De rencontre en rencontre[ PV: Libre à tous =D ]

[Invité]

Hum... le jeu homme surpris par cette lettre qui lui aurait fait tant de mal se résigna a l'amitié, a l'amour tout chose de compassion. Il marcha sans but précis , allant a droite, a gauche, il ne regardait pas ou il allait les yeux rivée par terre, il était triste la seule personne qui lut accepter parti en fumer , comme des braises souffler par une bourrasque. La solitude le gagnant de plus en plus. Il était empli de haine envers se sentiment d'amertume, se sentiment horrible qu'on a quand on subit une perte d'un être cher. Après avoir marcher pendant un bon bout de temps il tomba sur un bâtiment grand et gros, le planétarium. Il entra, puis de mauvais souvenir réapparu quand sa rencontre avec la jeune fille, les étoiles. Il se sentait seul, il préféra s'assoir sur un siège et regarder les étoiles empli de tristesse pour les seul qui était rester au loin du groupes , il se désigna aussitôt comme l'étoiles la plus reculer du groupe, la seul parmi lequel elle n'était pas accroché aux autres. Il préféra sa qu'être entourer maintenant qu'il avait perdus son étoile.

- J'ai bien était naïf de croire que l'amitié apporter du bien a tout se qui sont toucher, comme l'amour sa te tue chaque jour, sa ne fait que faire du mal. Hum... mieux vaut être seul que mal accompagner --'

Il allait devenir de plus en plus triste, récalcitrant, cynique, sarcastique si personne ne vient le réveiller de son cauchemar qu'il désigne comme un blasphème.

[Kaori Keiichi]

Elle avait une silhouette particulière aujourd’hui. Plus élancée que l’habitude, plus maintenue, la tenue qui faisait sûrement cela. Kaori ne portait non pas son uniforme mais un tailleur noir classique rayé très discrètement d’une couleur pâle et crème qui rappelait la peau de son visage. Ses cheveux sombres étaient attachés à l’aide d’une pince, elle avait quand même une mèche longue qui lui tombait le long de sa joue et sa frange balayait son front couvrant un peu ses yeux des mêmes teintes. Ça lui allait bien mais on la voyait que rarement ainsi. La jeune femme n’était pas en ville elle avait voyagée et pour cause…Non ça, ce n’est que futilité, et même elle se faisait discrète sur le sujet. Donc, elle ne donnera aucun détail. C’est ainsi qu’elle se retrouva dans une voiture, assise entre deux hommes baraqués. Un blouson en cuir noir trop grand sur les épaules, le regard rivé vers la vitre fumée. Le silence régnait dans le véhicule logique. Avec la nuit qu’ils avaient passés, et ce n’était pas fini. Elle soupira, le paysage défilait à une allure impressionnante, il roulait vite, trop vite. C’était suspect mais bon, elle n’était pas au volant donc bon, et faire une remarque ne serait peut être très appréciée. Elle replaça sa mèche et patienta, ils allaient bientôt être arrivés. Et elle ne s’était pas trompée, deux minutes après, on lui annonça, suivit d’un dérapage bruyant.

" Pour être discret…C’est réussit…"

Elle lança un regard défiant dans le rétroviseur et utilisa un ton ironique et méprisant, on la saisit alors pour l’aider à sortir. Elle ajusta le manteau et avança en direction d’un gros bâtiment. Elle entra, il s’agissait d’un planétarium. Pas le temps de jouer au touriste. Elle couvrit son buste, cachant la chemise blanche tachetée de sang. Kaori était maintenant en compagnie d’un seul homme qui allait vite partir. Il jeta un œil qui se voulait discret sans l’être en direction de sa poitrine rougeâtre. Il se permit un commentaire :

" Vous êtes parfois cruelle…"

Elle murmura un juron et il partit aussi tôt et vite. Seule maintenant, elle marcha un peu, pour se dégourdir les jambes et pour patienter. Personne, rien, pas un bruit ou presque. Ne faisant guère attention, elle avança en direction de la voix. Kaori vit alors une ombre, assise sur un siège, la tête dans les étoiles. Ce n’était pas lui, pas celui qu’elle recherchait. Alors qu’elle s’apprêtait à faire demi- tour, elle sentait le sang afflué, perlant sur le blanc de sa peau. Elle grimaça, il était peut être temps de soigner cette plaie. Le temps, non, pour le moment elle n’en avait pas. Aussi imprévisible et impulsive. Elle se dirigea vers le jeune homme sans pour autant faire une grande description de qui il était. Elle ne l’avait jamais vu en tout cas. Mais l’heure n’était pas à jouer les observatrices. Si jamais ils venaient à se recroiser, ça serait peut être différent mais là en revanche. Avec distance, elle l’interpella en faisant quelques pas en sa direction, sans montrer avec signe de faiblesse, le regard soutenu froid comme d’habitude, sa voix le paraissait un peu moins. Normal vu qu’elle allait demander quelque chose :

" Excuse-moi, est-ce que vous avez un mouchoir ? "

S’il lui demandait pourquoi, ce qu’elle doutait mais on ne sait jamais, elle prétexterait un rhume, elle inventerait bien quelque chose pour cacher les faits, comme à chaque fois. Kaori regarda le garçon assis prés d’elle, le détaillant un peu plus que quelques secondes auparavant…

[Invité]

Le garçon n'avait pas envi de parler, il préféra donc chantait une musique; Il avait écrite lui même. Il la chantait quand il était triste, seul.

Et ainsi, le garçon tomba dans un profond sommeil

Les flammes s'agitent péniblement dans les cendres

Une à une, s'élevant et grandissant avec un visage adorable

Des milliers de rêves flottent au-dessus de la Terre

Ces rêves...

Dans la nuit, alors les yeux argentés frissonnaient

Tu es né dans une lumière argentée

Même si des centaines de milliers d'années passent

Peu importe le nombre de prière retournant a la Terre

Je continuerais à prier

S'il te plait, délivre ce message d'amour

Joignons nos mains et embrassons-nous

Il termina sur cette chanson et ferma les yeux sur se qui vint de faire. Il pensa, il pensa, pensa...

[Kaori Keiichi]

Kaori vit qu’il poussa la chansonnette, ses yeux se dirigeaient vers lui. Un regard glacial, d’un bleu particulier à en frissonner. Elle se posta devant lui, posant ses mains sur ses hanches, montrant sa présence, elle n’aimait pas être ignorée. Et encore moins l’impolitesse. Non, mais sérieusement, il ne lui avait même pas répondu, pas un non, rien, une chanson, c’est tout. Il semblait être perdu dans ses pensées. Il avait fini en tout cas. Elle l’avait brièvement écouté, elle n’était pas très musicale de nature. Il ferma ensuite les yeux. Elle reste immobile et impassible devant lui jusqu’au moment où elle vit de nouveau son regard, qui fut interrogateur sur la seconde où il avait dû apercevoir ses courbes. Elle avait vraiment besoin de quelque chose pour stopper sa plaie, mais elle n’était pas du genre à demander de l’aide directement, on est toujours mieux servi que par soi-même. Et même, elle ne voulait pas attirer l’attention, on ne sait jamais. Sur un ton un tantinet agacé, elle dit en fixant son regard, le maintenant à son niveau :

" Vous chantez bien, mais je ne pense pas que ce soit le moment, vous avez un mouchoir ou non ? Vous pouvez dire non…"

Mademoiselle Keiichi n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, et elle obtenait toujours ce qu’elle voulait. Et pour compliquer les choses, elle se sentait de plus en plus mal. Elle avait une certaine habitude, mais elle n’était pas Wonderwoman non plus. Elle se laissa choir à côté de lui. Sur un siège. Pas possible pour le moment de se relever. Non, non…Pas maintenant. Kaori serra la veste en cuir contre elle avec ses quelques forces. Même si elle cachait le sang qui tachait ses vêtements, l’odeur…Elle envahissait les lieux. Pour ceux qui connaissent l’odeur du sang souillé par une lame rouillée bien sûr. Elle soupira, le voyant toujours muet. Elle ne fit rien, son visage fermé comme à chaque fois. La jeune femme était dans une bien mauvaise posture, heureusement d’un côté, il était là, il serait témoin, s’il s’avérait se passer quelque chose en ses murs. Et oui, la transaction. Elle n’était pas là par hasard. Non, ça aurait été trop facile. Elle passa ses doigts dans sa frange, l’air de rien, l’air normal. Elle jouait si bien la comédie.

Kaori entendit des pas, elle espérait que ce n’était pas lui, celui qu’elle attendait. Elle ne pourrait jamais se défendre dans un tel état. Et puis même, elle n’avait aucune envie. Elle se leva brutalement et perdit un peu l’équilibre sur le moment. Elle jeta un regard au jeune homme, avec un peu de mépris. Le Keiichi par excellence. Puis elle tourna les talons et se désintéressa de lui en tournant la tête. Le regard dans la pénombre, elle fit un premier pas. Mais osant le deuxième, elle ajouta un peu pour elle-même, mais aussi pour le faire réagir, car il n’avait toujours pas ouvert la bouche, sauf pour ses paroles de tout à l’heure, y’a bien cinq minutes… :

"Je perds mon temps visiblement."

Elle regarda et observa autour d’elle, ce n’était pas bruyant pour tout dire à part leurs respirations, aucun son ne se faisait entendre. Ils devaient être seuls, le moment idéal pour partir, discrètement, avant qu’il ne soit trop tard…

[Invité]

Hum le jeune homme rouvrit les yeux brusquement. Il regarda autours de lui se donnant des repères. Puis il vit une charmante jeune femme assis à coter de lui, triste et elle saigner abondamment.

- Excuser moi j’étais absent, vous voulez de l'aide demanda t-il avec insistance

Il commença à faire garrot autour de sa blessure en déchirant un morceau de sa veste, sortit un mouchoir de sa poche et commence à nettoyer le sang qui coulait.

- Je voudrais bien savoir se qui vous ait arrivé mais je vois que sa allaire spécial enfin bref, je pense à voir arrêter la coagulation du sang vous devrez aller la désinfecter au plus vite si vous ne voulez pas qu'elle s'infecte, prenez ma veste se sera mieux que de vous voir sortir tacher de sang partout dehors enfin au revoir

Le garçon se leva donnant aucun signe de rester ici a part avoir des remords, il ne sait pas si il devait rester ou partir, mais ou il n'y a personne qui l'attend mais sa n'avais pas l'air de le gêner. Il préféra la solitude. Après réflexion il préféra rester sur le siège aux coter de la jeune femme étrange qu'il ne connaissait et a qui il porta secours. Il n'attendait rien d'elle, la jeune femme ne prononça rien. Puis il pensa qu'il avait chanté devant elle, il espère qu'il ne sait pas ridiculiser devant elle mais il ne pensa pas a sa car cette chanson l'animait, le faisait vivre a ses moments triste. Il resta assit a coter d'elle, sans broncher.

[Kaori Keiichi]

Le manteau de cuir noir se laissa choir sur le sol, la veste ouverte, laissa apparaître son chemisier rouge maintenant, le sang l’ayant bien salit. Elle grimaça légèrement, ça faisait de plus en plus mal cette bêtise pour ne pas être vulgaire. Il s’approcha d’elle en s’excusant, elle fit un signe de la tête. Le jeune homme lui proposa son aide. Voulant refuser dans un premier temps, elle fut prit de vitesse, il coupa un morceau de son vêtement et entoura la plaie avant d’éponger le sang qui s’en dégageait. Ses yeux nuits le regardaient faire sans broncher, elle n’était pas en mesure de faire les fières, surtout devant un inconnu qui se donnait la peine de l’aider sans qu’elle ne lui demande. Elle resta debout, immobile en l’écoutant parler, il l’a questionnait, elle ne voyait pas quoi répondre. Kaori resta silencieuse. Il partit, en s’assoyant non loin d’elle. Elle continua de la fixer, mais que pouvait-elle faire d’autre ? Le remercier ? Et son amour propre et débrouillard alors ? La jeune femme fit un premier pas vers lui. Qui semblait dans les étoiles encore une fois, c’était le cas de le dire vu l’endroit. Elle détourna la tête, sans rien ajouter pour le moment. Elle cherchait les mots corrects. Puis faiblement, elle dit :

" Merci, je vous dois une veste…"

Pauvre habit qui s’était retrouvé en lambeau. Kaori soupira, elle allait devoir partir, elle ne devait pas s’éterniser ici. Trop dangereux, trop risqué. Et la voie était libre, aucun bruit, aucune présence. C’était le moment idéal. Mais seulement, ses jambes lourdes semblaient devenir du coton, fluet, elle perdait un peu l’équilibre, elle chercha un mur pour s’y appuyer mais ne trouva rien. D’un coup, elle sentit sa tête tournée, elle avait mal et se sentait extrêmement mal également. Ses yeux se fermaient alors, et sans forces, elle se laissa glissée dans l’obscurité. Elle tombait d’abord sur les genoux dans le néant. Ses cheveux volaient sous la chute encadrant son doux visage pâle. L’adolescente gisait sur le sol. Elle avait perdue trop de sang. Le sol était froid mais inconsciente à se moment, ce n’était pas vraiment important. Là, où elle se trouvait à présent, c’était noir, froid, inquiétant, une sensation de vide. La demoiselle Keiichi ne se rendait pas bien compte, elle ne percevait plus rien. Quelque chose d’avide qui se trouvait en elle. Elle perdait tout y comprit la notion du temps, surtout cela. Ce qui l’entourait, ce qu’il se passait, tout cela allait l’angoisser.

Finalement, elle retrouva peu à peu ses esprits, elle se tenait la tête, la main sur le front plus exactement, elle avait du mal à constater. Elle vit le jeune homme de tout à l’heure, abaissé et penché vers elle.

" Qu’est ce qui se passe ? "

Murmura t-elle pour elle-même en premier temps. Kaori, savait qu’elle allait avoir des ennuis et s’être montrer si faible n’était pas son genre, elle allait le regretter…

[Invité]

- Hum vous avez beaucoup trop de fierté pour que je vous aide encore une fois mais je déteste voir une personne qui a des problèmes, je serais d'en l'incapacité de voulais laisser ici, donc éviter de me poser trop de problème.

Il souleva la jeune femme et la porta dans ces bras, il préféra courir car elle était très épuisait par sa blessure. Elle en tomba dans les pommes. Il courra de plus en plus vite, il voulait l'amener a l'hôpital le plus vite possible. Puis des hommes surgit d'entre les ruelles, des hommes avec des couteux, des armes.

- Hum... je suis bien aidait, vous êtes bizarre vous enfin bref pas le temps accrochez-vous bien.

Il la mit sur le dos, et commença à escalader les échelles. Il tourna a droit puis a gauche, il commencer à avoir ses reperd dans la ville. Ils étaient toujours derrière, puis il arriva dans un cul-de-sac, il vu qu'il était aux1er étages du bâtiment.

- Bon pas le choix j'espère bien me réceptionner au moins et pourvu qu’elles ne subissent pas trop de dégâts.

Il sauta se réceptionna en fléchissant sur ses genoux aux bons moments sans pour autant avoir subis a choc rudes. Il reprit sa route en courant le plus vite possible et s'arrêta à l'hôpital. Abandonnant sa course poursuite après l'avoir déposer il partit comme il était arrivé.

[Contenu sponsorisé]