Vivre seule ? Sans problème...[libre]

[Invité]

Naru Miyake observa avec ravissement le ciel... Si noir et orageux...Un pur délice visuel. La jeune fille aimait ne rien faire. Et c'était d'autant plus facile qu'elle vivait désormais seule. Le rêve absolu. Bien sur elle avait eu quelques petits problèmes pour acheter la villa, mais avec la carte bleue de sa tapette de père c'était tout de suite plus pratique. Évidemment elle avait eu recours à des moyens plus qu'originaux pour posséder cette maaaaa-gni-fiiiiii-que demeure avec base secrète incorporé...Mais bon! Là n'était pas la question ! Naru avait un joli problème...Petite devinette. Quand on a jamais cuisiné de sa vie et que l'on se retrouve subitement seul, quel inconvénient se pose ? Réponse ! Une énoorme malnutrition... Naru se nourrissait exclusivement de pizzas et de sandwich depuis une semaine. Mais elle avait décidé de reprendre les choses en main !Dorénavant, la jeune fille allait manger des légumes 5 fois par jours ! Et pas question de manger trop gras, trop sucré, trop salé ! Hahahahaaha ! La vie de Naru allait devenir saine et pleine de vigueur ! Hahahahaha! Exit les frites et les hamburgers, bienvenue les brocolis et le chou-fleur ! Pendant que l'adolescente délirait joyeusement et riait comme une malade au milieu de son jardin, son estomac la rappela bruyamment à l'ordre. Elle fonça dans la cuisine toute équipée qui n'avait servi qu'à entreposer les cartons de pizzas abandonnés.

-Que mange-t-on quand on est sain et équilibré ? Je suis pas sur que les donuts au petit déjeuner soient très nocifs...

La jeune fille coula un regard gourmand en direction du plat rempli des pâtisseries grasses et extrêmement sucrées qu'elle envisageait de manger en premier dans sa campagne pour une vie et une alimentation saine et équilibré...Ne faites pas de commentaires s'il vous plaît... Naru sortit un appétissant donut, parsemé de sucre glace. Ô, donut à la pâte alléchante, dorée à la graisse légère, n'émettant qu'un doux parfum d'œuf cuit. Ô, donut, toi qui te vêtis d'un nappage à la crème rose, coulant sans encombre sur mes doigts tremblants d'envie de t'avaler dans la seconde. Ô donut, entouré de copeaux de chocolats craquants, noir, blanc ou au lait, jonglant entre les noix de pécan et les noix tout court.

Si vous trouvez que la description du donut est un peu longue (ou exagérée...), pensez donc à la place que ces succulentes pâtisseries prennent dans la vie de Naru ! C'est toute son enfance! Et son adolescence ! Et ce sera sans doute toute sa vie ! La jeune fille vit soudain l'emballage des donuts. Ses yeux sortirent de leurs orbites... Non. Non! Ce n'était pas possible ! Tant de matières grasses... Ce n'était pas bon... pas bon du tout !!! Comment avait-elle fait pour ne pas s'apercevoir que ces trucs divins étaient....Diaboliques ! Mais comment envisager une vie sans ces pâtisseries ?! Naru sortit de sa cuisine et courut dans le couloir, elle traversa la maison comme une flèche ! Elle fonça dehors, près du portail et fit un magnifique panier avec le plat de donuts dans la poubelle pour les déchets à brûler... SHCLAANNG ! Dommage pour le plat en porcelaine... Elle allait rentrer quand elle aperçut une ombre suspecte au coin de la rue...

[Alice]

An 200x

Alice.....Alice.......
Un voix trottine dans a pensée d'Alice......Comme le bruit qu'un petit garçon fait quand il joue a la trottinette, et il roule et il roule sans jamais faire de stop ou penser a faire un stop......Il joue et il joue, les roues de la trottinette font du bruit, assourdissant, comme quand on écris sur un tableau avec de la craie..... Puis, un /BAM/ et un autre /BAM/ retentissent. Il ne s'approchent pas, ils restent la ou le bruit a commencer.... Puis, on écoute plus rien, le néant, rien, nothing, nada.. On sent des yeux sur toi,des yeux qui te dévisagent, qui ont peur de toi, mais étrangement, ses yeux la, viennent de la même personne, quelqu'un de pas loin, qui est pensif, puis, de nouveau rien, nada & nothing.
Alice ouvre ses yeux, un peut choqué, elle ne comprends pas ce qui se passe, ni qui elle est, puis elle reprend mémoire, conscience, appelez ce fait comme vous le voulez et sentez. Elle se lève, regarde et vérifie si ses habits ne se sont pas croisés pendant qu'elle faisait une petite sieste dans l'herbe un peut mouillé par la pluie qui commenceras tomber d'ici peut.
Puis, un oiseau bleu kaki se pose a proximité de son pied, il a besoin d'un abris, vite, que l'orage compte encore continuer. L'ALICE n'aurais pas fait attention a ce oiseau, mais l'Alice qui se tenait la.... était différente....
Puis, en se rappelant son cauchemar, elle retourne sa tête la ou se trouvait ce bruit, qui était remplie de haine, et de gènes. Et elle voit une fille, pensif, comme elle avait devinée, asses charismatique, kawaii, mignonne, des cheveux cours bordés par un marron original qui paraissait kaki et avec une coupe trè~s bizarre. Elle avait des habits complètement fashion, comme on disait dans ce monde remplie de jalousie, et complètement différents de ceux d'Alice, qui elle, portait une robe pendant cette instant la, bleu noir, comme la mer en plein milieu d'orage.
Puis, une délicieuse odeur de donuts toujours bons, comme ceux qu'Alice aurais aimer manger dans ce temps galeux, arrive dans les narines d'Alice. Elle devrait être affamé, mais la elle ne l'était pas vraiment, c'était plus la fille qui l'intriguait......Comment l'avait-elle remarqué? Une âme qui ne tien ni a la vie ni a la mort. Qui n'aime personne, et qui est invisible au plus petit microbe qui existe. Elle, fille déchue de la pire espèce, que se passait-t'il? Et dans ce noir orageux, rien n'aurait pu la montrer.
Oui, ce noir orageux, il faisait un temps de chien, ou je ne sais comment dit-on. Pour être plus méticuleuse, il faisait froid, aucune âme qui vive aux alentours dés pattés de maison. Elle était seule, comme elle avait toujours était, mais avec quelqu'un, qui dégagea une joie de vivre, ce qu'elle n'avait jamais eu, avant peut-être.....
Puis, sans savoir pourquoi, l'ALICE d'avant reprends confiance, et reprends les mêmes manières comme avant....Et comme tout le monde aurait prédis, elle commence a courir vers la fille que l'Alice d'avant avait remarqué. L'eau coule sur son visage, sa robe, trompé, étant plus noir, et ses cheveux, soutenue par l'air néfaste de ce jour orageux, faisait sécher les goutes de pluie qui tombait sur les cheveux d'Alice.
Elle arrive devant le portail de cette "maison". Elle souffle, n'as plus de vie, puis, elle s'approche encore plus de la poubelle, qui, après les donuts, sentait encore plus bon qu'une tarte au chocolat. Puis, sans dire un mot en faisant pivoter sa tête, elle voit enfin la fille qui était la, un peut sous le choc. Alice pensa qu'elle était comme ces filles remplie d'argent qui était jalouse de tout et de rien. Et c'est la, qu'il restèrent pendant un long moment, dans la pluie, en train de se voir mutuellement, sans remarquer que quelqu'un était aussi la.....