Elle les avait vu ensemble, dormir ensemble et enfin elle l’avait vu porter dignement et tendrement la demoiselle jusqu’à son lit. Pourtant, on voyait une certaine gêne…
Comme s’ils ne pouvaient réellement montrer leurs liens. Que quelques sourires, des mots étouffés, des rires assoupis, ils se cachaient. Enfin, elle ne se doutait de rien. Et même pas le fait que la présence qu’elle avait pu observer sur le chemin du retour était de nouveau à ses cotés. Mais trop fatiguée, et dans les bras de Morphée, elle ne s’en préoccupait point. Etait-ce même bénéfique de sentir sur ses traits, un regard qui ne semblait pas menaçant. Non loin cette désagréable sensation, elle dormirait encore un bon moment. Combien de temps ? Ce n’est pas très précis comme estimation, pas des heures non plus, mais elle en avait besoin. De ce repos. Ces nuits ressemblaient plus à des siestes qu’autres choses. Le soleil de ses rayons éclairait légèrement la pièce, passant à travers les striures des volets, ce n’était pas assez de toute façon pour la réveiller. Ça donnait même à la pièce une impression de sérénité, de calme, de douceur. Un faisceau qui l’éclairait un peu plus fortement, comme si dés à présent une quelque personne * son shugo chara qui va bientôt s’éveiller en l’occurrence * veillait sur sa personne. Dans la pièce d’à coté, dont les bruits ne parvenait pas à elle. Mamoru prenait place.
" C’est gentil de votre part. "
Mamoru lançait alors un sourire à Misaki, quand il soulevait l’une des cloches pour y trouver le petit déjeuner. La petite, n’avait aucune obligation et pourtant, elle avait prit la peine de cuisiner pour ses hôtes. Il regardait attentivement ce qu’elle avait pu prépare, toujours le sourire aux lèvres, de bonne humeur, il était assez touché de l’attention même indirecte soit-elle pour lui. Car il ne devait point être présent ce matin là. Il reboutonnait quelque peu sa chemise devant l’adolescente, ce n’était pas la tenue des plus descente, surtout qu’il constatait le col en sang, ainsi que quelques autres goutes sur quelques endroits de tissus. Il faisait passer légèrement ses doigts sur sa plaie, en soupirant longuement. Il n’avait plus mal, mais cela l’embêtait d’être blesser, alors qu’il allait devoir être en mission, la semaine qui suivait. Embêtant, vraiment embêtant tout cela. La porte de la chambre de Kaori s’était entre ouverte durant ce songe, et par reflexe, son attention fut tourné vers cela. Inquiet pour elle, alors qu’il n’y avait que peu de raison. Il restait pour le moment assis mais ce n’était pas l’envie qui lui manquait pour aller voir ce qui se tramait. Misaki se levait alors et alla fermer la porte sous son regard curieux. Elle lui disait ces mots, il répondait :
" Probablement… "
A coup sur même. Il ne prêtait plus attention à ce bref fait, et il reportait son regard vers Misaki qui revenait à table. Prenant alors connaissance de l’état de santé de cette dernière, lui adressant un sourire sincère, puis en reportant ses yeux sur la nourriture avant de fixer ceux de la petite brunette, il était curieux, et il trouvait intéressant d’en savoir peut être un peu plus sur elle., de rester en sa compagnie en tous les cas, ne lui déplaisait pas, il ajoutait alors, sous forme d’affirmation, la question étant souvent revenue au cours de son séjour en ses lieux :
" Vous semblez aller bien mieux. "
Par comparaison à la veille. Il sentit en suite son portable vibrer contre la poche de son pantalon de costume, il le sortit et observait le nom qui s’affichait, sans rien faire paraitre, ce n’était pas important. Il appuyait sur l’un des boutons et regardait l’heure à simple titre d’information. Il le rangeait alors, comme si de rien était. Rien était, quoi qu’il arrivait, adviendrait…
[ Un peu court aussi, je m'excuse..]
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
Age : 31
Date d'inscription : 14/06/2009
Carnet de liaison
Relations*}.:
Un petit mot*}.:
Vos/Votre Shugo Chara(s)*}.: [ Lazuli ]
Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[Ma période de flemme est passée et je recommence à écrire è_é]
Soyuki était là, dans la chambre avec cette fille. Celle-ci ouvrit les yeux quelques instants avant de plonger sa tête dans un coussin. Elle se couvrit avec l'un de ses bras agiles. Après, elle ne bougea plus. Elle s'était peut être endormie. Le shugo chara se demandait ce qu'elle avait vécu ... Elle avait bien fait des recherches avec Misaki mais elle ne s'en souvenait plus trop ... Qu'est ce qu'elle avait bien pu vivre de si dur ... Et comment cette idiote de shugo chara avait-elle pu oublier parce qu'elle se souvenait qu'elle avait vécu quelque chose de dur mais pas quoi ... Quelle situation de faiblesse ... Devant quelqu'un sur qui elle avait fait des recherches MAIS elle avait complètement oublié ce qu'elle avait pu trouver ... Voyons, réfléchissons ... Son père avait toujours voulu une fille, elle s'en souvenait donc ... Donc quoi ... Soyuki n'était pas très forte aux devinettes ... Pourquoi Misaki la mettait toujours dans de telles situations !? Ah, cette Misaki ! Elle passera un sale quart d'heure une fois qu'elles seront toutes deux sorties de cette maison. Cette fille ... Pendant la marche, elle avait senti la présence de la diablesse ... Cela pouvait-il signifier que son œuf du cœur allait bientôt donner naissance à un shugo chara ? Comment sera-t-il ... Bah, elle verrait bien après tout. Le shugo chara sentait une présence autre que la sienne et que celle de la jeune fille. Qu'est ce que ça pouvait bien être ? Son shugo chara qui commençait à se montrer ? Ou bien une personne hostile ... La diablesse se rapprocha de la jeune fille et la regardait dans son sommeil. C'était une belle jeune femme ... Et d'ailleurs, elle se mouvait légèrement durant son sommeil. Rien qui ne puisse la faire tomber du lit mais elle était à présent sur le dos. Soyuki se rapprocha et toucha ,de sa petite main, le grand front de l'hôte. Il n'était pas chaud. Personnellement, elle s'en fichait plus que du petit africain qui mourrait de faim mais bon, c'est Misaki qui lui avait demandé de veiller sur elle et quand Misaki parle, elle ne rigole pas ... Comme la fois où elle avait ordonné à un garçon de la laisser tranquille et, vu qu'il insistait, elle l'avait attaché à un arbre dans la cour de Seiyô ... Ah et il y avait aussi ce fou qui la suivait partout qui avait finir ... Comment déjà ? Décapité, poignardé ou écrasé par une voiture ? Bon, c'est vrai que c'était un peu, non, beaucoup, non plus, entièrement de la faute de Soyuki et de son chara change mais bon ... Comment Misaki pouvait-elle avoir la conscience tranquille après tous ces meurtres ... Était-elle si méchante que ça ? C'était peut être pour ça que Soyuki était ainsi ...
Bon bref au lieu de parler de tout et de rien, retournons aux côtés de la chanteuse ici présente, Misaki !
Mamoru avait sourit à Misaki. Pourquoi ? Ce qu'elle avait fait était tout à fait normal, c'était pour les remercier de s'être occupés d'elle ! Il n'y avait aucune gentillesse ou autre chose là-dedans ! Enfin, ça, c'est Misaki qui essayait de se convaincre ... En fait, elle aimait bien faire la cuisine et puis elle avait envie de faire une bonne action mais bon, elle avait décrété que c'était, soi-disant, pour les remercier donc voilà ... Après tout, plus têtu que Misaki, c'est ... c'est ... c'est ... introuvable ... Pourtant je peux vous dire, j'ai cherché. Les guerriers qui sont morts pendant de la torture sont des balances à côté de cette petite chanteuse ... Après s'être rassise, elle commença à manger, d'un air digne, comme si elle était à l'Easter au milieu des artistes dans le self. Une fois son assiette terminée, elle la prit et la mis dans l'évier. Elle se rassit en attendant que Mamoru termine de manger. Le silence régnait. Conversation vide, ennui profond, silence étrange. C'était lourd et pesant. Mais pourquoi briser le silence ? Ne dit-on pas que le silence est d'or ? Enfin, silence, ce n'était pas vraiment le silence : les oiseaux chantaient et on pouvait entendre quelques voitures passer de temps à autre dans la rue.
Mais ... Quelque chose allait se passer ... Quelque chose d'inhabituel ... Misaki et son shugo chara le sentaient. On peut appeler ça "l'intuition féminine" mais elles le sentaient quand même. Mais, quoi ... Qu'allait-il se passer ? Quelque chose oui mais quoi ? C'est bien joli d'avoir de l'intuition, des impressions mais elles ne savaient ni l'une ni l'autre ce qu'il allait se passer. Misaki redoutait le pire alors que Soyuki ne savait vraiment pas mais quelque chose était sûr, il allait se passer quelque chose ! Un frisson parcourut le corps de jeune fille de la chanteuse. Et Kaori ? Peut être que ça allait tourner autour d'elle cette "chose" ? Et qu'est ce que ça serait ? Hmm, trop de questions pas assez de réponses.
Il faisait décidément trop noir dans cette chambre ! Soyuki, avec sa petite force de shugo chara, le soleil envahissait à présent la pièce et Soyuki regardait tranquillement. Soudain, un bruit de quelque chose qui se casse se fit entendre juste derrière Soyuki. Quelqu'un armé d'un couteau avec traversé la fenêtre. Un assassin ? Un fou ? Peut importe après tout, il ne pouvait même pas la voir ... Et Kaori ? Bah, on s'en fiche de Kaori ! Pourquoi Soyuki s'occuperait de Kaori après tout ? Pour un quelconque honneur ? Pour le plaisir d'avoir fait quelque chose de bien ? Non, non et non ! Son honneur, elle l'avait déjà piétiné, enterré, brûlé et d'autres et puis elle n'avait pas envie de faire quelque chose de "bien". Après tout, c'était quoi le "Bien" ? En tant que diablesse, elle devrait différencier le Bien et le Mal mais non, elle fait ce qu'elle aime faire et ce qu'elle a envie de faire, c'est à dire, des bêtises, des actes égoïstes, des méchancetés et, quand elle se lève du pied droit, autrement dit pas souvent, elle fait le "Bien".
Le silence était rompu par un bruit bien inquiétant. Le bruit d'une fenêtre qui se casse et ce bruit venait de la chambre où Kaori dormait. D'un geste vif et rapide, Misaki se précipita dans la chambre en ouvrant la porte. Un homme, grand, costaud, armé, portant une cagoule, s'était introduit dans la pièce. La jeune fille devinait facilement ses intentions et elle se précipita entre cet homme et son hôte. Un coup de couteau partit et il atterrit dans l'épaule de la chanteuse. Habituée, elle prit pas le temps de se plaindre et, sans bouger les bras, elle mordit la main de l'homme. De douleur, il lâcha le couteau qui était bien planté dans la blessure. L'homme frappa la petite sur le visage, sur les joues mais ne reprenait pas son couteau. La jeune fille activa son chara change et se baissa afin d'être à terre. Elle retira le couteau de sa blessure, cela lui fit très mal, et elle entailla la jambe de son adversaire. Celui ci se mit à donner des coups de pieds dans tous les sens, coups de pieds que la jeune fille évita. Elle se remit debout, cette fois le couteau dans la bouche, et elle déviait tous les coups de ses gestes vifs et rapides. La petite attrapa le couteau d'un poing ferme et assena un coup fatal à l'ennemi. Un coup porté au cœur. L'enfant regardait ce qu'elle avait fait sans rien dire, sans rien penser, sans rien ressentir à part de la douleur et de la fatigue. Elle voyait Mamoru à travers la porte et elle sentait le couteau glisser de sa main qui ne le tenait plus. Elle regardait mais ne voyait plus vraiment, sa vue était floue. Ses jambes ne la tenaient plus et elle tomba à terre, évanouie.
[Pfffff mes posts sont toujours trop courts >< !]
Soyuki était là, dans la chambre avec cette fille. Celle-ci ouvrit les yeux quelques instants avant de plonger sa tête dans un coussin. Elle se couvrit avec l'un de ses bras agiles. Après, elle ne bougea plus. Elle s'était peut être endormie. Le shugo chara se demandait ce qu'elle avait vécu ... Elle avait bien fait des recherches avec Misaki mais elle ne s'en souvenait plus trop ... Qu'est ce qu'elle avait bien pu vivre de si dur ... Et comment cette idiote de shugo chara avait-elle pu oublier parce qu'elle se souvenait qu'elle avait vécu quelque chose de dur mais pas quoi ... Quelle situation de faiblesse ... Devant quelqu'un sur qui elle avait fait des recherches MAIS elle avait complètement oublié ce qu'elle avait pu trouver ... Voyons, réfléchissons ... Son père avait toujours voulu une fille, elle s'en souvenait donc ... Donc quoi ... Soyuki n'était pas très forte aux devinettes ... Pourquoi Misaki la mettait toujours dans de telles situations !? Ah, cette Misaki ! Elle passera un sale quart d'heure une fois qu'elles seront toutes deux sorties de cette maison. Cette fille ... Pendant la marche, elle avait senti la présence de la diablesse ... Cela pouvait-il signifier que son œuf du cœur allait bientôt donner naissance à un shugo chara ? Comment sera-t-il ... Bah, elle verrait bien après tout. Le shugo chara sentait une présence autre que la sienne et que celle de la jeune fille. Qu'est ce que ça pouvait bien être ? Son shugo chara qui commençait à se montrer ? Ou bien une personne hostile ... La diablesse se rapprocha de la jeune fille et la regardait dans son sommeil. C'était une belle jeune femme ... Et d'ailleurs, elle se mouvait légèrement durant son sommeil. Rien qui ne puisse la faire tomber du lit mais elle était à présent sur le dos. Soyuki se rapprocha et toucha ,de sa petite main, le grand front de l'hôte. Il n'était pas chaud. Personnellement, elle s'en fichait plus que du petit africain qui mourrait de faim mais bon, c'est Misaki qui lui avait demandé de veiller sur elle et quand Misaki parle, elle ne rigole pas ... Comme la fois où elle avait ordonné à un garçon de la laisser tranquille et, vu qu'il insistait, elle l'avait attaché à un arbre dans la cour de Seiyô ... Ah et il y avait aussi ce fou qui la suivait partout qui avait finir ... Comment déjà ? Décapité, poignardé ou écrasé par une voiture ? Bon, c'est vrai que c'était un peu, non, beaucoup, non plus, entièrement de la faute de Soyuki et de son chara change mais bon ... Comment Misaki pouvait-elle avoir la conscience tranquille après tous ces meurtres ... Était-elle si méchante que ça ? C'était peut être pour ça que Soyuki était ainsi ...
Bon bref au lieu de parler de tout et de rien, retournons aux côtés de la chanteuse ici présente, Misaki !
Mamoru avait sourit à Misaki. Pourquoi ? Ce qu'elle avait fait était tout à fait normal, c'était pour les remercier de s'être occupés d'elle ! Il n'y avait aucune gentillesse ou autre chose là-dedans ! Enfin, ça, c'est Misaki qui essayait de se convaincre ... En fait, elle aimait bien faire la cuisine et puis elle avait envie de faire une bonne action mais bon, elle avait décrété que c'était, soi-disant, pour les remercier donc voilà ... Après tout, plus têtu que Misaki, c'est ... c'est ... c'est ... introuvable ... Pourtant je peux vous dire, j'ai cherché. Les guerriers qui sont morts pendant de la torture sont des balances à côté de cette petite chanteuse ... Après s'être rassise, elle commença à manger, d'un air digne, comme si elle était à l'Easter au milieu des artistes dans le self. Une fois son assiette terminée, elle la prit et la mis dans l'évier. Elle se rassit en attendant que Mamoru termine de manger. Le silence régnait. Conversation vide, ennui profond, silence étrange. C'était lourd et pesant. Mais pourquoi briser le silence ? Ne dit-on pas que le silence est d'or ? Enfin, silence, ce n'était pas vraiment le silence : les oiseaux chantaient et on pouvait entendre quelques voitures passer de temps à autre dans la rue.
Mais ... Quelque chose allait se passer ... Quelque chose d'inhabituel ... Misaki et son shugo chara le sentaient. On peut appeler ça "l'intuition féminine" mais elles le sentaient quand même. Mais, quoi ... Qu'allait-il se passer ? Quelque chose oui mais quoi ? C'est bien joli d'avoir de l'intuition, des impressions mais elles ne savaient ni l'une ni l'autre ce qu'il allait se passer. Misaki redoutait le pire alors que Soyuki ne savait vraiment pas mais quelque chose était sûr, il allait se passer quelque chose ! Un frisson parcourut le corps de jeune fille de la chanteuse. Et Kaori ? Peut être que ça allait tourner autour d'elle cette "chose" ? Et qu'est ce que ça serait ? Hmm, trop de questions pas assez de réponses.
Il faisait décidément trop noir dans cette chambre ! Soyuki, avec sa petite force de shugo chara, le soleil envahissait à présent la pièce et Soyuki regardait tranquillement. Soudain, un bruit de quelque chose qui se casse se fit entendre juste derrière Soyuki. Quelqu'un armé d'un couteau avec traversé la fenêtre. Un assassin ? Un fou ? Peut importe après tout, il ne pouvait même pas la voir ... Et Kaori ? Bah, on s'en fiche de Kaori ! Pourquoi Soyuki s'occuperait de Kaori après tout ? Pour un quelconque honneur ? Pour le plaisir d'avoir fait quelque chose de bien ? Non, non et non ! Son honneur, elle l'avait déjà piétiné, enterré, brûlé et d'autres et puis elle n'avait pas envie de faire quelque chose de "bien". Après tout, c'était quoi le "Bien" ? En tant que diablesse, elle devrait différencier le Bien et le Mal mais non, elle fait ce qu'elle aime faire et ce qu'elle a envie de faire, c'est à dire, des bêtises, des actes égoïstes, des méchancetés et, quand elle se lève du pied droit, autrement dit pas souvent, elle fait le "Bien".
Le silence était rompu par un bruit bien inquiétant. Le bruit d'une fenêtre qui se casse et ce bruit venait de la chambre où Kaori dormait. D'un geste vif et rapide, Misaki se précipita dans la chambre en ouvrant la porte. Un homme, grand, costaud, armé, portant une cagoule, s'était introduit dans la pièce. La jeune fille devinait facilement ses intentions et elle se précipita entre cet homme et son hôte. Un coup de couteau partit et il atterrit dans l'épaule de la chanteuse. Habituée, elle prit pas le temps de se plaindre et, sans bouger les bras, elle mordit la main de l'homme. De douleur, il lâcha le couteau qui était bien planté dans la blessure. L'homme frappa la petite sur le visage, sur les joues mais ne reprenait pas son couteau. La jeune fille activa son chara change et se baissa afin d'être à terre. Elle retira le couteau de sa blessure, cela lui fit très mal, et elle entailla la jambe de son adversaire. Celui ci se mit à donner des coups de pieds dans tous les sens, coups de pieds que la jeune fille évita. Elle se remit debout, cette fois le couteau dans la bouche, et elle déviait tous les coups de ses gestes vifs et rapides. La petite attrapa le couteau d'un poing ferme et assena un coup fatal à l'ennemi. Un coup porté au cœur. L'enfant regardait ce qu'elle avait fait sans rien dire, sans rien penser, sans rien ressentir à part de la douleur et de la fatigue. Elle voyait Mamoru à travers la porte et elle sentait le couteau glisser de sa main qui ne le tenait plus. Elle regardait mais ne voyait plus vraiment, sa vue était floue. Ses jambes ne la tenaient plus et elle tomba à terre, évanouie.
[Pfffff mes posts sont toujours trop courts >< !]
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
Age : 27
Localisation : Dans le sud ouest x)
Date d'inscription : 02/11/2009
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Relations*}.:
Un petit mot*}.:
Vos/Votre Shugo Chara(s)*}.: Soyuki
Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
Tout se passe si vite…
Mamouru accourut, dans la chambre, aussi voyant l’homme s’approcher de Kaori, il avait sortit l’un de ses nombreux revolvers. Le pointant sur la silhouette, la gamine venait s’y attaquer, troublant sa vision de sa cible, il ne voulait pas prendre de risque, en blessant la chanteuse. Puis un bruit provenant de la rue se faisait entendre un sifflement, comme un appel. Un signe, qui ne pouvait ignorer, vu qu’il s’agissait de l’un de ses hommes. Il ouvrait alors la fenêtre avec violence s’y penchant et hurlant de lancer un plan d’action. Qu’on déploie tous les hommes, qui sera possible pour étouffer l’affaire. Rien ne venait de se produire. Rien ne devait se savoir. L’homme sortait son portable et disparu dans les rues. Il devinait si facilement la suite. Et pour cause. Il ne savait rien de l’homme mais il ne venait pas pour Kaori il en était certain, c’était pour Misaki. Pourquoi après c’était un mystère. Cette petite était bien énigmatique et il sentait qu’elle cachait quelque chose. Il revenait rapidement à la chambre, car même si elle semblait savoir se débrouiller et qu’il avait le sentiment que Kaori viendrait à la sauver, il ne resterait pas passif. Il se posa au cadre de la porte, épaule contre, les bras croisés à regarder la scène, poussant un long soupire. Un peu surpris quand même. A rappeler qu’il n’avait rien vu de ce qui venait de se passer... [ Je précise, ni Kaori, ni Mamouru n’a vu la transformation. Et je pense que comme Misaki est fatiguée, elle s’arrête toute seule avant qu’il se rende dans la chambre et que Kaori ouvre les yeux. Sauf si ça ne te convient pas. J’éditerais. D’accord ? ^^ ]
Il s’avança rapidement et rattrapa Misaki dans ses bras la portant comme une petite princesse. Le regard sur elle, le jeune homme tourna ensuite la tête vers l’adolescente qui se levait alors, posant une arme à feu sur la table qui était à coté du lit.
" Ne me regarde pas ainsi. Je n’ai pas pu agir, j’ai mal. Je n’arrive presque plus à bouger. J’ai trop dormi mon corps semble étourdi et a du mal à suivre. Sinon crois-moi que j’aurais refais la tapisserie. "
Elle grimaça tentant de se mettre assise, la douleur sur son visage. Ses membres endoloris, la pression du sommeil. Le fait d’être resté immobile l’avait achevé, ayant perdu l’habitude, cela fut fatal. Tous les deux constataient l’ampleur des dégâts, et il lui dit, s’approchant, la petite toujours dans ses bras.
" Elle a réussit à le tuer…Comment…"
Ses yeux revenaient encore sur l’enfant. Il poursuivait :
" Les apparences sont trompeuses. Hm, elle est blessée au niveau de l’épaule. "
Il venait alors à la déposer sur le lit, allant chercher de quoi panser la plaie et la soigner, sous le regard attentif et vigilant de la demoiselle Keiichi. Une fois fini, il la laissa sur le lit, allongée confortement et se leva pour venir s’asseoir au coté de Kaori. Prenant doucement sa main entre ses doigts. Ses yeux rivés sur elle…Elle ajouta comme à contre cœur, tournant la tête, évitant tout contact avec lui…Si ce n’est qu’elle serrait ses doigts dans sa main…
" Vas…"
Il hochait la tête, se levait et l’aidait à en faire de même. Une fois debout, la jeune femme se reprenait, le corrigeant :
" Vas, pas Allons…"
Comme sourd, il n’y prêtait pas attention, il sortit son téléphone portable et composa un numéro tout en sortant de la chambre, Kaori dépendante de son appui, son corps n’étant pas encore séparé de cet état particulier qui se traduisait par le simple et naturel fait d’être rester serrer dans les bras de Morphée, il l’avait blessé. Elle ne dormait plus ou que peu. Toute l’explication. Une fois dans le salon, il l’assit sur le canapé et s’adressa à l’appareil de communication.
" Rappliques ! "
Un ton autoritaire, il rangea la chose et s’engouffra dans le canapé à ses cotés. Mais aussitôt, on toqua à la porte. Elle se leva spontanément :
" Hm…"
Un sourire de satisfaction lui prenait les lèvres. Là, elle était de nouveau elle-même. Il n’aura pas fallu longtemps. Il faut dire, que c’était une chose minime. Elle alla ouvrir, un homme entra. Un signe de tête. Il leur conta alors ce qu’il avait trouvé sur Misaki Fodukawa. Puis il pénétra dans la chambre suivit des deux jeunes gens et embarqua le corps inerte sans vie, pour s’en débarrasser sans poser aucunes questions. Eux. Restaient debout, devant la petite. Kaori alla récupérer l’arme à feu puis celle blanche qui jonçait le sol ensanglanté puis elle alla s’asseoir au pied du lit, dos à la petite. Lui, s’adossait au mur, la gardant dans sa ligne de mire… Elle allait devoir s’expliquer, il lui poserait bientôt de nombreuses questions. Pour la couvrir, mais pour survivre aussi. Dans cette histoire, tous les trois furent impliqués….
Mamouru accourut, dans la chambre, aussi voyant l’homme s’approcher de Kaori, il avait sortit l’un de ses nombreux revolvers. Le pointant sur la silhouette, la gamine venait s’y attaquer, troublant sa vision de sa cible, il ne voulait pas prendre de risque, en blessant la chanteuse. Puis un bruit provenant de la rue se faisait entendre un sifflement, comme un appel. Un signe, qui ne pouvait ignorer, vu qu’il s’agissait de l’un de ses hommes. Il ouvrait alors la fenêtre avec violence s’y penchant et hurlant de lancer un plan d’action. Qu’on déploie tous les hommes, qui sera possible pour étouffer l’affaire. Rien ne venait de se produire. Rien ne devait se savoir. L’homme sortait son portable et disparu dans les rues. Il devinait si facilement la suite. Et pour cause. Il ne savait rien de l’homme mais il ne venait pas pour Kaori il en était certain, c’était pour Misaki. Pourquoi après c’était un mystère. Cette petite était bien énigmatique et il sentait qu’elle cachait quelque chose. Il revenait rapidement à la chambre, car même si elle semblait savoir se débrouiller et qu’il avait le sentiment que Kaori viendrait à la sauver, il ne resterait pas passif. Il se posa au cadre de la porte, épaule contre, les bras croisés à regarder la scène, poussant un long soupire. Un peu surpris quand même. A rappeler qu’il n’avait rien vu de ce qui venait de se passer... [ Je précise, ni Kaori, ni Mamouru n’a vu la transformation. Et je pense que comme Misaki est fatiguée, elle s’arrête toute seule avant qu’il se rende dans la chambre et que Kaori ouvre les yeux. Sauf si ça ne te convient pas. J’éditerais. D’accord ? ^^ ]
Il s’avança rapidement et rattrapa Misaki dans ses bras la portant comme une petite princesse. Le regard sur elle, le jeune homme tourna ensuite la tête vers l’adolescente qui se levait alors, posant une arme à feu sur la table qui était à coté du lit.
" Ne me regarde pas ainsi. Je n’ai pas pu agir, j’ai mal. Je n’arrive presque plus à bouger. J’ai trop dormi mon corps semble étourdi et a du mal à suivre. Sinon crois-moi que j’aurais refais la tapisserie. "
Elle grimaça tentant de se mettre assise, la douleur sur son visage. Ses membres endoloris, la pression du sommeil. Le fait d’être resté immobile l’avait achevé, ayant perdu l’habitude, cela fut fatal. Tous les deux constataient l’ampleur des dégâts, et il lui dit, s’approchant, la petite toujours dans ses bras.
" Elle a réussit à le tuer…Comment…"
Ses yeux revenaient encore sur l’enfant. Il poursuivait :
" Les apparences sont trompeuses. Hm, elle est blessée au niveau de l’épaule. "
Il venait alors à la déposer sur le lit, allant chercher de quoi panser la plaie et la soigner, sous le regard attentif et vigilant de la demoiselle Keiichi. Une fois fini, il la laissa sur le lit, allongée confortement et se leva pour venir s’asseoir au coté de Kaori. Prenant doucement sa main entre ses doigts. Ses yeux rivés sur elle…Elle ajouta comme à contre cœur, tournant la tête, évitant tout contact avec lui…Si ce n’est qu’elle serrait ses doigts dans sa main…
" Vas…"
Il hochait la tête, se levait et l’aidait à en faire de même. Une fois debout, la jeune femme se reprenait, le corrigeant :
" Vas, pas Allons…"
Comme sourd, il n’y prêtait pas attention, il sortit son téléphone portable et composa un numéro tout en sortant de la chambre, Kaori dépendante de son appui, son corps n’étant pas encore séparé de cet état particulier qui se traduisait par le simple et naturel fait d’être rester serrer dans les bras de Morphée, il l’avait blessé. Elle ne dormait plus ou que peu. Toute l’explication. Une fois dans le salon, il l’assit sur le canapé et s’adressa à l’appareil de communication.
" Rappliques ! "
Un ton autoritaire, il rangea la chose et s’engouffra dans le canapé à ses cotés. Mais aussitôt, on toqua à la porte. Elle se leva spontanément :
" Hm…"
Un sourire de satisfaction lui prenait les lèvres. Là, elle était de nouveau elle-même. Il n’aura pas fallu longtemps. Il faut dire, que c’était une chose minime. Elle alla ouvrir, un homme entra. Un signe de tête. Il leur conta alors ce qu’il avait trouvé sur Misaki Fodukawa. Puis il pénétra dans la chambre suivit des deux jeunes gens et embarqua le corps inerte sans vie, pour s’en débarrasser sans poser aucunes questions. Eux. Restaient debout, devant la petite. Kaori alla récupérer l’arme à feu puis celle blanche qui jonçait le sol ensanglanté puis elle alla s’asseoir au pied du lit, dos à la petite. Lui, s’adossait au mur, la gardant dans sa ligne de mire… Elle allait devoir s’expliquer, il lui poserait bientôt de nombreuses questions. Pour la couvrir, mais pour survivre aussi. Dans cette histoire, tous les trois furent impliqués….
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
[Franchement, quand j'ai vu le "new" j'ai sursauté avant de regarder où c'était ...
Et quand j'ai vu l'endroit ... J'ai failli sauter de joie o/
C'est court ...]
Misaki rêvait ... Elle tombait, elle traversait les nuages du soir et passait au milieu des astres nocturnes. Vers où tombait-elle ? D'où tombait-elle ? Pourquoi ? Et où allait-elle trouver les réponses à ces questions ? Tout cela était trop compliqué ... Tout cela parce qu'elle avait tué un homme pour protéger Kaori et qu'après elle s'était évanouie ... Quelle situation bien ennuyeuse, ils allaient sûrement lui poser plein de questions en tous genres ...
Elle voyait la terre ferme se rapprocher, enfin, sous elle, s'étendait une un immense océan étrangement propre et transparent. Ce n'était pas un océan qu'on pouvait trouver sur Terre, l'Homme les a sali, ils ne sont pas aussi propres. Elle n'était plus qu'à quelques mètres de l'eau mais ... Comment pouvait-elle le savoir ? Elle avait les yeux fermés et pourtant elle voyait ... La jeune fille touchait l'eau et elle la traversa comme si elle eut été de l'air. Elle s'enfonçait, encore et encore dans les abysses de cette eau pure sans aucun poisson. Elle toucha le fond et lâcha une bulle d'air qui s'envola aussitôt vers la surface. Elle se releva et ouvrit les yeux même si elle pouvait aisément voir les yeux fermés. Elle était sur un sol de sable, dans une eau aussi transparente que l'air et aussi vide que des locaux scolaires en saison estivale. Elle marchait, aussi aisément que si elle eut été sur la terre ferme. Où allait-elle ? Dans quel but ? Elle le saurait bien quand elle serait arrivée ...
Une lumière bleue l'éblouit et elle se retrouva dans une chambre remplie d'étagères sur lesquelles des peluches et des poupées étranges étaient posées. Il y avait une grande porte en bois grande ouverte qui menait à un couloir obscur. Les poupées et les peluches murmuraient des choses inaudibles pour la chanteuse. Elle regarda ses habits et, étrangement, elle était habillée d'une robe blanche toute simple avec des ballerines assorties à la robe. Elle entendait des pas, des pas qui venaient de ce couloir et qui étaient réguliers. Quelqu'un arrivait ... Une silhouette s'avançait et devenait reconnaissable, c'était une jeune fille d'à peu près quinze ans, elle avait de longs cheveux blancs coiffés en tresses et des yeux rouges comme le sang. Sa robe était comme celle de Misaki et elle portait également les même chaussures qu'elle. Elle s'avançait en souriant de ce sourire angélique qu'on ne donnerait qu'aux anges. La chanteuse ne se fiait pas à son expression, au contraire, c'était suspect. La jeune fille s'approchait de plus en plus de la collégienne et elle mit sa main droite sur la joue de la brune.
-Je t'attendais Misaki-chan.
La personne sourit avant de s'éloigner un peu de la chanteuse. Celle-ci, troublée recula d'un ou deux pas avant de se cogner à un objet. Elle regarda ce que c'était et vit un miroir de style classique entourée par un cadre fait en bois. Elle fixa le verre, il ne la reflétait pas, à travers, elle voyait un garçon qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Effrayée, elle recula de deux pas et heurta la jeune fille aux cheveux blancs. Celle-ci l'attrapa et sortit un couteau.
-Je t'attendais pour te donner ce que tu as évité tant de fois ...
Était-elle morte ? Était-ce l'enfer ? Ce n'était pas impossible ... Donc, elle avait peut être succombé à cette blessure ... Quelle fait idiote, mourir en protégeant quelqu'un que l'on ne connaît même pas ... Quelle ironie ! La jeune fille arborait un immense sourire à faire froid dans le dos, heureusement que Misaki était dos à elle ... La fille aux cheveux blancs commença à pointer le poignard vers Misaki et à serrer son cou à l'aide de son bras gauche.
-Adieu, Misaki.
La chanteuse reçut un coup de poignard au cœur et elle se réveilla en sursaut, le souffle court. Elle était vivante ? Ce n'était qu'un rêve ? A première vue, oui, mais elle devrait quand même rester prudente sinon elle finirait peut être par s'endormir à jamais ... Elle se redressa et s'assit sur le lit avant de regarder autour d'elle. Elle était dans la chambre où Kaori dormait, celle-ci était adossée au pied du lit, dos à la chanteuse et Mamoru était adossé au mur. La brune sourit et regarda sa blessure, elle avait été soignée, pansée et elle ne lui faisait pas mal. Soyuki n'était pas dans la pièce ... Elle était sûrement partie vagabonder dans les rues de la ville ... Inutile de la chercher, la chanteuse regarda plutôt Mamoru et commença à parler :
-Hm ... N'avez-vous aucune question à me poser ?
Et quand j'ai vu l'endroit ... J'ai failli sauter de joie o/
C'est court ...]
Misaki rêvait ... Elle tombait, elle traversait les nuages du soir et passait au milieu des astres nocturnes. Vers où tombait-elle ? D'où tombait-elle ? Pourquoi ? Et où allait-elle trouver les réponses à ces questions ? Tout cela était trop compliqué ... Tout cela parce qu'elle avait tué un homme pour protéger Kaori et qu'après elle s'était évanouie ... Quelle situation bien ennuyeuse, ils allaient sûrement lui poser plein de questions en tous genres ...
Elle voyait la terre ferme se rapprocher, enfin, sous elle, s'étendait une un immense océan étrangement propre et transparent. Ce n'était pas un océan qu'on pouvait trouver sur Terre, l'Homme les a sali, ils ne sont pas aussi propres. Elle n'était plus qu'à quelques mètres de l'eau mais ... Comment pouvait-elle le savoir ? Elle avait les yeux fermés et pourtant elle voyait ... La jeune fille touchait l'eau et elle la traversa comme si elle eut été de l'air. Elle s'enfonçait, encore et encore dans les abysses de cette eau pure sans aucun poisson. Elle toucha le fond et lâcha une bulle d'air qui s'envola aussitôt vers la surface. Elle se releva et ouvrit les yeux même si elle pouvait aisément voir les yeux fermés. Elle était sur un sol de sable, dans une eau aussi transparente que l'air et aussi vide que des locaux scolaires en saison estivale. Elle marchait, aussi aisément que si elle eut été sur la terre ferme. Où allait-elle ? Dans quel but ? Elle le saurait bien quand elle serait arrivée ...
Une lumière bleue l'éblouit et elle se retrouva dans une chambre remplie d'étagères sur lesquelles des peluches et des poupées étranges étaient posées. Il y avait une grande porte en bois grande ouverte qui menait à un couloir obscur. Les poupées et les peluches murmuraient des choses inaudibles pour la chanteuse. Elle regarda ses habits et, étrangement, elle était habillée d'une robe blanche toute simple avec des ballerines assorties à la robe. Elle entendait des pas, des pas qui venaient de ce couloir et qui étaient réguliers. Quelqu'un arrivait ... Une silhouette s'avançait et devenait reconnaissable, c'était une jeune fille d'à peu près quinze ans, elle avait de longs cheveux blancs coiffés en tresses et des yeux rouges comme le sang. Sa robe était comme celle de Misaki et elle portait également les même chaussures qu'elle. Elle s'avançait en souriant de ce sourire angélique qu'on ne donnerait qu'aux anges. La chanteuse ne se fiait pas à son expression, au contraire, c'était suspect. La jeune fille s'approchait de plus en plus de la collégienne et elle mit sa main droite sur la joue de la brune.
-Je t'attendais Misaki-chan.
La personne sourit avant de s'éloigner un peu de la chanteuse. Celle-ci, troublée recula d'un ou deux pas avant de se cogner à un objet. Elle regarda ce que c'était et vit un miroir de style classique entourée par un cadre fait en bois. Elle fixa le verre, il ne la reflétait pas, à travers, elle voyait un garçon qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Effrayée, elle recula de deux pas et heurta la jeune fille aux cheveux blancs. Celle-ci l'attrapa et sortit un couteau.
-Je t'attendais pour te donner ce que tu as évité tant de fois ...
Était-elle morte ? Était-ce l'enfer ? Ce n'était pas impossible ... Donc, elle avait peut être succombé à cette blessure ... Quelle fait idiote, mourir en protégeant quelqu'un que l'on ne connaît même pas ... Quelle ironie ! La jeune fille arborait un immense sourire à faire froid dans le dos, heureusement que Misaki était dos à elle ... La fille aux cheveux blancs commença à pointer le poignard vers Misaki et à serrer son cou à l'aide de son bras gauche.
-Adieu, Misaki.
La chanteuse reçut un coup de poignard au cœur et elle se réveilla en sursaut, le souffle court. Elle était vivante ? Ce n'était qu'un rêve ? A première vue, oui, mais elle devrait quand même rester prudente sinon elle finirait peut être par s'endormir à jamais ... Elle se redressa et s'assit sur le lit avant de regarder autour d'elle. Elle était dans la chambre où Kaori dormait, celle-ci était adossée au pied du lit, dos à la chanteuse et Mamoru était adossé au mur. La brune sourit et regarda sa blessure, elle avait été soignée, pansée et elle ne lui faisait pas mal. Soyuki n'était pas dans la pièce ... Elle était sûrement partie vagabonder dans les rues de la ville ... Inutile de la chercher, la chanteuse regarda plutôt Mamoru et commença à parler :
-Hm ... N'avez-vous aucune question à me poser ?
Fodukawa Misaki- Nombre de messages : 888
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Re: Rencontre fortuite... [Misaki - Libre par la suite...]
" Soit délicat. Ca reste une jeune fille. "
Cette dernière qui se réveilla en sursaut, le souffle coupé devant le regard sévère de Mamouru peu de temps après les mots de Kaori. Elle, qui se releva et alla se mettre à coté du jeune homme, sa main sur son épaule. Pouvant observer la petite dont la respiration reprenait un rythme correct, un peu paniquée, de quoi ses cauchemars pouvaient se dessiner ? Elle commença à parler. Des questions ? Il haussa doucement les épaules, oui et non. Désavantage de la petite, elle n’en savait pas autant sur eux, elle connaissait peut être certaines choses, mais ce n’était rien juste quelques fils apparents de cette énorme et monstrueuse toile de mensonge, de vices dans laquelle ils avaient grandis, et dans laquelle ils vivraient jusqu’à leurs morts. Et puis les deux jeunes gens savaient eux aussi bien des choses sur Misaki Fodukawa. C’était les sous-estimer, de les croire ignorants. Un premier sourire vint se placer sur les lèvres de Mamouru, qui fit un pas vers l’enfant redressée entre les draps, il dit alors :
" Aucune…Aucune, c’est vite dit. "
Il se dirigeait alors vers un mur qui fut éclaboussé par quelques goutes de sang. Oh ! La scène n’avait rien de choquant pour nos protagonistes, commune même. L’odeur du sang, se confondait même dans leurs parfums, leurs yeux en étant même teinté par moment, de leur couleur habituellement marron, sous les jeux de lumière, de contraste, le rouge se faisait plus ardent encore. Mamouru se stoppa devant donc, Kaori restait à sa place, silencieuse mais non absente. Ses yeux dérivaient tantôt vers le jeune homme, puis sur la chanteuse. Dans quoi, s’engageait-elle, s’engageaient-ils ? La solution la plus simple aura été de donné mort à cette petite. Mais ce n’était en aucun cas envisageable. Sauf si elle venait à les attaquer en première, mais ils en doutaient. Aussi ils ne choisissaient jamais la facilité, contre leurs propres valeurs, ils n’avaient pas de raison légitime de lui ôter la vie. Nullement l’envie. Il fit glisser ses doigts dans le liquide chaud et vermeil, fermant les yeux avant de tourner la tête vers la gamine, frottant le fragment vital entre ses doigts, d’un ton assez neutre il ajouta :
" Misaki Fodukawa… Vous venez de tuer un homme. Et en plus de cela, en ses lieux, nos lieux. Vous venez de nous lier, et celamême de façon inconsciente. "
Kaori avait gardé l’arme du crime, et elle irait s’en détacher, la détruisant pour éliminer toute preuve qui aurait pu faire remonter à leur piste. Le cadavre de l’homme, était entre des mains sures également, il ne serait plus rien très prochainement. En parlant de cela, il poursuivait sur le sujet, car en effet, qu’aurait-elle fait du corps sans eux, curieux de savoir, il aurait pu satisfaire cela, mais il n’en était rien. Simplement, sa bouche se mouvait de nouveau de la même voix, ses pas se rapprocha de la petite, s’assoyant à ses cotés dans le lit, les yeux soutenant les siens :
" Son corps n’est plus. Mais. Après vérification, c’est n’est point à nous qu’il en voulait. Il était une de vos cibles. Alors libre à vous de vous exprimer sur le sujet…"
Sans vraiment l’inciter à leur dévoiler la vérité, dans le fond, ce n’était pas bien important. La survie, la seule, la vraie, la brute, était la principale cause et conséquences de leurs faits, gestes et paroles. Il reprit d’ailleurs bien rapidement :
" Nous oublierons, tout comme vous. N’est ce pas, Keiichi ? "
Kaori hocha une fois la tête positivement. Fermer les yeux là-dessus. Sans soucis. Bien qu’ensuite, en réfléchissant à ses mots, ce n’était pas vrai. L’oubli, impossible pour eux, pour l’enfant probablement aussi. C’était bien sur une image, mais enfin. Elle soupira. Le sujet serait bientôt clos. Les événements futurs restaient incertains, difficilement à percevoir, la tournure des choses était assez inquiétante. Mais c’était ainsi, et pour Kaori, pour Mamouru, la même chose les effleurait, où tout cela allait les mener … ?
Cette dernière qui se réveilla en sursaut, le souffle coupé devant le regard sévère de Mamouru peu de temps après les mots de Kaori. Elle, qui se releva et alla se mettre à coté du jeune homme, sa main sur son épaule. Pouvant observer la petite dont la respiration reprenait un rythme correct, un peu paniquée, de quoi ses cauchemars pouvaient se dessiner ? Elle commença à parler. Des questions ? Il haussa doucement les épaules, oui et non. Désavantage de la petite, elle n’en savait pas autant sur eux, elle connaissait peut être certaines choses, mais ce n’était rien juste quelques fils apparents de cette énorme et monstrueuse toile de mensonge, de vices dans laquelle ils avaient grandis, et dans laquelle ils vivraient jusqu’à leurs morts. Et puis les deux jeunes gens savaient eux aussi bien des choses sur Misaki Fodukawa. C’était les sous-estimer, de les croire ignorants. Un premier sourire vint se placer sur les lèvres de Mamouru, qui fit un pas vers l’enfant redressée entre les draps, il dit alors :
" Aucune…Aucune, c’est vite dit. "
Il se dirigeait alors vers un mur qui fut éclaboussé par quelques goutes de sang. Oh ! La scène n’avait rien de choquant pour nos protagonistes, commune même. L’odeur du sang, se confondait même dans leurs parfums, leurs yeux en étant même teinté par moment, de leur couleur habituellement marron, sous les jeux de lumière, de contraste, le rouge se faisait plus ardent encore. Mamouru se stoppa devant donc, Kaori restait à sa place, silencieuse mais non absente. Ses yeux dérivaient tantôt vers le jeune homme, puis sur la chanteuse. Dans quoi, s’engageait-elle, s’engageaient-ils ? La solution la plus simple aura été de donné mort à cette petite. Mais ce n’était en aucun cas envisageable. Sauf si elle venait à les attaquer en première, mais ils en doutaient. Aussi ils ne choisissaient jamais la facilité, contre leurs propres valeurs, ils n’avaient pas de raison légitime de lui ôter la vie. Nullement l’envie. Il fit glisser ses doigts dans le liquide chaud et vermeil, fermant les yeux avant de tourner la tête vers la gamine, frottant le fragment vital entre ses doigts, d’un ton assez neutre il ajouta :
" Misaki Fodukawa… Vous venez de tuer un homme. Et en plus de cela, en ses lieux, nos lieux. Vous venez de nous lier, et celamême de façon inconsciente. "
Kaori avait gardé l’arme du crime, et elle irait s’en détacher, la détruisant pour éliminer toute preuve qui aurait pu faire remonter à leur piste. Le cadavre de l’homme, était entre des mains sures également, il ne serait plus rien très prochainement. En parlant de cela, il poursuivait sur le sujet, car en effet, qu’aurait-elle fait du corps sans eux, curieux de savoir, il aurait pu satisfaire cela, mais il n’en était rien. Simplement, sa bouche se mouvait de nouveau de la même voix, ses pas se rapprocha de la petite, s’assoyant à ses cotés dans le lit, les yeux soutenant les siens :
" Son corps n’est plus. Mais. Après vérification, c’est n’est point à nous qu’il en voulait. Il était une de vos cibles. Alors libre à vous de vous exprimer sur le sujet…"
Sans vraiment l’inciter à leur dévoiler la vérité, dans le fond, ce n’était pas bien important. La survie, la seule, la vraie, la brute, était la principale cause et conséquences de leurs faits, gestes et paroles. Il reprit d’ailleurs bien rapidement :
" Nous oublierons, tout comme vous. N’est ce pas, Keiichi ? "
Kaori hocha une fois la tête positivement. Fermer les yeux là-dessus. Sans soucis. Bien qu’ensuite, en réfléchissant à ses mots, ce n’était pas vrai. L’oubli, impossible pour eux, pour l’enfant probablement aussi. C’était bien sur une image, mais enfin. Elle soupira. Le sujet serait bientôt clos. Les événements futurs restaient incertains, difficilement à percevoir, la tournure des choses était assez inquiétante. Mais c’était ainsi, et pour Kaori, pour Mamouru, la même chose les effleurait, où tout cela allait les mener … ?
Kaori Keiichi- Nombre de messages : 251
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